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A l’approche des fêtes de fin d’année que les Algériens s’apprêtent à vivre dans la bonne ambiance, notamment après la victoire des Fennecs et leur qualification au Mondial sud-africain, le dispositif sécuritaire en Algérie sera renforcé, apprend-on de sources bien informées.
Dans ce contexte, des instructions ont été données dans ce sens aux différentes institutions sécuritaires tous corps confondus, par les autorités concernées. Le renforcement du dispositif sécuritaire est valable au niveau de toutes les villes en Algérie. L’objectif est de prévenir ou de faire échec à toute éventuelle tentative d’attentat terroriste. Ce renforcement du dispositif sécuritaire est justifié par la menace que représente l’organisation appelée le Gspc, présumée branche d’Al Qaîda au Maghreb.
Aussi, les services de sécurité se préparent à repousser toute tentative et à faire avorter tout projet subversif, sachant que le Gspc demeure imprévisible.
A ce sujet, les mêmes sources ajoutent que barrages fixes et mobiles ont été renforcés à 15 jours de la fin de l’année.
Autour des infrastructures des forces de sécurité c’est la vigilance à tous crins, alors que des unités de la police et de la Gendarmerie nationale effectuent régulièrement des descendes, de nuit comme de jour, dans les quartiers les plus chauds à travers tout le territoire national.
Au-delà des zones urbaines, notamment à Boumerdès, Tizi Ouzou, Bouira, Constantine, Jijel, Skikda, Batna, Tébessa, connues pour leur concentration de groupes terroristes, les forces héliportées survolent les régions pratiquement à longueur de journée.
Toujours selon nos sources, ces mesures entrent dans le cadre de la prévention d’éventuels actes terroristes qui risquent d’être planifiés en ces journées de fêtes de fin d’année.
Le plan sécuritaire ne concerne pas seulement les grands centres urbains.
Le dispositif a été également intensifié aux frontières où les services de sécurité sont soutenus par les forces héliportées. C’est dire que le Gspc est désormais dans le collimateur des forces de sécurité. A Jijel on est déjà en phase de déminage de certaines régions comme à El Ancer, même si cette ville connaît encore un certain mouvement subversif piloté par le sinistre Ammar Lamloum alias Abou Zakaria.
Sur le plan de la lutte antiterroriste, cette organisation a beaucoup perdu ces deux dernières années et plus particulièrement en 2009. Ses principaux éléments qui constituaient le noyau dur ont pratiquement tous été arrêtés ou abattus. Et la stratégie adoptée par les forces de sécurité pour affronter le Gspc a porté ses fruits sachant que cette organisation est désormais privée de tout soutien matériel et logistique.
En effet, plus d’une centaine de cellules de soutien ont été démantelées, la plus récente remonte à quelques jours seulement où pas moins de 12 éléments constituant un réseau de soutien ont été arrêtés à Sétif. Les forces de sécurité ont également enregistré plusieurs redditions, dont les dernières, au nombre de six, ont eu lieu à Alger et Constantine.
Parallèlement, plus de 90 terroristes ont été abattus dont 14 au mois de novembre dernier. Lors de sa dernière sortie médiatique, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine-Yazid Zerhouni, a mis en avant le succès de la politique de la loi sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, prônée par le chef de l’Etat, tout en soulignant que le Gspc est de plus en plus acculé.
M.Zerhouni soulignait également, devant ses homologues en Italie, que la lutte antiterroriste doit être menée avec un engagement ferme. Le patron de la Dgsn indiquait, quant à lui, que le terrorisme a nettement régressé grâce à l’engagement de la population.
Les citoyens, il est vrai, ayant découvert la vraie nature du terrorisme et sa logique criminelle, n’hésitent plus à prendre des risques pour dénoncer tout mouvement suspect. La couverture politique et religieuse derrière laquelle se cachaient les criminels, n’était qu’une façade. L’objectif est de déstabiliser le pays sur le plan socio-économique à des fins purement matérielles et criminelles.
Par l'Expression
Dans ce contexte, des instructions ont été données dans ce sens aux différentes institutions sécuritaires tous corps confondus, par les autorités concernées. Le renforcement du dispositif sécuritaire est valable au niveau de toutes les villes en Algérie. L’objectif est de prévenir ou de faire échec à toute éventuelle tentative d’attentat terroriste. Ce renforcement du dispositif sécuritaire est justifié par la menace que représente l’organisation appelée le Gspc, présumée branche d’Al Qaîda au Maghreb.
Aussi, les services de sécurité se préparent à repousser toute tentative et à faire avorter tout projet subversif, sachant que le Gspc demeure imprévisible.
A ce sujet, les mêmes sources ajoutent que barrages fixes et mobiles ont été renforcés à 15 jours de la fin de l’année.
Autour des infrastructures des forces de sécurité c’est la vigilance à tous crins, alors que des unités de la police et de la Gendarmerie nationale effectuent régulièrement des descendes, de nuit comme de jour, dans les quartiers les plus chauds à travers tout le territoire national.
Au-delà des zones urbaines, notamment à Boumerdès, Tizi Ouzou, Bouira, Constantine, Jijel, Skikda, Batna, Tébessa, connues pour leur concentration de groupes terroristes, les forces héliportées survolent les régions pratiquement à longueur de journée.
Toujours selon nos sources, ces mesures entrent dans le cadre de la prévention d’éventuels actes terroristes qui risquent d’être planifiés en ces journées de fêtes de fin d’année.
Le plan sécuritaire ne concerne pas seulement les grands centres urbains.
Le dispositif a été également intensifié aux frontières où les services de sécurité sont soutenus par les forces héliportées. C’est dire que le Gspc est désormais dans le collimateur des forces de sécurité. A Jijel on est déjà en phase de déminage de certaines régions comme à El Ancer, même si cette ville connaît encore un certain mouvement subversif piloté par le sinistre Ammar Lamloum alias Abou Zakaria.
Sur le plan de la lutte antiterroriste, cette organisation a beaucoup perdu ces deux dernières années et plus particulièrement en 2009. Ses principaux éléments qui constituaient le noyau dur ont pratiquement tous été arrêtés ou abattus. Et la stratégie adoptée par les forces de sécurité pour affronter le Gspc a porté ses fruits sachant que cette organisation est désormais privée de tout soutien matériel et logistique.
En effet, plus d’une centaine de cellules de soutien ont été démantelées, la plus récente remonte à quelques jours seulement où pas moins de 12 éléments constituant un réseau de soutien ont été arrêtés à Sétif. Les forces de sécurité ont également enregistré plusieurs redditions, dont les dernières, au nombre de six, ont eu lieu à Alger et Constantine.
Parallèlement, plus de 90 terroristes ont été abattus dont 14 au mois de novembre dernier. Lors de sa dernière sortie médiatique, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine-Yazid Zerhouni, a mis en avant le succès de la politique de la loi sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, prônée par le chef de l’Etat, tout en soulignant que le Gspc est de plus en plus acculé.
M.Zerhouni soulignait également, devant ses homologues en Italie, que la lutte antiterroriste doit être menée avec un engagement ferme. Le patron de la Dgsn indiquait, quant à lui, que le terrorisme a nettement régressé grâce à l’engagement de la population.
Les citoyens, il est vrai, ayant découvert la vraie nature du terrorisme et sa logique criminelle, n’hésitent plus à prendre des risques pour dénoncer tout mouvement suspect. La couverture politique et religieuse derrière laquelle se cachaient les criminels, n’était qu’une façade. L’objectif est de déstabiliser le pays sur le plan socio-économique à des fins purement matérielles et criminelles.
Par l'Expression