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  • Une commission d’enquête pour poursuivre les praticiens ayant refusé de soigner des a

    Le syndicat des médecins égyptiens tentent d’enterrer le scandale en boycottant la réunion en Italie
    [SIZE=4][COLOR=#000033][B] Une commission d’enquête pour poursuivre les praticiens ayant refusé de soigner des algériens
    Le doyen des médecins égyptiens, Ahmed Said, et deux autres membres du syndicat, ont refusé avant-hier d’assister aux travaux de l’assemblée des syndicats médicaux des pays euro-méditerranéens à Palerme en Italie, présidée par le doyen des médecins algériens, Dr Bekat Berkani, fuyant ainsi l’accusation de ne non assistance aux étudiants algériens victimes d’agressions au Caire ».
    Il a, en effet, été décidé, avant-hier, la tenue d’une réunion exceptionnelle de l’union des médecins arabes, prévue la dernière semaine de janvier. Celle-ci aura pour but de harmoniser la loi fondamentale, de remplacer son secrétaire général, l’égyptien Abdul Monaim Abou Fatouh, et de transférer le siège du secrétariat général en Algérie ».
    Le secrétaire général adjoint de l’union des médecins arabes et porte-parole des doyens des médecins algériens a précisé lors d’un entretien téléphonique à El Khabar que les syndicats et doyens des médecins du Liban, de la Jordanie, de la Libye et du Maroc ont dénoncé les agissements du syndicat égyptiens qui a abandonné des personnes en danger, ainsi que les agressions dont ont été victimes des étudiants au Caire après le match du 14 octobre dernier, que les pays arabes participants ont qualifiée de contraire aux principes des droits de l’homme et à l’éthique médicale ».
    Notre interlocuteur a ajouté : « nous attendions la présence de la délégation égyptienne lors de la réunion ordinaire des syndicats des pays euro-méditerranéens, pour pouvoir déposer une plainte officielle sur ce qui s’est passé, mais nous avons été surpris de son absence ». Celui-ci s’est d’ailleurs dit mécontent que l’Egypte ne reconnaisse pas ses erreurs, considérant cela comme un choc pour les pays arabes et européens, qui travaillent actuellement à l’élaboration d’un code de déontologie médicale, devant être une référence pour tous les médecins du bassin méditerranéen, particulièrement a-t-il ajouté, son paragraphe concernant la non assistance à personne en danger, ce qui s’applique à ce qui est arrivé aux étudiants algériens au Caire ».
    Le secrétaire général adjoint de l’union des médecins arabes n’a, par ailleurs, trouvé aucune justification à l’absence de la délégation égyptienne si ce n’est la peur d’être confronter à toutes les délégations et particulièrement celles de l’Algérie qui possédait de nombreuses plaintes et témoignages d’étudiants algériens. Le secrétaire général de l’union des médecins arabes a lui aussi boycotté cette réunion pour les mêmes raisons, en plus du fait que celle-ci était présidée par l’Algérie. L’assemblée qui s’est tenue à huis clos en marge de la réunion a en outre porté sur la nomination d’un autre secrétaire général en remplacement de l’actuel secrétaire, l’égyptien Abdul Monaim Abou Fatouh, accusé de financement au terrorisme et de détournement des contributions financières allouées par les pays membres à des fins inavouables.

    Par El Khabar
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