En dépit d'un froid sibérien, plusieurs milliers de Sétifiens sont descendus dans la rue pour fêter la victoire de l'Entente en finale de la Coupe de l'Union nord-africaine de football (UNAF).
Scotchés devant leurs écrans de télévision pendant les 90' du match, les supporters d'El-Kahla ont laissé exploser leur joie aussitôt après le tir au but réussi par Smaïl Diss, offrant le trophée à son équipe. Vers 20 h 30, la place mythique de Aïn Fouara, complètement déserte pendant deux heures, était noire de monde, des centaines de jeunes supporters venus des quatre coins de la capitale des hauts-plateaux y affluant sans discontinuer. Un quart d'heure après, c'est toute l'avenue du 8-Mai 1945, bientôt suivie des quartiers Tandja, Tlidjen, Bel-Air, Bouaroua ou encore «Dallas» qui chavirent de joie à la suite de l'inespéré succès sétifien, obtenu à la force du jarret face au véritable géant du football africain que reste l'Espérance de Tunis... décidés à faire la fête jusqu'à une heure tardive de la nuit glaciale sétifienne.
Peu avant 21 heures, c'est toute la cité de Aïn Fouara qui est en transes, vibrant joyeusement du tintamarre des klaxons et des youyous des femmes agglutinées sur les balcons. La vieille Zohra (87 ans), du haut de sa terrasse, au centre de l'avenue du 8-Mai 1945, lance, entre deux youyous stridents, un tonitruant «Tahya El-Djazaïr !», qui semble donner le «la» à un prolongement des réjouissances algériennes nées de la qualification de l'EN pour la Coupe du monde
Scotchés devant leurs écrans de télévision pendant les 90' du match, les supporters d'El-Kahla ont laissé exploser leur joie aussitôt après le tir au but réussi par Smaïl Diss, offrant le trophée à son équipe. Vers 20 h 30, la place mythique de Aïn Fouara, complètement déserte pendant deux heures, était noire de monde, des centaines de jeunes supporters venus des quatre coins de la capitale des hauts-plateaux y affluant sans discontinuer. Un quart d'heure après, c'est toute l'avenue du 8-Mai 1945, bientôt suivie des quartiers Tandja, Tlidjen, Bel-Air, Bouaroua ou encore «Dallas» qui chavirent de joie à la suite de l'inespéré succès sétifien, obtenu à la force du jarret face au véritable géant du football africain que reste l'Espérance de Tunis... décidés à faire la fête jusqu'à une heure tardive de la nuit glaciale sétifienne.
Peu avant 21 heures, c'est toute la cité de Aïn Fouara qui est en transes, vibrant joyeusement du tintamarre des klaxons et des youyous des femmes agglutinées sur les balcons. La vieille Zohra (87 ans), du haut de sa terrasse, au centre de l'avenue du 8-Mai 1945, lance, entre deux youyous stridents, un tonitruant «Tahya El-Djazaïr !», qui semble donner le «la» à un prolongement des réjouissances algériennes nées de la qualification de l'EN pour la Coupe du monde
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