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Tunisie: Cachez ce voile...

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  • Tunisie: Cachez ce voile...

    Les propos du ministre des Affaires religieuses contre le hijab, « phénomène importé », ont provoqué une vague d'indignation dans le monde arabe.

    Aboubaker Akhzouri, ministre tunisien des Affaires religieuses, était, jusqu'ici, un illustre inconnu, y compris dans son pays. Les propos hostiles au hijab, le voile islamique, qu'il a tenus, le 27 décembre, dans Assabah, quotidien indépendant de Tunis, n'ont rien de choquant pour la majorité de ses concitoyens. Ils s'inscrivent dans un islam de raison et de progrès défendu par l'ancien président Habib Bourguiba et par son successeur, Zine el-Abidine Ben Ali. Ils ont cependant provoqué une vague d'indignation dans les journaux, chaînes satellitaires (notamment Al-Jazira et Al-Arabiya) et forums de discussion un peu partout dans le monde arabo-islamique.

    La colère des lecteurs, téléspectateurs et internautes ne s'est pas portée seulement sur le ministre, mais aussi sur son pays, accusé d'être « le porte-drapeau du sécularisme, du libéralisme voire de la luxure, dans un monde, arabo-islamique agressé de toutes parts par les néocroisés, sionistes, agnostiques, scientistes et autres francs-maçons », selon les termes d'un internaute saoudien particulièrement enflammé. On fera grâce aux lecteurs des autres insultes auxquelles le ministre a eu droit dans certains médias du Maghreb et du Machreq. Mais qu'a-t-il dit de si scandaleux ?

    « Le hijab est un phénomène importé. Nous le considérons comme un habit sectaire, dissonant et étranger à nos traditions. Or nous rejetons toute forme de sectarisme », a déclaré Akhzouri. Avant d'ajouter : « Nous refusons aussi le port de la horka blanche [habit que portent les hommes dans les pays du Golfe] et la barbe anormale qui souligne une appartenance bien déterminée », en allusion aux longues barbes hirsutes qu'arborent généralement les islamistes.

    Dans sa guerre contre le hijab et la horka, le ministre ne s'est pas contenté d'appeler les Tunisiens à respecter leurs traditions vestimentaires - pourquoi ne porteraient-ils pas, par exemple, la jebba et le sefsari, habits respectifs des Tunisois et des Tunisoises ? - et à suivre « leur » propre islam, qui concilie authenticité et modernité, religion et raison, préservation de l'identité et ouverture à l'autre... Il a stigmatisé aussi « l'influence du Machreq » sur le comportement religieux de certains de ses compatriotes. Cette influence est colportée, selon lui, par les journaux et les chaînes satellitaires, qui reprennent souvent les fatwas (édits religieux) édictées par les cheikhs de l'université d'Al-Azhar au Caire, dont l'ouverture d'esprit est loin d'être la vertu majeure, « alors qu'en Tunisie nous avons l'une des plus importantes écoles de fiqh [droit islamique] dans le monde islamique, celle de la mosquée Ezzitouna [de Tunis] ».

    Ezzitouna est l'une des plus anciennes universités du monde. Fondée il y a plus de treize siècles, elle a été démantelée au lendemain de l'indépendance par Bourguiba, qui voyait en elle un foyer de résistance à ses desseins réformistes, avant d'être réhabilitée par Ben Ali, qui l'a réformée et transformée en université moderne. Elle est aujourd'hui un foyer de pensée islamique rationaliste et ouvert à la modernité occidentale.

    Cependant, le ministre a beau nier le retour en force du hijab, qui avait presque complètement disparu des villes tunisiennes au début des années 1990, au plus fort de la répression du mouvement islamiste Ennahdha, et soutenir qu'au contraire cette vague est « en nette régression », grâce notamment à « l'esprit éclairé » diffusé par les structures de l'État, on peut aisément constater un accroissement du nombre de femmes voilées dans la rue et les lieux publics. C'est peut-être la raison qui l'a poussé à relancer la guerre contre le voile.

    Malgré les efforts de l'État pour combattre le fondamentalisme religieux, assécher ses sources, réduire la pauvreté qui en fait souvent le lit, assurer un contrôle strict des 4 000 mosquées que compte le pays, encadrer les imams et harmoniser les contenus de leurs prêches, intégrer les kouttab (écoles coraniques) dans le système éducatif national, purger les programmes d'enseignement des scories obscurantistes, encourager l'esprit rationaliste, bref, « tunisifier » la pratique de l'islam, force est de constater que nombre de Tunisiens continuent de suivre les prêches des prédicateurs extrémistes d'Égypte, d'Arabie saoudite et d'ailleurs. De même que beaucoup de Tunisiennes choisissent de porter le hijab, à la manière de leurs soeurs du Machreq, alors que les autorités veillent au grain, appliquant scrupuleusement la fameuse circulaire n° 108 de 1981 qui interdit le port d'allibas al-taifi (l'« habit sectaire ») dans les écoles et les lieux publics.

    Par-delà les réactions passionnées qu'elles ont suscitées parmi les tenants d'un islam rigoriste, les déclarations du ministre des Affaires religieuses ont donc eu pour conséquence tout à fait inattendue de remettre à l'ordre du jour une question que la plupart des Tunisiens ont cru réglée depuis longtemps et qui revient, par un effet de boomerang - ou par une sorte de contagion régionale -, sur les devants de l'actualité... nationale. Elles ont aussi donné l'occasion à Rached Ghannouchi, leader du mouvement islamiste Ennahdha (non reconnu), exilé à Londres depuis une quinzaine d'années, de se rappeler au souvenir de ses compatriotes. Dans un communiqué en date du 29 décembre, celui-ci a réitéré l'attachement de son mouvement au hijab, comme « un des attributs de la femme musulmane », et stigmatisé le régime qui, à travers l'interdiction du voile islamique dans les espaces publics s'attaque, selon ses termes, « aux principes de la démocratie, aux libertés individuelles et collectives et aux fondements de la personnalité arabo-musulmane ».

    Curieux retournement de situation - et de sens : le hijab, longtemps considéré comme le symbole de l'enfermement de la femme et de la dégradation de sa condition sociale - c'est, en tout cas, la thèse souvent défendue par les forces libérales et progressistes dans le monde arabe -, est en passe de devenir le signe de sa... libération.

    RIDHA KÉFI

  • #2
    Salam

    Ils s'inscrivent dans un islam de raison et de progrès défendu par l'ancien président Habib Bourguiba et par son successeur, Zine el-Abidine Ben Ali.
    Avant de commencer je tiens à dire que je n'ai aucune haine ou aucun apriori sur mes amis tunisiens que je respecte au plus au point.

    Mais malheureusement des propos de ce genre ne peuvent être qu'indigne envers l'islam. D'ailleurs pour le rappeler Mr Bourguiba (Allah y Rahmou) n'avait rien d'un fervent musulman bien au contraire il était connus pour organiser de nombreux déjeuners débats en mois sacrés du Ramadan et malheur à celui ou celle qui ne mangé pas.

    « Le hijab est un phénomène importé. Nous le considérons comme un habit sectaire, dissonant et étranger à nos traditions. Or nous rejetons toute forme de sectarisme », a déclaré Akhzouri. Avant d'ajouter : « Nous refusons aussi le port de la horka blanche [habit que portent les hommes dans les pays du Golfe] et la barbe anormale qui souligne une appartenance bien déterminée », en allusion aux longues barbes hirsutes qu'arborent généralement les islamistes.
    Je pense que Mr Akhzouri ne doit pas être au courant mais le tailleur deux piéces et le costumes trois pièces ne doit pas être une pure tradition tunisienne il faut me le dire si je me trompe.

    C’est bizarre il parle du voile du horka de la barbe, mais je pense qu’il à oublier aussi de parlé de la kipa (petit couvre chef porté par les juifs), les tresses et les barbes rabbiniques, ou encore toute la garde robe et signe bien déterminé qui appartiennent au culte chrétien et juifs faisant transparaitre comme il dit une appartenance bien déterminée.

    Je vous jure c’est vraiment triste et révoltant d’entendre cela !!!!!!!!!!!!!!!

    La force de l'occident réside dans sont savoir scientifiques et technologiques et surtout dans la liberté dont jouissent leurs populations. Et c'est justement la que les gouvernement tunisien (et dans un sens plus large les autres pays arabes) ne font rien. De toute maniére la répréssion entrainera toujour la révolte. L'islam n'est qu'un moyen qui nourrit cette révolte, la révolte peut être de toute nature islamique, communiste même capitaliste. De toute maniére un homme qui est opprésé ce révoltera par tous les moyens qu'il soit musulman, chrétien ou athé alors sa ne sert à rien de stigmatiser l'islam, la guerre des oppresseur et déjà perdu d'avance et l'histoire et la pour nous le rappeller.
    Dernière modification par menara, 20 janvier 2006, 14h03.

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    • #3
      Il est vrai que le hijab devient l’habit de la musulmane et ça dans le monde. Le hijab deviens une mode ou une indenté religieuse .Mais après tout les individus ne sont ils pas libres !
      Dire que le hijab est un habit importé c’est juste, mais quand on peu accepté le jean on peu accepté le hijab !

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      • #4
        Honnêtement je ne comprend pas du tout cette mode ds certains pays musulmans de tuer ,compromettre ou ridiculiser leurs us et coutumes.Que ce soit ds le culturel ou ds le spirituel.
        Pour l'affaire du hidjab.Il ne faut ni interdire ni encourager les femmes à porter celui-ci.C'est la liberté responsable.
        Certains régimes l'interdisent juste pour s'attirer la sympathie ou aide de régimes puissants occidentaux.Or ceux-là mêmes qui ne peuvent l'interdire chez eux.Ce serait contraire à leur constitution.
        Je pense qu'au lieu d'interdire (qui ne créera qu'un mouvement de résistance ) il faut encourager ,revivifier et redonner vie à nos coutumes qui n'ont rien à envier à ceux des autres.
        Pour l'algérie il y a des espoirs pour lutter contre le hidjabisme à outrance contraire à nos moeurs et qui assombrit nos femmes ,soeurs ou mères car on voit certaines modes vestimentaires qui reviennent en force comme le haik ,le saroual chelka(qui s'affirme en europe) ,la fotta ,la kachabia ,la djellaba ,le burnous etc.C'est cela qu'il faut encourager et non interdire par hypocrisie ou pour faire plaisir à des hypocrites.

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        • #5
          l'islam de bourguiba et d'el zine!!
          je suis allé en tunisie dernierement et dans la vieille ville de tunis la ou il y'a le marché des souvenir qui se termine par l'université ezzaytouna il y'a a une dizaine de metre deux ou trois rues faites exclusivement de maisons closes ;curiosité pour les touristes!!
          bourguiba en fermant ezzaytouna a laissé les maisons closes pour un islam "moderne"



          tous les regimes arabes ont peur de l'islam...il represente la veritable force de changement des societé musulmane et le reel fderment de progres...c'est le seul appel auquel repondent les peuples....et cela fait peur biensur atous ces regimes policiers
          « Puis-je rendre ma vie
          Semblable à une flûte de roseau
          Simple et droite
          Et toute remplie de musique »

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          • #6
            Mais c’est des bêtises tout ça ! On ne veut pas effrayer les touristes c’est tout ! Alors que les tunisiens s’habillent en tenue traditionnelle, ça ne peut que plaire aux étrangers qui viennent visiter le pays, ça fait ambiance locale, Bernard ou Jean Pierre adoreront prendre une photo avec Fatima ou Mohamed en djellaba !!! Plus il y aura de femmes voilées et plus la Tunisie sera désertée ! On sait bien que dans la mentalité occidentale le hidjab est considéré comme une régression, une soumission de la femme et comme une « islamisation » donc une forme de terrorisme !!! Ils ont bien « coupé » la voix des muezzins pour ne pas effrayer les touristes !!! Comme si les cloches des églises européennes avaient cessé de sonner !

            Je ne suis pas une adepte du voile, hidjab, djilbab ou autre, que j’estime ne pas être : « un des attributs de la femme musulmane », mais je suis pour la liberté. Le hidjab a été en effet « importé » dans nos sociétés, mais bon si une jeune fille le préfère à un jean c’est son problème.

            PS : Tout à fait d'accord avec toi Ouarsenis !
            "Ce qui est passé a fui, ce que tu espères est absent, mais le présent est à toi"

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            • #7
              C'est sure que les maisons closes et les plages de touristes soviets á moitiés nues c'est bcp plus vendeur que le hidjab !
              D'ailleurs, la Tunisie est un pays laic et démocratique avec des résultats d'élection á 99%.........ou le port du voile peut être discriminatoire á l'embauche. C'est vrai que les dirigeants de ce pays le situe géographiquement + proche de la Suède que du Maghreb.....

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              • #8
                Nouvel arrivant et déjà à fond....

                Bonjour à tous.

                J'ai découvert ce forum ce jour même et me voilà. Prêt à partager et échanger sur ce pays que j'aime et de tout autre sujet.

                je tenais à intervenir.

                En réponse à Tamerlan, je ne suis pas sûr que l'islam "force mobilisatrice et de soulèvement des peuples" soit la chose que l'on pourrait souhaiter à nos sociétés musulmanes, arabes ou pas d'ailleurs.

                car, aujourd'hui ce mode de soulèvement et l'histoire nous le montre (de l'algérie à l'afghanistan) repose sur la misère sociale et donc l'enbrigadement.
                de même que le nazisme a progressé et le lepenisme progresse aujourd'hui sur la même base.

                ce que je pense c'est que chacun est libre de pratiquer sa religion comme il l'entend, avec plus ou moins de ferveur, plus ou moins d'adhésion à l'interprétation qu'on en fait. car là est le problème...
                le hidjab comme tant d'autres sujets fait l'objet d'interprétations et donc d'applications diverses (il existe X façons de le porter rien que dans notre pays, du nord ou sud ou d'est en ouest....), car intimement liés aux coutumes et justement la place de la femme dans nos sociétés... qui diffèrent selon les régions....

                De plus on parle d'états policiers, mais un état appliquant une "interprétation" de la charia ne serait-il pas encore plus policier: regardons les exemples encore un fois.... la femme y perd ses libertés premières qu'aujourd'hui personne ne lui conteste. mais qui si on y pense sont tellement faciles à perdre.

                enfin (j'ai beaucoup de choses à dire je sais), et c'est un débat que j'ai eu avec plusieurs amis d'orignes diverses, plus ou moins pratiquants... le hidjab, dans son but inititial est-il vraiment d'actualité dans notre monde moderne? aujourd'hui une femme non voilée, habillée sobrement, offre t-elle réellement plus de tentation qu'une femme voilée?
                Peut on aujourd'hui de nos jours regarder dans les yeux une femme non voilée et lui dire tu n'es pas une bonne musulmane? qu'en sait-on? comment pouvons nous juger sur un simple aspect vestimentaire?

                et d'ailleurs, nous savons tous que l'habit ne fait pas le moine.... surtout quand cet habit est imposé.....*

                voilà... ouf....
                Qui peut le plus peut le moins

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                • #9
                  Je vais défendre ce qu'a dit notre ministre d'affaires religieuses mais je vais dire un seul mot :
                  L'examen de la situation des rares pays musulmans (comme la Tunisie de Bourguiba et de Ben Ali, la première République kémaliste ou encore la Turquie des généraux) qui ont appliqué une politique de modernisation autoritaire et forcée, montre que le principe de la laïcité y a été, en fait , trahi, perverti, mal appliqué.

                  POINT FINAL!
                  On Ne Prend Jamais Ce Qu'on Veut ...............
                  Par La Force !

                  Commentaire


                  • #10
                    @karben
                    bienvenue l'ami
                    citation
                    "En réponse à Tamerlan, je ne suis pas sûr que l'islam "force mobilisatrice et de soulèvement des peuples" soit la chose que l'on pourrait souhaiter à nos sociétés musulmanes, arabes ou pas d'ailleurs."

                    a chacun son avis..personnelement je reste convaincu que le retour aux valeurs de l'islam originel (et non aux apparences)non travesties est le moteur le plus fort et le plus efficace pour aboutir a nos aspirations en tant que peuple sans singer l'occident

                    citation
                    "car, aujourd'hui ce mode de soulèvement et l'histoire nous le montre (de l'algérie à l'afghanistan) repose sur la misère sociale et donc l'enbrigadement."
                    faux!
                    parler de la misere sociale n'est pas un champs gardé...dis plutot que nos societés sont "fondamentalement" "immuablement" "definitivement" sensible a ce qui se rapporte a l'islam
                    « Puis-je rendre ma vie
                    Semblable à une flûte de roseau
                    Simple et droite
                    Et toute remplie de musique »

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                    • #11
                      Il suffit de regarder l'Iran, l'Afghanistan, l'Arabie Saoudite pour se rendre compte que politique et religion ne font pas bon ménage. La religion doit rester privée......... Aucun pays ayant pris la Charia comme ligne de conduite politique n'est un exemple. On critique un pays qui refuse le hidjab mais on ne dit rien des pays qui OBLIGENT les femmes à se voiler......
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #12
                        Je pense bien au contraire que ces pays que tu cites Zwina ne peuvent servir d'exemple pour la simple et bonne raison qu'il ne respecte en rien le message de l'Islam ! Si on prend le statut des femmes dans ces pays par exemple, on se rend bien compte que les paroles de Dieu ne sont pas respectées. Je pense que cela pourrait marcher si on respectait les lois musulmanes, sans tricherie, sans tromperie, sans hypocrisie !
                        "Ce qui est passé a fui, ce que tu espères est absent, mais le présent est à toi"

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                        • #13
                          Je pense que cela pourrait marcher si on respectait les lois musulmanes, sans tricherie, sans tromperie, sans hypocrisie !

                          Le problème c'est que les hommes dès qu'ils ont un peu de pouvoir devienent tricheurs, hypocrites et menteurs et se cachent derrière la religion pour rabaisser la femme. Car à chaque fois c'est la femme qui subit........ Faites ce que je vous dit mais ne faites pas ce que je fais, cela leur convient bien dans la grande majorité.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #14
                            Tout à fait Zwina, et c'est bien là le problème malheureusement. Cela reste donc du domaine de l'utopie !!

                            C'est bien les hommes, à vous parler de religion à tout va, surtout et essentiellement pour ce qui est des femmes, à nous rappeler nos devoirs "religieux", qu'ils s'occupent déjà des leurs, ça leur ferait le plus grand bien !!!
                            "Ce qui est passé a fui, ce que tu espères est absent, mais le présent est à toi"

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                            • #15
                              surfant sur Net , j'ai trouvé cette photo trop significative!!!!!


                              On Ne Prend Jamais Ce Qu'on Veut ...............
                              Par La Force !

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