La nuit tomba tel un voile sur ses épaules,
Me plongeant et mes pensées dans le sombre,
La tristesse qui se dessine et qui trace sa voie,
Dans mon esprit égaré dans ce désert de sable...et d’émotions,
Humant le chagrin de mon exil loin de tes yeux
Et les mots ne suffisent pas… pour mes maux
Je ne peux pleurer, je ne peux tomber
Car je suis l’homme…enfin, je le pense
Car loin de tes doigts, je me perds tel un gamin
Qui cherche son fruit, qui cherche tes yeux
Le souffle du silence torture mon esprit,
Ta voix qui résonne et chuchote mon nom
Me vole mon âme et écorche l’homme
Je hurle ma mélancolie, mais la lune s’en fout
Je ne trouve que le sable, pour crier ma rage
Mais le sable se faufile, et esquive mes larmes
Et même les étoiles ont fuit mes mots,
Pour me lâcher dans les bras... du sombre !
Me plongeant et mes pensées dans le sombre,
La tristesse qui se dessine et qui trace sa voie,
Dans mon esprit égaré dans ce désert de sable...et d’émotions,
Humant le chagrin de mon exil loin de tes yeux
Et les mots ne suffisent pas… pour mes maux
Je ne peux pleurer, je ne peux tomber
Car je suis l’homme…enfin, je le pense
Car loin de tes doigts, je me perds tel un gamin
Qui cherche son fruit, qui cherche tes yeux
Le souffle du silence torture mon esprit,
Ta voix qui résonne et chuchote mon nom
Me vole mon âme et écorche l’homme
Je hurle ma mélancolie, mais la lune s’en fout
Je ne trouve que le sable, pour crier ma rage
Mais le sable se faufile, et esquive mes larmes
Et même les étoiles ont fuit mes mots,
Pour me lâcher dans les bras... du sombre !
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