Le vieu boxeur
Je suis un vieu boxeur, au gants usés
Ce n'est même pas les visages défoncés,
Les arcades et les mâchoire en éclats
Qui les on détérioré, mais la vie et ses aléas
Les couleurs de ma frénésie, se déclinent
En sombre ocre, argent et pourpres brillants
Qui évoque le souffre, le brome et le sang
Et souvent me poursuit cette allure assassine
Au tapis, une marque s'imprègne de goudron
S'éléve dans les vapeurs des éthers
Les marbres azurées, m'ont assuré a l'unisson
Un éternel nuancé, perdus dans milles son
Souvent dans les cordes, vocales des détresses
Où se sont perdus mes espoirs et mes liesses
Sur ma mains s'est tressé ma destinée
Et les coups de cutter des pactes signés...
J'ai chaviré après un direct au foie,
Titubé, j'ai chancelé, échoué dans des bras
Trop acérés, trop tendres, trop froids
Pour y laisser mon sommeil s'y ériger Roi
Des échardes au cœur, des nattes aux doigts
J'ai noué mes mains, fait de mon corps un paquet
Je l'ai offert le sourire au lèvres, la nuque plié
Et l'orage a recroquevillé ces morceaux de moi
"L'Art est long et le Temps est court", disait Baudelaire
Et je ne sais si me levé fera de moi un héros
J'aime la clandestinité offerte par ces vers
Je suis un vieux boxeur, rester sur le carreau
De la vie
Chaarar,
Ce n'est même pas les visages défoncés,
Les arcades et les mâchoire en éclats
Qui les on détérioré, mais la vie et ses aléas
Les couleurs de ma frénésie, se déclinent
En sombre ocre, argent et pourpres brillants
Qui évoque le souffre, le brome et le sang
Et souvent me poursuit cette allure assassine
Au tapis, une marque s'imprègne de goudron
S'éléve dans les vapeurs des éthers
Les marbres azurées, m'ont assuré a l'unisson
Un éternel nuancé, perdus dans milles son
Souvent dans les cordes, vocales des détresses
Où se sont perdus mes espoirs et mes liesses
Sur ma mains s'est tressé ma destinée
Et les coups de cutter des pactes signés...
J'ai chaviré après un direct au foie,
Titubé, j'ai chancelé, échoué dans des bras
Trop acérés, trop tendres, trop froids
Pour y laisser mon sommeil s'y ériger Roi
Des échardes au cœur, des nattes aux doigts
J'ai noué mes mains, fait de mon corps un paquet
Je l'ai offert le sourire au lèvres, la nuque plié
Et l'orage a recroquevillé ces morceaux de moi
"L'Art est long et le Temps est court", disait Baudelaire
Et je ne sais si me levé fera de moi un héros
J'aime la clandestinité offerte par ces vers
Je suis un vieux boxeur, rester sur le carreau
De la vie
Chaarar,
Commentaire