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De l'espoir pour toutes les victimes défigurées accidentellement et qui souffrent cruellement de ne plus se sentir eux-mêmes.
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La femme de 38 ans qui a bénéficié, fin novembre, de la première greffe partielle de la face, a surmonté une phase de rejet quelques semaines plus tard, a-t-on indiqué vendredi au CHU de Lyon, précisant qu'elle était hospitalisée depuis mercredi à Amiens.
Le CHU d'Amiens, interrogé vendredi, avait indiqué dans un premier temps que la patiente était toujours à Lyon mais qu'il lui arrivait de faire des allers et retours à Amiens.
"Elle va bien, le rejet a été traité", a-t-on affirmé à Lyon, sans plus de précisions, dans l'entourage du professeur Jean-Michel Dubernard.
Ce chirurgien au CHU de Lyon, en charge du traitement immunodépresseur de la greffée, a participé les 17 et 18 janvier à un colloque international à Tucson (Etats-Unis) sur les greffes.
Selon des informations de la presse américaine, la patiente a connu une légère réaction de rejet de son greffon autour du 19 décembre, trois semaines après l'opération, et la peau greffée est devenue rouge. La réaction a pris fin au bout d'une dizaine de jours, après l'injection d'importantes doses de médicaments immunodépresseurs.
La patiente est sortie mercredi du CHU de Lyon. "Elle est (désormais) hospitalisée à Amiens et elle reviendra régulièrement à Lyon", a-t-on indiqué dans l'entourage du Pr Dubernard.
La jeune femme, originaire de la région de Valenciennes (Nord), avait été défigurée en mai par son chien et avait bénéficié le 27 novembre de la première greffe partielle de la face (triangle nez-lèvres-menton) à Amiens.
Cette opération avait été réalisée par l'équipe du professeur Bernard Devauchelle, spécialiste de chirurgie maxillo-faciale au CHU d'Amiens, en étroite collaboration avec celle du professeur Jean-Michel Dubernard.
source: LYON (AFP)
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La femme de 38 ans qui a bénéficié, fin novembre, de la première greffe partielle de la face, a surmonté une phase de rejet quelques semaines plus tard, a-t-on indiqué vendredi au CHU de Lyon, précisant qu'elle était hospitalisée depuis mercredi à Amiens.
Le CHU d'Amiens, interrogé vendredi, avait indiqué dans un premier temps que la patiente était toujours à Lyon mais qu'il lui arrivait de faire des allers et retours à Amiens.
"Elle va bien, le rejet a été traité", a-t-on affirmé à Lyon, sans plus de précisions, dans l'entourage du professeur Jean-Michel Dubernard.
Ce chirurgien au CHU de Lyon, en charge du traitement immunodépresseur de la greffée, a participé les 17 et 18 janvier à un colloque international à Tucson (Etats-Unis) sur les greffes.
Selon des informations de la presse américaine, la patiente a connu une légère réaction de rejet de son greffon autour du 19 décembre, trois semaines après l'opération, et la peau greffée est devenue rouge. La réaction a pris fin au bout d'une dizaine de jours, après l'injection d'importantes doses de médicaments immunodépresseurs.
La patiente est sortie mercredi du CHU de Lyon. "Elle est (désormais) hospitalisée à Amiens et elle reviendra régulièrement à Lyon", a-t-on indiqué dans l'entourage du Pr Dubernard.
La jeune femme, originaire de la région de Valenciennes (Nord), avait été défigurée en mai par son chien et avait bénéficié le 27 novembre de la première greffe partielle de la face (triangle nez-lèvres-menton) à Amiens.
Cette opération avait été réalisée par l'équipe du professeur Bernard Devauchelle, spécialiste de chirurgie maxillo-faciale au CHU d'Amiens, en étroite collaboration avec celle du professeur Jean-Michel Dubernard.
source: LYON (AFP)