L’épouse du défunt président, Houari Boumediene, Mme. Anissa Boumediene, a accusé les présidents arabes de complicité et de mutisme face à l’embargo imposé contre le peuple palestinien, au moment où le gouvernement de Moubarak tient à la construction d’un mur souterrain isolant Ghaza du monde extérieur. Lors d’une conférence de presse, tenue hier, Mme. Boumediene a indiqué que ce genre de présidents ne ressemble pas à leurs prédécesseurs, qui étaient pleins de volonté et de courage.
Dans ce sens, la conférence a débattu du patrimoine du défunt président, Houari Boumediene. Des films et des enregistrements des discours du défunt président ont été présentés lors de cette conférence, la plupart tournant autour du thème du rôle de l’Algérie dans les guerres arabes contre Israël, en l’occurrence celles de 67 et 73. « Vous ne pouvez pas rester les bras croisés devant l’agression israélienne contre une terre arabe ; vous avez le choix entre la victoire ou la mort », a dit le défunt Boumediene aux unités de l’armée algériennes qui se dirigeaient vers l’Egypte.
Dans sa déclaration, commentant le voyage du défunt président à Moscou, Mme. Boumediene a confirmé qu’il est allé dans l’objectif de demander la fourniture de l’Egypte en quantités suffisantes d’armes, pour récupérer ses terres. Selon cette dernière, l’ex président de l’URSS a refusé catégoriquement la demande égyptienne. Il a décidé de sanctionner l’Egypte, après le renvoi des experts russes par l’ex président égyptien, fraîchement installé. « Cette position met l’URSS devant sa responsabilité historique envers les arabes », a répondu Boumediene, ce qui obligé Brejnev à répondre favorablement à la demande égyptienne, et à décider d’approvisionner en armes l’Egypte, mais il a exigé que cette dernière paie cash et d’avance. Ce dernier pensait que les égyptiens étaient incapables de payer, mais Boumediene l’a surpris, en décidant de signer un chèque de 200 millions de dollars pour le compte de l’URSS, au nom de l’Egypte.
El Khabar
Dans ce sens, la conférence a débattu du patrimoine du défunt président, Houari Boumediene. Des films et des enregistrements des discours du défunt président ont été présentés lors de cette conférence, la plupart tournant autour du thème du rôle de l’Algérie dans les guerres arabes contre Israël, en l’occurrence celles de 67 et 73. « Vous ne pouvez pas rester les bras croisés devant l’agression israélienne contre une terre arabe ; vous avez le choix entre la victoire ou la mort », a dit le défunt Boumediene aux unités de l’armée algériennes qui se dirigeaient vers l’Egypte.
Dans sa déclaration, commentant le voyage du défunt président à Moscou, Mme. Boumediene a confirmé qu’il est allé dans l’objectif de demander la fourniture de l’Egypte en quantités suffisantes d’armes, pour récupérer ses terres. Selon cette dernière, l’ex président de l’URSS a refusé catégoriquement la demande égyptienne. Il a décidé de sanctionner l’Egypte, après le renvoi des experts russes par l’ex président égyptien, fraîchement installé. « Cette position met l’URSS devant sa responsabilité historique envers les arabes », a répondu Boumediene, ce qui obligé Brejnev à répondre favorablement à la demande égyptienne, et à décider d’approvisionner en armes l’Egypte, mais il a exigé que cette dernière paie cash et d’avance. Ce dernier pensait que les égyptiens étaient incapables de payer, mais Boumediene l’a surpris, en décidant de signer un chèque de 200 millions de dollars pour le compte de l’URSS, au nom de l’Egypte.
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