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Rabat se moque des expulsés marocains d'Algérie de 1975

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  • Rabat se moque des expulsés marocains d'Algérie de 1975

    Le rendez- vous du 18 décembre 2009 pour commémorer l'expulsion a été raté par l'ADMEA . Le royaume du Maroc vient de refuser un sit -in devant l'ambassade d'Algérie à Rabat pour le compte de son larbin Mohamed El Herouachi qui souffle le chaud et le froid. Un jour les victimes sauront comment se débarrasser de cet usurpateur de leur drame. Ils découvriront la lâcheté de ce monsieur qui n'a aucun rapport avec l'Algérie . Ce dernier a passé un contrat avec le makhzen pour saboter notre travail de mémoire et nous détourner de notre but afin de questionner Rabat pour ce dénie de justice envers ses citoyens du deuxieme collège.

    Source: SNP1975

    MODERATION :
    Utilisez la balise "flash" pour afficher le clip vidéo directement dans le forum : http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=57651


    .


    Merci pour votre aide .
    Dernière modification par ALGMAR, 29 décembre 2009, 22h59.

  • #2
    mais pourquoi Rabat ne vous laisse pas manifester ?

    C'est qui ce Mohamed ?

    Commentaire


    • #3
      Mohamed el Herouachi est le président de l'association pour la défense des marocains d'Algérie (ADMEA de Nador).
      C'est un autodidacte avec un accent rifain qui a crée avec deux de ses acolytes lesquels n'ont jamais vécu en Algérie. Ce sont des larbins du makhzen qui instrumentalise le drame des marocains expulsés à des fins politiques et mercantiles.

      Commentaire


      • #4
        non il y aura pas de manifestation mais plutôt un procés qui va être deposer contre l'etat algerien Janvien 2010

        la source c'est almassae j'invente pas...
        Dernière modification par Haroone, 29 décembre 2009, 15h23.

        Commentaire


        • #5
          ya un proces qui se prepare contre le marco pour avoir usurper les lagerien du maroc de leur bien avant .....1975

          Commentaire


          • #6
            Les marocains qui étaient dans l ouest Algérien n étaient t ils pas amener par les colons francai,en temps c ouvrier agricole? je pose la question si une personne connais l histoire de leurs arriver sur le territoire Algerien MERCI.

            Commentaire


            • #7
              l'algérie au temps de la présence française était très agricole et des milliers de marocains sont partis de leur plein gré pour pouvoir gagner leur vie

              Commentaire


              • #8
                Oui a la fin du 19em siècle l'immensité du territoire Algerioen et le massacres des Algeriens sur les 50 années qui precedaient ont laissé un pays avec d'énorme ressource exploitées par des communards français expulsées de leurs pays et placée en Algerie sur des terres agricoles qui furent expropriers a des Algeriens .
                Ces terres ont fait la richesse des colons avec des ouvriers agricoles en generale des rifains dans leurs majoritées.
                La grande emigration rifaienne s'est deroulée surtout entre les années 1915 et 1930................
                Mais pour la minorité d'entre eux apres l'independance ont choisies d'opter pour la nationalité marocaine...

                Commentaire


                • #9
                  Oui majorité rifaine mais pour le nombre qui est devenu algérien, j'en ai aucune idée

                  Commentaire


                  • #10
                    salamine à dit:

                    Les marocains qui étaient dans l ouest Algérien n étaient t ils pas amener par les colons francai,en temps c ouvrier agricole? je pose la question si une personne connais l histoire de leurs arriver sur le territoire Algerien MERCI.

                    Je vous invite à lire cette histoire qui date depuis le 18 éme siécle.

                    Mimoun Aziza. Enseignant chercheur Université de Meknès
                    Un siècle et demi de l’émigration rifaine : de l’émigration saisonnière vers Algérie à
                    l’émigration permanente en Europe
                    Le Rif terre de l’émigration : aux origines du mouvement migratoire dans le Rif
                    Le but de cette intervention est d’apporter un éclairage sur le thème de l’émigration
                    dans le Rif. L’approche historique que nous adoptons nous permettra de comprendre les
                    origines de ces mouvements pendant les deux derniers siècles (avant, pendant et après la
                    colonisation). Il s’agit essentiellement de traiter le thème de la relation entre la population et
                    les ressources du pays. Le Rif est, dans ce cas, un bon exemple à étudier, ici l’émigration a
                    toujours été vitale et indispensable à la survie de la population. Face à la pauvreté de son
                    territoire, l’homme rifain a toujours su trouver des ressources complémentaires ailleurs, c’està-
                    dire en quittant temporairement son pays. Ce qui fait du Rif un foyer traditionnel des
                    départs à l’étranger, dès les années soixante-dix la province de Nador comptait le taux la plus
                    haut de l’émigration. En 1974, 45.000 émigrés originaires de cette province travaillaient en
                    Europe, c’est presque le même nombre de Rifains qui fréquentaient chaque année l’Algérie
                    dans les années 40. Ainsi il nous paraît indispensable de présenter la région du Rif et de
                    brosser un tableau de la société rifaine, de son évolution dans les deux derniers siècles. Pour
                    des raisons pratiques et méthodologiques et pour mieux cerner ce phénomène nous nous
                    limiterons à la région du Rif Oriental qui correspond administrativement à l’actuelle province
                    de Nador.

                    Le pays rifain :
                    Le Rif des géographes est toute cette région comprise entre Tanger à l’ouest
                    et Oued Moulouya à l’est. Pour les habitants de ce pays, ce terme ne désigne qu’une région
                    très limitée : la côte est méditerranéenne et son arrière-pays montagneux, autour de la ville
                    d’Al-Hoceima c’est-à-dire l’actuel Rif Central. Les géographes espagnols de l’époque
                    coloniale utilisaient le terme Rif pour désigner toute la région mise sous le protectorat
                    espagnol, en distinguant entre le Rif Oriental, le Rif Central et le Rif Occidental ou le pays de
                    Jabala. Chaque région a ses particularités géographiques et humaines. Dans cette intervention,
                    nous nous limitons notre étude à la seule région du Rif Oriental. Il s’agit d’un territoire qui
                    occupe une surface de plus de 6 000 kilomètres carrés. C’est une zone frontière entre le Haut
                    Rif central et le Maroc oriental. Trois domaines peuvent être étudiés afin de bien comprendre
                    l’utilisation de l’espace :
                    La montagne : elle est présente au nord, mais il ne s’agit plus des montagnes élevées du Rif
                    central. Les sommets ne dépassent guère 1.500 mètres. Ce relief compartimenté et littoral
                    connaît un climat méditerranéen opposant une saison sèche et chaude l’été, une période
                    pluvieuse et plus fraîche commençant à l’automne et débordant sur le printemps. Malgré
                    l’aridité qui caractérise le climat de ces montagnes, des sources offrent de l’eau en
                    permanence. Ce qui est à l’origine des petites zones irriguées étagées dans les montagnes. La
                    steppe : qui domine au sud, où l’élevage prend une part importante dans l’économie de cette
                    zone, encore plus que la culture. Et puis le littoral et la mer : l’influence de la mer est
                    importante sur le climat du littoral. La pêche apporte des ressources d’appoints pour la
                    population des tribus côtières telles que Temsamane, Beni Saïd, Béni Bou Gafer et B. Chiker.
                    Il y a des raisons historiques qui expliquent que la côte est moins peuplée que les montagnes.

                    Depuis le XV
                    e siècle, la côte a été une ligne défensive contre les tentatives d’implantation des
                    Espagnols.
                    En général, toute la vie humaine dans le Rif s’organise en fonction de la rareté de l’eau. La
                    plus grande partie des cultures se fait l’hiver, aussi bien en plaine qu’en moyenne montagne :
                    en été, ce ne sont partout que de vastes campagnes nues. De même, des sources au pied des
                    montagnes servent à arroser quelques champs. Les contraintes du milieu physique et les
                    conditions de la surpopulation ont poussé les habitants à mettre le maximum de terres en
                    culture, toutes les parcelles cultivables, même les plus petites situées sur les pentes des
                    collines et dans les vallées étroites, sont exploitées. La diversification de leurs ressources était
                    une nécessité pour pouvoir survivre dans ce milieu austère. La pêche pour les tribus côtières,
                    l’artisanat et l’émigration pour le reste de la population apportaient des compléments de
                    ressources importants. Ainsi les Rifains ont pu souvent éviter les famines qui les menaçaient
                    en permanence. La présence humaine dates de plusieurs millénaires. Il s’agit d’une
                    paysannerie d’une forte tradition sédentaire.

                    Le Rif sous le protectorat espagnol : un héritage colonial conséquent en matière de
                    l’émigration
                    Comme vous le savez bien toute la zone nord du Maroc qui va de Moulouya jusqu’à la côte
                    atlantique a été soumise à partir de 1912 au protectorat espagnol. C’est ce qui a déterminé une
                    orientation particulière de son développement. L’action du protectorat espagnol, sur le plan
                    économique a été beaucoup moins importante ; pratiquement aucune infrastructure capable de
                    favoriser l’activité économique n’existe. Peu de choses ont été entreprises pour améliorer le
                    sort du fellah, pour moderniser l’agriculture, pour mettre en valeur les nouvelles terres.
                    Actuellement une large partie de la classe politique marocaine pense que la marginalisation
                    dont souffre actuellement cette région est due en partie à l'héritage colonial (
                    1). Lors de
                    l’indépendance du Maroc, cette région était parmi les régions les plus déshéritées du Maroc.
                    Elle a non seulement souffert des conséquences désastreuses d’une guerre qui a duré de 1921
                    à 1927, mais en plus elle n’a bénéficié ni des travaux d’infrastructure nécessaires, ni
                    d'investissements capables de générer le développement économique souhaité. Le bilan de
                    cette colonisation à l'indépendance du pays est très maigre, la région manquait
                    d'infrastructures nécessaires au développement économique, presque pas d'industrie, les
                    équipements sociaux étaient modestes : quelques hôpitaux, dispensaires, orphelinats et écoles,
                    mais des bureaux de contrôle (Oficinas de la Intervención) et les casernes militaires par tout,
                    il y avait deux militaires au kilomètre carré, un pour dix-neuf habitants en zone espagnole
                    contre un pour 80 habitants au Maroc français. La communication entre la zone occidentale
                    et la zone orientale du protectorat était à peine possible. À la fin du protectorat, le réseau
                    routier à peine dépassait 2000 kilomètres et les chemins de fer 230 kilomètres.
                    A notre avis, sur le plan culturel, l'Espagne a bien mieux réussi à s'implanter que la France. À
                    titre d'exemple, la langue espagnole était parlée dans les coins les plus reculés du Rif. Ce
                    phénomène est dû principalement à la présence des soldats et des petits paysans espagnols
                    dans le milieu rural à côté des Rifains. À vrai dire les conditions de vie de la population
                    espagnole n'étaient pas beaucoup mieux que celles des autochtones. Bien qu'il n'y ait pas eu
                    une vraie élite "hispanophone". C'est un phénomène très réduit, il s'agit simplement des fils de
                    quelques notables formés "à l'espagnole" et ont fréquenté les universités espagnoles. Sur le
                    plan socio-économique, les changements apportés par la colonisation n’étaient pas aussi
                    importants que dans la zone de l’occupation française. Ils n’ont modifié que partiellement

                    l’économie de la région. L’agriculture demeurera le principal secteur de l’économie rifaine.
                    à suivre

                    Commentaire


                    • #11
                      Pour ceux qui sont devenus Algeriens tu les trouves partout en Algerie
                      J'en connais au moins 3 familles 2 a Belcourt et une autre a El-Biar.
                      Par contre dans l'Oranie les Algeriens d'origines Marocaoines la proportion est tres importante de toute manière : C'est la méme graine qui a essaimé dans la region. Je connais un Sigli qui est descendant direct de Moulay Idriss le fameux roi qui a 852 enfants .........

                      Commentaire


                      • #12
                        algmar tu veux nous rendre aveugle avec cette écriture

                        Commentaire


                        • #13
                          Cependant il faut signaler que d’autres facteurs ont été à l’origine de changements Il s’agit des
                          conséquences d’une guerre coloniale qui a duré plus de dix-huit ans (1909-1927), l’imposition
                          d’une nouvelle administration coloniale et la participation de dizaines de milliers de rifains à
                          la guerre civile espagnole. Sans oublier les catastrophes naturelles : sécheresses et famines qui
                          ont entraîné des mouvements d’exode rural et d’émigration. Cette mauvaise situation héritée
                          va s'aggraver après l'indépendance du pays à cause de certaines mesures prises par le nouveau
                          gouvernement marocain. Dès 1958 la langue espagnole a été remplacée par la langue
                          française dans l'administration ce qui a participé à la marginalisation de l'élite locale formée
                          dans les écoles espagnoles. En 1963 les mêmes mesures ont été prises dans les écoles, la
                          langue espagnole fut remplacée par la langue française. De plus cette région n'apparaîtra pas
                          dans les programmes de développement du pays malgré la situation de crise dont elle se
                          trouvait surtout qu’elle a subi les conséquences de la guerre de libération nationale.
                          L’Espagne de son côté a tourné le dos à son ancienne colonie. Depuis cette date, on n’entend
                          plus parler du Rif. Ce silence peut être justifié par les mauvais souvenirs que garde une partie
                          de la population espagnole de ce pays. Ce n’est qu’à partir des années quatre-vingt, ce qui
                          correspond à l’augmentation du flux migratoire marocain vers l’Espagne, que la classe
                          politique et une large souche de la population espagnole commencent à s’intéresser au pays
                          voisin et particulièrement à la zone nord qui représente le grand pourvoyeur de la main
                          d’oeuvre migrante. Cela correspond à l’adhésion de l’Espagne à la Communauté Européenne
                          en 1985 et un certain dynamisme économique qu’a connu ce pays comme conséquence de
                          cette adhésion. La présence des milliers de Marocains sur le territoire ibérique a suscité un
                          intérêt particulier chez les universitaires espagnols, un besoin de redécouvrir cette ancienne
                          colonie espagnole.
                          L’histoire de l’émigration dans le Rif : L’émigration saisonnière vers l’Algérie
                          Le Rif a été historiquement et géographiquement une région ouverte sur l’ouest algérien.
                          Tout au long des siècles derniers des liens se sont tissés entre le Rif et l’Oranie. Les
                          relations commerciales remontent au temps les plus reculés. Depuis plusieurs siècles, Oran
                          est le port du grand marché du Rif qui concurrence avec celui de Melilla situé au plein Rif
                          Oriental. Ces liens apparaîtront également lorsque l’émir Abd El Kader, chef de la
                          résistance algérienne, se réfugia au Maroc, il trouva l’appui des tribus rifaines. La conquête
                          française a élargi ses relations en facilitant les moyens de transport. Dès le début du
                          défrichement des terres et l’implantation d’une nouvelle économie de type coloniale en
                          Algérie, les Rifains commença à se rendre en Algérie à la recherche du travail chez les
                          colons français. L’un des premiers témoignages qu’on a pu avoir dans ce cas, situe le début

                          de cette émigration vers la moitié du XIX
                          e siècle :
                          «


                          Le 18 novembre de la même année 1852, agissant sans doute en représailles, les
                          Espagnols de Melilla s’emparent d’une barque marchande appartenant à des Geulaya,
                          et qui faisait route tribu viennent maintenant louer leurs bras colons à l’époque des
                          moissons » (


                          2).
                          En s’appuyant sur les « Archivo Histórico Nacional » de Madrid, D. Hart signale que la
                          première mention des relations de Ait Ouariaghel avec l’Algérie date de 1856


                          (3).
                          En 1859, dans le Maroc inconnu, A. Mouliéras


                          (4) rappelle que chaque année plus de 20.000
                          Rifains viennent travailler chez les colons en Algérie. Louis Milliot


                          (5) rapporte vers 1934 que
                          «cette émigration remontait aussi loin que les souvenirs des générations actuelles et d’après
                          témoignages des anciens colons d’Oranie, il y a une cinquantaine d’année au moins que le
                          défrichement et les moissons y sont exécutés par des travailleurs rifains


                          ». Les informations
                          recueillies par R. Bossard auprès des « vieux » du Rif oriental montrent que dans le douar
                          Lemsaratte de


                          (6),la commune rurale de Dar Kebdani, on allait en Algérie dés avant la guerre
                          avec les Espagnols, probablement avant 1909. Les Guelaya étaient les premiers parmi les
                          Rifains à émigrer vers l’Algérie, étant donnée leur situation près de Melilla, d’où ils
                          embarquaient en bateau vers Oran. Cette émigration qui remonte au début de la deuxième
                          moitié du XIX


                          e siècle est devenue plus importante dans la dernière décennie du XIXe siècle,
                          lorsqu’une liaison maritime fut établie entre Melilla et Oran. Melilla ne devint un véritable
                          port qu’après 1892 et les bateaux firent alors la navette entre cette enclave et l’Algérie. Ils ont
                          même participé à la construction des chemins de fer de l’Afrique noire en 1895


                          (7). En 1896, il
                          y avait 15.524 Marocains en Algérie, le département d’Oran regroupait 11.824



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                          • #14
                            myra c'est vrai qu'il y a une importante communauté d'origine marocaine à ain temouchent?

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                            • #15
                              Walis 19

                              Moi même , je n'arrive pas à lire ces petits caractères. Pardon mon ami , je n'ai pas le temps et la patience.
                              Vous savez que moi aussi ,je suis natif à Ain Temouchent.

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