Quatre Libanais ont figuré dans le classement 2009 des cinquante premiers milliardaires arabes établi par le magazine Arabian Business.
Les fortunes cumulées de ces quatre ressortissants libanais ont compté pour 5,4 % de la valeur totale nette du patrimoine des milliardaires figurant dans ce classement.
Le Premier ministre Saad Hariri a notamment été classé en 18e place, avec une fortune personnelle estimée à 4,3 milliards de dollars. À la tête de Saudi Oger, la compagnie familiale spécialisée dans la construction d'une valeur de 9 milliards de dollars, M. Hariri en est également actionnaire. En outre, il a investi dans le secteur bancaire, immobilier, touristique, les télécommunications ou encore dans les médias.
M. Ayman Hariri est quant à lui classé en 34e place, progressant de deux échelons par rapport au classement précédent avec une fortune estimée à 2,4 milliards de dollars. En plus de sa participation à Saudi Oger, il possède des parts dans les secteurs des médias et de la technologie. Il est suivi de près par son frère Bahaa Hariri en 36e position. Ce dernier, qui a chuté de 3 places depuis le classement de 2008, possède une fortune estimée à 2,3 milliards de dollars et travaille principalement dans l'immobilier et le secteur bancaire privé
De plus, l'Arabian Business, dont le sondage a été repris par le bulletin économique hebdomadaire le Lebanon This Week de la Byblos Bank, a classé l'ancien vice-Premier ministre M. Issam Farès à la 37e place de son Top 50 régional, avec une fortune estimée à 2,3 milliards de dollars.
Selon le magazine, M. Farès, qui a perdu 5 échelons en comparaison avec le classement de 2008, a fondé des compagnies spécialisées dans l'ingénierie, l'aviation, le pétrole et le gaz, le développement immobilier ou encore la finance, entre autres. Toujours selon le sondage, il posséderait également un vaste réseau de contacts avec les chefs d'État du monde entier.
Soulignons qu'en tête de liste avec 18 milliards de dollars, figurait le prince saoudien al-Walid ben Talal, qui a gagné un milliard de dollars de plus qu'en 2008.
Le sondage a estimé que la fortune cumulée des 50 familles ou individus arabes les plus riches s'est élevée à 207 milliards de dollars en 2009, soit une augmentation de presque 4 % en comparaison avec l'an dernier. D'après l'Arabian Business, la moyenne du Top 50 en termes de fortune est passée à 4,14 milliards de dollars cette année.
L'Orient-Le Jour.
Les fortunes cumulées de ces quatre ressortissants libanais ont compté pour 5,4 % de la valeur totale nette du patrimoine des milliardaires figurant dans ce classement.
Le Premier ministre Saad Hariri a notamment été classé en 18e place, avec une fortune personnelle estimée à 4,3 milliards de dollars. À la tête de Saudi Oger, la compagnie familiale spécialisée dans la construction d'une valeur de 9 milliards de dollars, M. Hariri en est également actionnaire. En outre, il a investi dans le secteur bancaire, immobilier, touristique, les télécommunications ou encore dans les médias.
M. Ayman Hariri est quant à lui classé en 34e place, progressant de deux échelons par rapport au classement précédent avec une fortune estimée à 2,4 milliards de dollars. En plus de sa participation à Saudi Oger, il possède des parts dans les secteurs des médias et de la technologie. Il est suivi de près par son frère Bahaa Hariri en 36e position. Ce dernier, qui a chuté de 3 places depuis le classement de 2008, possède une fortune estimée à 2,3 milliards de dollars et travaille principalement dans l'immobilier et le secteur bancaire privé
De plus, l'Arabian Business, dont le sondage a été repris par le bulletin économique hebdomadaire le Lebanon This Week de la Byblos Bank, a classé l'ancien vice-Premier ministre M. Issam Farès à la 37e place de son Top 50 régional, avec une fortune estimée à 2,3 milliards de dollars.
Selon le magazine, M. Farès, qui a perdu 5 échelons en comparaison avec le classement de 2008, a fondé des compagnies spécialisées dans l'ingénierie, l'aviation, le pétrole et le gaz, le développement immobilier ou encore la finance, entre autres. Toujours selon le sondage, il posséderait également un vaste réseau de contacts avec les chefs d'État du monde entier.
Soulignons qu'en tête de liste avec 18 milliards de dollars, figurait le prince saoudien al-Walid ben Talal, qui a gagné un milliard de dollars de plus qu'en 2008.
Le sondage a estimé que la fortune cumulée des 50 familles ou individus arabes les plus riches s'est élevée à 207 milliards de dollars en 2009, soit une augmentation de presque 4 % en comparaison avec l'an dernier. D'après l'Arabian Business, la moyenne du Top 50 en termes de fortune est passée à 4,14 milliards de dollars cette année.
L'Orient-Le Jour.
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