Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La flambée des prix des légumes se poursuit en Algérie

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La flambée des prix des légumes se poursuit en Algérie

    Malgré la mise en place du système de régulation des produits de large consommation, la flambée des prix continue de sévir en Algérie. Rachid Benaïssa, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, semble ne plus savoir sur quel pied danser. « Il y a des tentatives d’améliorer la stabilité des prix », s’est-il contenté de dire, hier, en marge de la tenue de l’assemblée ordinaire de la Chambre nationale d’agriculture (CNA), à Alger. Sans pour autant reconnaître l’échec du système de régulation mis en place auparavant, le ministre concède cette autre phrase lourde de sens : « Le marché est toujours dérèglementé. » Un aveu d’échec on ne peut plus clair de la part d’un haut responsable quant à la persistance du problème relatif aux prix des produits agricoles de large consommation en Algérie. Dans les marchés populaires, les prix donnent le tournis. Et la régulation tant serinée n’a pas pour autant permis d’atténuer un tant soit peu la fièvre qui s’en est emparée des étals. M. Benaïssa rappelle, à ce propos, que les prix sont soumis à la loi de l’offre et de la demande, avec cette précision que le gouvernement est en train de tout mettre en œuvre pour réguler le marché. Percevant les limites, voire l’inefficacité de l’ancien système de régulation de prix des fruits et légumes en Algérie, le ministre est venu annoncer une nouvelle « opération de régulation » du marché. Il s’agira, selon ses explications, de la réhabilitation des entrepôts de froid et la mise en place de bases logistiques par des entreprises publiques et qui devront être installées dans les wilayas de Sétif, Chlef, Aïn Defla et Aïn Mlila. « A la lumière de cette réhabilitation, je pense que le système de régulation aura des effets concrets », espère-t-il. En clair, le ministre n’est pas arrivé à bout de sa stratégie de mettre un peu d’ordre dans la maison, qui semble tout compte fait échapper carrément à son contrôle. De son côté, Mohamed Cherif Ould El Hocine, président de la CNA, ne s’est pas gêné pour voler au secours de deux ministres que les observateurs tiennent pour responsables de la flambée de la mercuriale. « C’est scandaleux qu’un kilo de tomate soit écoulé à hauteur 140 DA, mais la faute ne relève pas du ministère de l’Agriculture ou celui du Commerce », a-t-il tonné lors de son allocution au cours de l’assemblé ordinaire du CNA. Le problème, selon lui, tient au déficit important en matière d’infrastructures de commercialisation des produits agricoles frais en Algérie. Pour étayer ses propos, M. Ould El Hocine révèle que 71% de la production agricole passe par le circuit informel. Il avance le chiffre de 11 marchés informels de gros. Ceci alors que l’Algérie, dispose, note-t-il, de seulement 42 marchés de gros formels. « C’est insuffisant. Cela ne peut pas contenir toute la production nationale agricole, évaluée annuellement à 96 millions de tonnes, tous produits confondus », déplore-t-il. Il indique dans la foulée que seules 703 communes sur le territoire national disposent de marchés de détail.

    El Watan

  • #2
    2009 s’achève comme elle a commencé. Par la découverte en Algérie de nouveaux gisements d’hydrocarbures. Plus précisément dans les bassins de Berkine, d’Illizi et d’Amguid Hassi Messaoud. Alors oui ! Bonne année messieurs ! Car la nouvelle année ne peut qu’être bonne dans ces conditions. Comme l’a été la précédente. Et comme le seront sûrement les suivantes. Bonne, heureuse et grasse année. C’est sincère, je vous l’assure. Pourquoi diantre devrions-nous tous vivre la galère ? Que certains d’entre «nous» au moins ne pataugent pas dans la gadoue, mais en vivent bien, très bien, divinement bien. Je vous souhaite, messieurs d’autant plus une bonne année que juste après avoir lu l’information sur la découverte de nouveaux gisements de pétrole et de gaz dans le Sud, je me suis rendu au marché, et que là je suis tombé nez à nez avec la tomate à…120 dinars. Si ! Si ! Je vous jure, vous pouvez vérifier. Envoyez vos limiers, ils pourront interroger à loisir la population locale, les marchands et les oiseaux et arbres eux-mêmes éberlués : dans la matinée d’hier, la tomate s’est vendue à 120 dinars dans les marchés dits populaires. Vous comprendrez alors, messieurs que si, à vous qui venez d’enregistrer avec une grasse satisfaction la découverte de naphte dans «notre» sous-sol, je peux effectivement souhaiter une bonne année 2010, je ne peux, par contre, décemment en faire de même avec le reste de la population. Les restes de cette population qui va commencer la nouvelle année en lorgnant une tomate à 120 dinars. A ceux-là, le seul vœu que je puisse leur présenter est toujours le même : je nous souhaite de fumer du thé pour rester éveillés à ce cauchemar qui continue.
    H. L.

    Le soir d'Algérie.

    Commentaire


    • #3
      on est au mois de janvier .. la tomate coute 120 da parceque c'est pas le moment des tomates tt simùplement .. il ya 15 ans la tomate ne coutait pas 120 da au mois de janvier , parceque tt simplement y'avait pas de tomates dans le marché .. certains se voient obligés de debiter n'imorte quoi parcequ'iols sont obligés de pondre 20 lignes avant la cloture ... il ya moins de deux mois la tomate coutait 20 da ....
      les legumes et fruits c pas la regumation qui va changer la donne , c imbecile de penser reguler le marché des tomates et des corgettes , la pomme de terre qui est arrachée actuellemet n'est pas stockable , on ne stocke que la pomme de terre d'ete .. le probleme est la production .. on ne produit pas bcp , parceque les gens ne veulent pas suer , ne veulent pas rsiquer .. des milliers d'ha en jachere , on attend la saison des blé .. avec la majoration des prix du blé , je m'attand a un phenomene nouveau en algerie , tt le monde fera du blé .. on aura bcp de blé mais on aura pas de legumes frais et moins de fruits qui demandet trop de couts , et trop de travail .. voilà si on veut des tomates qu'on se retrousse les manches ... et qu'on cesse de parler de ce qu'on ne maitrise pas .
      Dernière modification par jamaloup, 31 décembre 2009, 19h56.
      en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

      Commentaire


      • #4
        la tomate coute maintenant au maroc 2,5 DH à 4 Dh
        100DA=10,79 MDH

        Commentaire


        • #5
          il ya moins de deux mois la tomate coutait 20 da
          salut,

          Je ne comprends pas si en moins de 2 mois elle faisait 20 DA comment elle a fait pour grimper apres moins de 2 mois a 120 DA :22:
          Dernière modification par absente, 01 janvier 2010, 14h47.

          Commentaire


          • #6
            sinon pour les autres fruits et legumes c'est quoi les prix?courgettes aubergines haricoté ...Etc banane pomme orange ...etc?

            Commentaire


            • #7
              c comme ça le marché algerien , il est instable , il se pourrait tres bien que dans deux mois la tomate perd 100 da .. ceux qui pondent des articles dans leurs bureaux a algers qet qui secroient journalistes n'ont qu'à sortir d'alger et aller dans les champs , dans les marchés ; et entreprendre un vrais travail journalistique , pas faire dans les editorieux a deux sous comme on le faisait au 18 eme siecle, dans un fauteuil entre deux bouffées de fumées de leur pipes ..

              que vient faire le maroc ici .. le maroc exploite 100% de son potentiel agricole avec l'aide d'investisseurs etranger lk'algherie n'exploite pas 20 % de son potentiel avec seulement les agriculteurs algerien .... la tomate marocaine est intgére dans le marché international c pas le cas pour le produit agricole algerien , quand ya un surplus sur le marché national c'es l''ffondrement, la pomme de terre s'est effondré il ya qque temps , 18 da au champs , elle arrive a 30 da au consomateur , à 18 da c'est la catastrophe pour les agriculteurs ..exporter n'a jamais éré une priorité pour les decideurs algeriens , quand les prix chuttent sur le marché national c'est l'indifference totale .. qund ça flambe c'est des speculations politiques et des editorieux sur les journaux .. mais de vrais solutions comme regler la situtaion du foncier agricole .. ouvrir l'agriculture aux investissements etrangers , developper la recherche en creeant des poles d'excelence sur kles fermes pilotes .. lancer l'agriculture saharienne en creeant un entreprise etatique specialisé dans la mise en valeur des terres et mise du le marché de nouveaux espaces agricoles .. creer une entreprise puissante de commercialistation ,marketing pour le produit agricole algerien sur le marché international .. bref une vraie politiqu agricole et commerciale integrée ..tt ceci se fera un jour quand l'agriculture deviendra une activité interessante dans le pays ..

              pour les fruits et legumes je pense que si le blé continue a etre soutenue comme on est entrain de le faire bcp vont se consacrer au blé , à 5000 da le quintal c'est bcp plus rentable que la tomate , moins risqué .. avec bcp moins de couts ..
              en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

              Commentaire


              • #8
                Franchement, je suis decourage par ces journaleux.
                Parler de la tomate au mois de Decembre, en Algerie, est plus que ridicule.
                Elle existe sur les etals et c'est deja pas mal. Elle est cultivee sous serre et les serres, toutes charges confondues, coutent extremement cher.

                Comme disait Djamalou, il ya quelques annees seulement, la tomate etait inexistante au mois de decembre; Les algeriens consommaient les fruits et legumes de saison qui meme aujourd'hui sont cedes a des prix abordables.

                Il serait interessant de connaitre les prix du choux, choux fleur, carottes, navets, olives, oranges, mandarines, poireaux, etc....

                Commentaire


                • #9
                  Tomate

                  Achetée ce matin à 70 Da !

                  Commentaire


                  • #10
                    c comme ça le marché algerien , il est instable , il se pourrait tres bien que dans deux mois la tomate perd 100 da .. ceux qui pondent des articles dans leurs bureaux a algers qet qui secroient journalistes n'ont qu'à sortir d'alger et aller dans les champs , dans les marchés ; et entreprendre un vrais travail journalistique , pas faire dans les editorieux a deux sous comme on le faisait au 18 eme siecle, dans un fauteuil entre deux bouffées de fumées de leur pipes ..
                    Bonjour Jamaloup et bonne annee

                    Tu es un agriculteur? Tu devrais ecrire dans les journeaux sur ce domaine au lieu de laisser le travail a des gens qui ne savent pas ce qui se passe.

                    Pourquoi la tomate ne devrait pas exister en Decembre? C'est un legume/fruit qui n'est pas saisonnier.

                    Commentaire


                    • #11
                      adrar est la capitale de la tomate en algerie, produite sous serre avec goute a goute on devrait quand meme en avoir en decembre a bas prix vu que a adrar sous serre on peut la cultiver en hiver.
                      mais dans les autres regions c'est pas la saison,d'ou l'explication de l'envolée du prix je pense.mais dans 3 mois elle reviendra a son prix normal

                      Commentaire


                      • #12
                        A Alger on la trouve a 80 DA au marche. Je ne sais pas d'ou ce journaliste ramene ses prix??

                        Autre chose: Adrar est a 1000 km de la cote, donc la tomate d'Adrar sera toujours plus chere que celle de la Mitidja.

                        Sans parler du fait qu'il n'y a pas assez de transporteurs agricoles qui font l'axe Adrar-Cote Med pour transporter toute la production d'Adrar, et que en + la production d'Adrar reste insuffisante pour stabiliser le marche a elle seule.

                        ∑ (1/i²) = π²/6
                        i=1

                        Commentaire


                        • #13
                          adrar est plus de 1000 km ,d'alger .. ya biskra mantenant , ya el wed ..tte la tomate d'hiver vient ous serre , le goute a gute est generalisé .. les 100 da , c juste que la quantité manque actuellement , peut que dans deux ou trois semaines elle arrivera .. personne ne peut prevoir le marché chez nous .. parceque personne ne sait qui a planté quoi quand et surtt combien .. il suffis que qques milliers d'ha ne soient pas plantés a temps , qu'il ya un tetard de maturité pour des raisons climlatiques que celà se sene sur le marché .. et le contraire est vrais ..

                          pour ce qui est de la tomate d'adrar .. des setifiens l'achetent 2,5 da labas et la vendent 50 da au nord .. en une saison ils esquintent un camion sonacome dix tones type K120 .. le seul qui peut tenir la ropute adrar canstantine .. ..mais il ramassent assez d"'argent pour acheter deux ..
                          en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

                          Commentaire


                          • #14
                            il faut develloper des voies express reliant le nord au sahra.
                            dans tous les sens
                            mais tu as raison le management,la gestion c'est pas notre fort.

                            Commentaire

                            Chargement...
                            X