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Le syndicat des médecins demande le retrait immédiat du vaccin contre la grippe A
Un médecin Sétifien serait mort suite à sa vaccination
Le syndicat des médecins demande le retrait immédiat du vaccin contre la grippe A
Le syndicat national des médecins et maitres assistants a demandé par le biais de son annexe de Sétif le retrait immédiat de l’Arepanrix, le vaccin contre la grippe porcine, et insiste sur la nécessité de faire toute la lumière sur le décès inexpliqué du chef de service de réanimation du CHU de Sétif, Mme Lilia Rezig.
Le personnel du service des urgences est en effet consterné, selon les dernières informations l’autopsie ordonnée par le procureur de la république a écarté la possibilité d’un suicide ou d’une quelconque maladie, pour preuve ce dernier a délivré un permis d’inhumation avant-hier dans la soirée et a ordonné un prélèvement sanguin devant être analysé par le laboratoire régional de la police scientifique de Constantine, ainsi qu’une dose du produit de la pharmacie de l’hôpital afin de déterminer le numéro de série du vaccin ayant entrainé la mort du médecin.
La famille de la défunte, qui laisse derrière elle deux enfants, a juré avant même le résultat des analyses, de poursuivre en justice tous les responsables, même le ministère et le laboratoire le produisant.
El khabar a enfin noté que tous le personnel du secteur sanitaire de la wilaya était réfractaire à la vaccination, particulièrement à El Eulma, où un refus unanime a été opposé à l’opération, sans les garanties par les responsables du secteur que le vaccin avait été soumis à plusieurs analyses.
Le syndicat des médecins demande le retrait immédiat du vaccin contre la grippe A
Le syndicat national des médecins et maitres assistants a demandé par le biais de son annexe de Sétif le retrait immédiat de l’Arepanrix, le vaccin contre la grippe porcine, et insiste sur la nécessité de faire toute la lumière sur le décès inexpliqué du chef de service de réanimation du CHU de Sétif, Mme Lilia Rezig.
Le personnel du service des urgences est en effet consterné, selon les dernières informations l’autopsie ordonnée par le procureur de la république a écarté la possibilité d’un suicide ou d’une quelconque maladie, pour preuve ce dernier a délivré un permis d’inhumation avant-hier dans la soirée et a ordonné un prélèvement sanguin devant être analysé par le laboratoire régional de la police scientifique de Constantine, ainsi qu’une dose du produit de la pharmacie de l’hôpital afin de déterminer le numéro de série du vaccin ayant entrainé la mort du médecin.
La famille de la défunte, qui laisse derrière elle deux enfants, a juré avant même le résultat des analyses, de poursuivre en justice tous les responsables, même le ministère et le laboratoire le produisant.
El khabar a enfin noté que tous le personnel du secteur sanitaire de la wilaya était réfractaire à la vaccination, particulièrement à El Eulma, où un refus unanime a été opposé à l’opération, sans les garanties par les responsables du secteur que le vaccin avait été soumis à plusieurs analyses.