Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Qui veut la peau de Dubai ?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Qui veut la peau de Dubai ?

    Citation:
    Qui veut la peau de Dubai ?

    On a assisté ces dernières semaines à une tempête médiatico-financière sur Dubai où la faillite de l’émirat était omniprésente même à la télé. Or ce fut une tempête (pas de sable) dans un verre d’eau, le Président du Comité budgétaire de Dubaï, a pourtant exhorté les médias à ne pas confondre la dette de Dubai World concernant notamment la partie immobilière Nakheel et celle du gouvernement de Dubaï, précisant que les dettes de ce dernier étaient pratiquement nulles. Le ministre émirati du Commerce Sultan ben Saïd al-Mansouri a assuré que les dettes du conglomérat Dubai World n’allaient pas ébranler l’économie de l’émirat et a déploré la "campagne médiatique" visant la fédération des Émirats arabes unis.

    Étrange que Dubai ne laisse pas indifférent et soit le creuset de toutes les critiques. La majorité des médias reprenaient en cœur les mêmes mots, les mêmes expressions ; " démesure", "pharaonique", " projets fous" , "émirat de sable, " mirage dans le désert", "un empire qui s’écroule " etc ... sans avoir même pris parfois la peine d’en savoir plus. Qui en veut en Dubai ? et pourquoi ?

    Certains milieux cherchent clairement à fragiliser l’émirat et le succès qu’il a bâti comme centre de la finance et du commerce au Moyen-Orient, véritable pôle d’attraction d’investissements étrangers. « Beaucoup sont envieux de la réussite Dubai ses dernières années » précise un haut responsable du groupe Arabtec.

    Même les Bourses de Dubaï et d’Abou Dhabi se sont ressaisies dimanche après des pertes en début de semaine, clôturant en hausse pour la première fois depuis l’annonce des difficultés financières de Dubaï World. « Il est surprenant que la Bourse de Dubaï remonte. Le marché ne s’attendait pas à une reprise rapide à Dubaï. Cela montre que nombre d’investisseurs sont désormais convaincus que la campagne médiatique sur la dette de Dubai était exagérée » a commenté l’analyste financier d’Al-Fajr Securities, Houmam al-Shamaa.

    En moins d’une décennie, Dubai a su ériger une ville du futur avec des infrastructures haut de gamme ; métro, aéroport et des pôles universitaires qui attirent les plus grandes universités internationales. Rare sont les médias qui parlent des zones franches qui font le succès de l’émirat ; Dubai Duty Free, Emirates, qui dessert les principales capitales de la planète , le port de Jebel Ali qui draine 20 % du trafic mondial de conteneurs, Dubai Internet City, Dubai Media City, Dubai Maritim City, Dubai Biotech City et Dubai Sicilicon Oasis future Sicilon Valley du monde arabe.

    Certes Dubai a voulu aller trop vite et vu trop grand parfois et la crise de septembre 2008 a fait explosé la bulle immobilière. Oui avec la dette de Dubai World, des projets comme The World ou Dubai Waterfront, Palm Deira vont passer à la trappe et c’est tant mieux. Mais on oubli qu’en moins de 10 ans, Dubai a su sortir de terre une véritable Manhattan du désert le long de l’autoroute Skheih Zayed road. Là où l’on crie au génie architecturale comme les grattes ciels de New york, là où l’on loue la croissance chinoise avec certaine hyprocrisie alors que des milliers travailleurs chinois sont payés moins de 100 euros par mois , on critique encore et encore le Burj Dubai pour sa démesure et l’exploitation faite des ouvriers pakistanais pourtant bien mieux payés qu’ailleurs. Dubai n’a fait que s’inspirer des modèles déjà existant que sont les villes mondes New York, Hong Kong, Singapour. Or, point de critique sur ces villes ultralibérales !

    Le 4 janvier 2010, Cheikh Mohamed l’émir de Dubai devrait inaugurer Burj Dubai, le plus haut gratte-ciel habité au monde symbole de la renaissance arabe, tout un symbole ! En février 2010, la ligne du métro sera totalement ouverte et le second aéoport international Al maktoum situé à Jebel Ali pourra accueillir les cohortes d’ A380 venus du monde entier.

    Finances saines

    Je tiens à rassurer tout le monde : notre économie est saine", a déclaré solennellement le président de la fédération des Émirats, cheikh Khalifa Ben Zayed Al-Nahyane, dans un discours à la nation à la veille de la célébration du 38e anniversaire de la fête nationale du pays. Alors que les analystes reprochent à Dubaï le manque de transparence dans la gestion de la crise, son souverain, cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum, est sorti de son silence, faisant écho au chef de l’Etat en affirmant que Dubaï était "fort et persévérant", tout en dénonçant une campagne "médiatique tendancieuse". "La crise financière mondiale ne nous poussera pas à hésiter, à reculer ou à désespérer car nous sommes confiants en la capacité de notre peuple et en nos ressources", a affirmé le président émirati.

    Un éditorial du quotidien dubaïote, Al-Bayan, relève qu’il « suffirait à Abu Dhabi de réduire sa production pétrolière de 10% pendant deux semaines, pour provoquer une hausse immédiate du baril à 90 dollars qui épongerait la dette en un mois de production ». A cela s’ajoute l’ADIA, le fonds souverain d’Abu Dhabi, considéré comme le plus important du monde et qui, selon l’agence de notation financière Moody’s, « dépasse considérablement à lui seul la dette extérieure du pays ». « Au total, les réserves d’Abu Dhabi sont estimées à au moins 500 milliards de dollars », note un diplomate occidental. Selon des statistiques officielles, le PIB émirati était de 253 milliards de dollars en 2008.

    Dans un communiqué, Moody’s estime que l’annonce d’une restructuration de Dubai World et d’une demande d’un moratoire sur sa dette ne devrait "pas menacer" la solidité des finances d’Abou Dhabi et du gouvernement fédéral. "La stabilité macro-économique (des Emirats) est protégée par le statut du pays comme un solide créancier net, réconforté par la richesse pétrolière cumulée d’Abou Dhabi", écrit Tristan Cooper, analyste en chef à Moody’s.

    La finance islamique convoitée

    La finance islamique attire aussi toutes les convoitises, son domaine couvre quasiment tous les métiers de la banque et gèrent des capitaux d’un montant total estimé à 700 milliards de dollars. Ce gisement immense de liquidités, essentiellement dans les pays pétroliers du Moyen- Orient, grâce notamment à l’envolée du prix de l’or noir, cherche des placements rémunérateurs, mais dans le respect des valeurs et de l’éthique de la loi islamique tirée du Coran et de la charia. Les économies des pays développés, surtout dans le contexte de la crise de la finance mondiale, ont plus que jamais besoin de financements si elles veulent maintenir un certain niveau de croissance dans leurs pays, préserver les emplois dans leurs entreprises et continuer à investir dans les infrastructures de demain. Après Londres, New -York et Paris c’est au tour de Dubai, Manama et Riyad de devenir les places financières mondiales de demain.
    Le centre de gravité du monde est en train de basculer vers le Moyen-Orient, véritable interface entre une Europe vieillissante et l’Asie conquérante. En 2020, avec un baril de pétrole plus de 100 dollars, les pays du Golfe auront une puissance financière capable d’impacter l’Europe et les État-Unis ....et c’est cela qui fait peur !


    Publié le 7 décembre 2009

  • #2
    Suite 1

    En conclusion, j’y ajouterai tout autant un « certain nombre d’arabes », « bien heureux », eux et leurs très nombreux sbires serviles, noyer dans leurs totales ignorances et incompétences, dans ce lot de grand panier de crabes.
    Mais messieurs, à votre aise, grand bien vous fasse. Je vous laisse vous, ainsi que tous vos collégionnaires, à vos non moins pitoyables illusions.
    Et je vous dis en définitive nous verrons. Car rira bien, qui rira le dernier.















    Commentaire


    • #3
      Suite 2















      Commentaire


      • #4
        L'Europe et le monde méditérannén pour ne pas dire son flanc sud n'ont pas encore compris que le centre du monde bascule vers l'est, malgré des signes évident, comme le rachat de Volvo par une firme chinoise ou le marché de centrales nucléaires à Abu Dhabi emporté par les Coréens.

        C'est ce que Jacques Attali s'efforce de dire en une phrase simple "Sortir de l'histoire"
        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

        Commentaire


        • #5
          Qui veut la peau de Dubai ?
          Dubai, elle même.


          Lorsqu'on dépense 2 milliards de dollars pour un circuit automobile qui ne servira qu'une fois l'an,

          Lorsqu'on édifie une tour de 800 m pour la bagatelle de 1,5 milliards de dollars

          Lorsqu'on construit une descente de ski (avec une neige artificiel qui nécessite une consommation d'énergie équivalente à celle d'une ville moyenne) pour je ne sais quel montant ...

          Il ne faudrait pas s'étonner !!!

          Commentaire


          • #6
            L'orgueil des nouveaux riches!
            Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

            Commentaire


            • #7
              Bonjour jawzia
              Dubai, elle même.


              Lorsqu'on dépense 2 milliards de dollars pour un circuit automobile qui ne servira qu'une fois l'an,

              Lorsqu'on édifie une tour de 800 m pour la bagatelle de 1,5 milliards de dollars

              Lorsqu'on construit une descente de ski (avec une neige artificiel qui nécessite une consommation d'énergie équivalente à celle d'une ville moyenne) pour je ne sais quel montant ...

              Il ne faudrait pas s'étonner !!!
              Le circuit automobile est à Abu Dhabi. Certes, c'est beaucoup d'argent dépensé mais ça attire de nombreux touristes. Peu avant la course, j'étais à Abu Dhabi. Des touristes avec qui j'ai parlé sont venus à cause de la course. Ils ont même décidé d'acheter un logement sur place car ils ont adoré la ville. Ca a des retombées, Et puis, 2 milliards, ce n'est rien pour eux. C'est la même somme qui doit être détournée chaque année en Algérie.

              La tour de 800 mètres a déjà rapporter beaucoup. 90% des apartements ont été vendus ainsi que les commerces. De plus, le développeur de ce projet possède tous les terrains autour de cette tour dont les prix sont montés en flèche. A long terme, c'est un investissement plus que rentable sans parler de l'aspect spectaculaire de cette tour: un autre trademark pour Dubai. J'aimerais qu'Alger en ait au moins un...

              Et pour la piste de ski, elle est assez occupée. Si elle fonctionne à perte, les retombées sont très bonnes pour le Dubai mall.

              La plupart des critiques sur les EAU sont infondées.
              Dernière modification par DZmes Bond, 05 janvier 2010, 13h47.
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

              Commentaire


              • #8
                L'avenir de l'économie de Dubai

                Aujourd'hui, l'économie de Dubai est fortement basée sur les échanges commerciaux. La vision gouvernementale pour 2015, définie dans le programme stratégique de Dubai, met en avant la diversification de l'économie comme objectif stratégique majeur. Il s'agit d'une diversification vers une économie davantage axée sur les services et les connaissances, afin de renforcer la position de Dubai en tant que centre touristique, financier et d'affaires ainsi qu'acteur du marché immobilier.

                Les objectifs sont en particulier le maintien de la croissance économique à un taux annuel de 11 % pour atteindre un PIB de 108 milliards de dollars américains d'ici 2015 et pour porter le PIB par habitant à 44 000 dollars américains, en plaçant l'accent sur le tourisme, le transport, le commerce, la construction et les services financiers. Il est intéressant de constater qu'au cours des six derniers mois, des entreprises leaders des services financiers telles que de grandes banques se sont relocalisées à Dubai, en dépit de la crise financière internationale, ce qui montre que le succès de ce programme.

                http://www.emirates.com/fr/french/de...aieconomy.aspx
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                Commentaire


                • #9
                  La plupart des critiques sur les EAU sont infondées.
                  C'est d'abord un point de vue. Et puis tout dépend sur quel plan tu voudrais que l'on évoque les points précédents.

                  Si c'est sur un plan purement économique, je voudrais bien que tu m'expliques comment un circuit automobile de 2 milliards de dollars (qui à l'opposé des autres circuits n'est utilisé que le temps d'une course) pourrait être viable et/ou rentable économiquement.

                  Commentaire


                  • #10
                    Si c'est sur un plan purement économique, je voudrais bien que tu m'expliques comment un circuit automobile de 2 milliards de dollars (qui à l'opposé des autres circuits n'est utilisé que le temps d'une course) pourrait être viable et/ou rentable économiquement.
                    Qui te dit que le dit circuit est utilisé que pendant pour cette course?

                    Commentaire


                    • #11
                      Qui te dit que le dit circuit est utilisé que pendant pour cette course?
                      Les écuries utilisent les circuits européens ou asiatiques pour leur essais. Je n'ai pas entendu parler de course de formule 3000 ... qui a eu lieu à Dubai.

                      Il reste (peut être) les "blindés" du golf qui pourront tester leur bolides en quête de quelques sensations fortes. Mais c'est loin d'être rentable

                      Commentaire


                      • #12
                        Dubaï : gaspillage insensé et exploitation forcenée


                        Dubaï, présenté comme un nouvel Eldorado du capitalisme, ce paradis pour riches sorti des sables, ce pays des fortunes rapides, où les lingots d'or se vendent dans les grands magasins et où les hôtels envoient des Rolls pour prendre leurs clients à l'aéroport, était donc un château de cartes, pour ne pas dire une escroquerie. C'est ce qui a éclaté au grand jour lorsque, le 25 novembre, les autorités de cet émirat ont déclaré qu'elles ne pourraient pas honorer leur dette de 80 milliards de dollars.

                        Nombre de grands groupes capitalistes y ont pourtant participé et en ont profité jusqu'à ce jour. Toutes les grandes banques, par exemple, ont pris part à cette spéculation, même si, de peur de devoir faire état de pertes astronomiques, elles ne veulent pas aujourd'hui reconnaître le montant de leurs engagements. Les grandes entreprises françaises, et ce ne sont pas les plus présentes, ont toutes ou presque des filiales à Dubaï ou dans un des émirats voisins, de Bouygues à Carrefour en passant par les marques de luxe, celles de l'hôtellerie et les inévitables marchands d'armes.

                        Des architectes en vue, des footballeurs de renom, des stars du rock ou du cinéma et jusqu'à l'ex-épouse de Sarkozy, Cécilia, ont fait, gratuitement ou non, l'éloge du développement de Dubaï et de sa douceur de vivre (pour eux). La plus petite agence de voyage de la ville la plus reculée proposait un Dubaï-tour, précisant bien que l'alcool n'était pas interdit dans ce pays musulman. Les reportages sur l'île artificielle monde et l'île palmier, sur la piste de ski en plein désert et sur le plus haut building de la planète ont fait le tour du monde. L'État français lui-même a participé à la campagne de promotion, implantant une antenne de la Sorbonne et une annexe du Louvre dans la région, mobilisant diplomates et marchands d'art, généraux et ministres, pour resserrer les liens avec les émirats et faire monter la mayonnaise. Sarkozy s'est même déplacé en personne dans la région, apportant sa pierre à l'édifice spéculatif. Jusqu'aux mafias de différents pays qui ont fourni les hôtels en prostituées et drogues diverses.

                        Les profiteurs et les laudateurs de Dubaï n'ont jamais eu un mot ni un regard pour les 250 000 ouvriers qui construisaient les immeubles, bases de la spéculation. Venus essentiellement d'Asie du Sud, privés de leur passeport à l'arrivée, parqués dans des baraquements situés loin de la ville et placés sous surveillance policière, conduits en bus jusqu'aux chantiers, travaillant par des températures de 40 degrés, privés de tout droit, même celui de se promener, expulsés à la moindre incartade, les ouvriers du bâtiment ont pourtant plusieurs fois relevé la tête, fait grève et manifesté. Ils ont exigé en particulier de meilleures conditions de travail, face à une exploitation qui s'est traduite par des centaines de morts chaque année sur les chantiers de Dubaï. Depuis un an que la crise a commencé et que les chantiers s'arrêtent progressivement, des ouvriers sont renvoyés sans même avoir été payés. Et, avec la faillite générale, des dizaines de milliers d'entre eux sont menacés du même sort.

                        Mais ce qui préoccupe les banquiers, et donc les États et les organismes internationaux, c'est de sauver leurs placements qui, s'ils y parviennent, serviront dans une autre spéculation, tout aussi absurde et criminelle que celle de Dubaï.

                        Paul GALOIS
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par Zek
                          L'Europe et le monde méditérannén pour ne pas dire son flanc sud n'ont pas encore compris que le centre du monde bascule vers l'est, malgré des signes évident, comme le rachat de Volvo par une firme chinoise ou le marché de centrales nucléaires à Abu Dhabi emporté par les Coréens.

                          C'est ce que Jacques Attali s'efforce de dire en une phrase simple "Sortir de l'histoire"
                          oui Zek et l'EAU represente "MESSMAR D'JEHA"

                          Commentaire


                          • #14
                            Jawzia: Premièrement, le circuit a couté un milliard et non deux. Je le répète, ils ont les moyens d'en faire 50 sans être à la peine.
                            De plus, c'est une entreprise privée qui est le promoteur. Le gouvernement d'Abu Dhabi est partenaire. Ce circuit fait partie d'un nouveau projet sur Yas Island.
                            Le circuit n'a même pas un an, laisse-lui le temps de se faire une place. Tu ne peux pas nier qu'il permet de mettre Abu Dhabi au centre du monde pendant un moment et que les retombées sont nombreuses ! C'est un formidable outil marketing.

                            Quand ils démarrent un projet, ils le terminent au moins ! J'aurais aimé qu'ils prennent en charge Dounia Park où Emaar a galéré avec le gouvernement algérien !

                            Bledard, les français sont des grands jaloux. Ils dénigrent tout le temps les pays arabes, comme ils le font avec l'Algérie. Ils devraient balayer devant chez eux : dette astronomique qui monte sans cesse, chomage galopant, insécurité, cherté de la vie, perte de vitesse en terme de compétitivité, etc... Ils vienent dénoncer "l'exploitation" alors qu'eux-mêmes passent leur journée à critiquer une jeune fille avec son voile, le temps de l'aid, etc... pays de ploucs !
                            Désolé, mais le mode de penser français vwenant tout droit de la période coloniale, ce n'est pas pour moi. Dommage que ça a fait des émules sur les victimes algériennes !
                            Dernière modification par DZmes Bond, 05 janvier 2010, 16h57.
                            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

                            Commentaire


                            • #15
                              C'est un formidable outil marketing.
                              Sur ce plan, indéniablement.

                              Mes remarques portent sur le modèle de développement adopté par Dubai. Il n'est pas viable à long terme

                              Je le répète, ils ont les moyens d'en faire 50 sans être à la peine
                              Sans nul doute. Je te concède que les émirats (pour des raisons déjà évoquées) possèdent une force de frappe financière sans commune mesure avec n'importe quel pays de la planète. C'est ce qui est fait de cet argent qui est sujet à débat !

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X