La libre circulation des personnes contre le gaz, tels sont les termes qu’entend imposer l’Algérie à l’UE. Cette solution n’irait pas sans imposer d’importants problèmes sécuritaires, l’Algérie étant un important foyer du terrorisme international et plaque tournante du jihadisme visant l’Europe.
Au moins les choses sont-elles dites ici clairement par le ministre algérien Chakib Khelil. L’Algérie veut comme contrepartie à l’accord énergétique stratégique avec l’Union Européenne quelque chose de « bien plus important » que des espèces sonnantes et trébuchantes : la libre circulation des personnes. Comprendre : la libre circulation des Algériens en Union Européenne, c’est à dire la libre immigration et l’accélération du processus de colonisation et d’islamisation du continent européen. Un nouveau chapitre d’Eurabia s’ouvre là juste sous nos yeux. Nos dirigeants cèderont-ils une fois encore à cet odieux chantage ?
Interrogé le 16 décembre sur les ondes de la chaîne III sur la conclusion d’un accord stratégique entre l’Algérie et l’Europe en matière d’énergie, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Kheli a indiqué que l’Algérie n’y a pas encore adhéré parce qu’elle ne voit ce qu’elle va y gagner. La contrepartie attendue d’un tel accord ne consiste pas seulement dans la valeur du gaz, mais dans un acquis bien plus important tel que la libre circulation des personnes par exemple.
«Cet accord a été discuté, mais la question qui se pose est la suivante : ‘’est-ce qu’une fois signé par les deux parties, cet accord sera appliqué sur chacun des Etats membres de l’union européenne ?’’ Nous avons posé cette question, et la réponse était Non. Par conséquent, pourquoi signerons-nous un accord avec l’Union européenne s’il n’est pas appliqué à chacun des pays membres ?», s’est interrogé M. Khelil.
La question, selon lui, dépend de ce qu’obtiendrait l’Algérie en retour d’un accord stratégique de ce genre où l’Algérie s’engagerait à assurer l’approvisionnement des besoins européens. «Notre pays devrait obtenir quelque chose qui lui soit très important : la libre circulation des personnes par exemple», a déclaré M. Khelil.
« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ». Houari Boumediene, ancien président algérien lors d’un discours à l’ONU en 1974.
Par Info soir (16/12/09)
Au moins les choses sont-elles dites ici clairement par le ministre algérien Chakib Khelil. L’Algérie veut comme contrepartie à l’accord énergétique stratégique avec l’Union Européenne quelque chose de « bien plus important » que des espèces sonnantes et trébuchantes : la libre circulation des personnes. Comprendre : la libre circulation des Algériens en Union Européenne, c’est à dire la libre immigration et l’accélération du processus de colonisation et d’islamisation du continent européen. Un nouveau chapitre d’Eurabia s’ouvre là juste sous nos yeux. Nos dirigeants cèderont-ils une fois encore à cet odieux chantage ?
Interrogé le 16 décembre sur les ondes de la chaîne III sur la conclusion d’un accord stratégique entre l’Algérie et l’Europe en matière d’énergie, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Kheli a indiqué que l’Algérie n’y a pas encore adhéré parce qu’elle ne voit ce qu’elle va y gagner. La contrepartie attendue d’un tel accord ne consiste pas seulement dans la valeur du gaz, mais dans un acquis bien plus important tel que la libre circulation des personnes par exemple.
«Cet accord a été discuté, mais la question qui se pose est la suivante : ‘’est-ce qu’une fois signé par les deux parties, cet accord sera appliqué sur chacun des Etats membres de l’union européenne ?’’ Nous avons posé cette question, et la réponse était Non. Par conséquent, pourquoi signerons-nous un accord avec l’Union européenne s’il n’est pas appliqué à chacun des pays membres ?», s’est interrogé M. Khelil.
La question, selon lui, dépend de ce qu’obtiendrait l’Algérie en retour d’un accord stratégique de ce genre où l’Algérie s’engagerait à assurer l’approvisionnement des besoins européens. «Notre pays devrait obtenir quelque chose qui lui soit très important : la libre circulation des personnes par exemple», a déclaré M. Khelil.
« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ». Houari Boumediene, ancien président algérien lors d’un discours à l’ONU en 1974.
Par Info soir (16/12/09)
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