Posté le 6 janvier 2010 |
Jean-Marie LE PEN présentait ce mercredi 6 janvier à 11h ses voeux à la Presse.
L’occasion de lui donner sa vision de ce qu’est l’Identité Nationale, de présenter son programme politique en la matière, mais aussi de répondre aux questions des journalistes.
Dans quelques heures, retrouvez ici-même la vidéo de la conférence de Presse de Jean-Marie LE PEN.
En attendant, le texte de Jean-Marie LE PEN sur l’Identité Nationale est déjà disponible ci-dessous.
Jean-Marie LE PEN présentait ce mercredi 6 janvier à 11h ses voeux à la Presse.
L’occasion de lui donner sa vision de ce qu’est l’Identité Nationale, de présenter son programme politique en la matière, mais aussi de répondre aux questions des journalistes.
Dans quelques heures, retrouvez ici-même la vidéo de la conférence de Presse de Jean-Marie LE PEN.
En attendant, le texte de Jean-Marie LE PEN sur l’Identité Nationale est déjà disponible ci-dessous.
Mesdames, Messieurs,
Au début de la dernière année de la première décennie du 21ème siècle, j’ai l’honneur et le plaisir de vous présenter, en mon nom et au nom du Front National, mes vœux de bonheur et d’heureuse année 2010 pour vous et les confrères de vos médias.
Votre profession, dans ses activités de reportages surtout, mais même de dessin humoristique, est l’une des plus dangereuses, et je forme le souhait particulier que nos compatriotes enlevés en Afghanistan soient libérés au plus tôt.
Vous savez, mieux que moi peut-être, que la situation de notre pays ne cesse de s’aggraver, plus vite encore avec une crise qui est loin d’être maitrisée.
Le Front National, tenu à l’écart de la représentation parlementaire en France, par une loi électorale qu’on peut dire scélérate, n’est pas mort, contrairement à ce que ses assassins affirment. Ils l’ont volé mais ils ne l’ont pas tué et on dit même qu’aux élections régionales, il va, une fois de plus, créer la surprise.
C’est évidemment le vœu que je forme aussi pour lui et pour nos candidats.
J’espère que nous pourrons compter sur la loyauté de l’information sans laquelle, il n’y a pas de démocratie véritable.
Je vais maintenant, si vous le permettez, vous exposez mon point de vue de Président du Front National dans le débat fondamental sur l’identité nationale française.
Au début de la dernière année de la première décennie du 21ème siècle, j’ai l’honneur et le plaisir de vous présenter, en mon nom et au nom du Front National, mes vœux de bonheur et d’heureuse année 2010 pour vous et les confrères de vos médias.
Votre profession, dans ses activités de reportages surtout, mais même de dessin humoristique, est l’une des plus dangereuses, et je forme le souhait particulier que nos compatriotes enlevés en Afghanistan soient libérés au plus tôt.
Vous savez, mieux que moi peut-être, que la situation de notre pays ne cesse de s’aggraver, plus vite encore avec une crise qui est loin d’être maitrisée.
Le Front National, tenu à l’écart de la représentation parlementaire en France, par une loi électorale qu’on peut dire scélérate, n’est pas mort, contrairement à ce que ses assassins affirment. Ils l’ont volé mais ils ne l’ont pas tué et on dit même qu’aux élections régionales, il va, une fois de plus, créer la surprise.
C’est évidemment le vœu que je forme aussi pour lui et pour nos candidats.
J’espère que nous pourrons compter sur la loyauté de l’information sans laquelle, il n’y a pas de démocratie véritable.
Je vais maintenant, si vous le permettez, vous exposez mon point de vue de Président du Front National dans le débat fondamental sur l’identité nationale française.
AUTOPSIE D’UN « DEBAT ASSASSINE»
Il arrive que le diable porte pierre. En lançant en pleine campagne électorale un débat truqué sur l’identité nationale, aux bons soins du Ministre socialiste et immigrationniste, de l’immigration, Nicolas Sarkozy a involontairement réveillé les français.
Dès lors, on peut espérer, qu’à l’instar de leurs voisins suisses, il vont oser dire publiquement dans les urnes ce qu’ils murmurent tout bas et que le Front National dit tout haut.
Le débat a, d’ailleurs, été orienté, avant même d’avoir commencé, par Sarkozy et son porte-coton et ses conclusions sans doute prémâchées par les scribes de l’Elysée.
L’éclairage est donné d’entrée par les déclarations du Président : « Je suis un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée. L’immigration constitue une source d’enrichissement permanent de notre identité nationale ».
Il ajoute le 17 décembre 2008 à Polytechnique : « Le métissage n’est pas un choix, c’est une obligation… Nous devons changer et on va se mettre des obligations de résultat (sic). Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudrait que le République passe alors à des méthodes plus contraignantes encore ».
Sarko veut donc mettre en œuvre une politique de métissage forcé. S’attendant à des résistances fortes, le pouvoir oligarchique entend les briser ainsi que ceux qui les incarnent.
C’est Besson qui l’avoue : « J’espère que ma politique va contribuer à réduire à néant le parti de Jean-Marie Le Pen ».
Les xénomaniaques, fossoyeurs de l’identité française, espèrent ainsi faire d’une pierre deux coups :
- métisser le peuple français par l’immigration massive et des législations contraignantes,
- anéantir son défenseur, le Front National.
Au reste, le débat est organisé, selon les techniques du Second Empire, aujourd’hui Cinquième « En pire », sous l’égide de NTP, dans les préfectures et les sous-préfectures, et animé (si on leur prête une âme) par les députés-babouches de la majorité.
Mais aussi louche que soit l’initiative, convient-il de la faire servir à l’édification du peuple en s’efforçant, puisqu’elle est officiellement posée, de faire le tour de la question de l’identité nationale.
L’IDENTITE NATIONALE
L’identité nationale comporte des éléments concrets : le territoire, son climat, ses paysages, son peuplement, les richesses naturelles ou acquises de son patrimoine mais aussi abstraits : son Histoire de plus d’un millénaire et demi : Passé de victoires et de défaites, d’épreuves et de succès, sa trace exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité, la longue cohorte de ses saints, de ses martyrs, de ses héros mais aussi la saga de son peuple de paysans, de marins, de soldats, d’ouvriers, d’artistes, d’artisans, de cadres, de savants, sa culture (sciences, littérature, poésie, musique, chanson, peinture, sculpture, théâtre, cinéma, etc.), ses religions, essentiellement chrétiennes, ses traditions, ses coutumes, ses mœurs, ses goûts mais aussi et surtout le sentiment national des français.
Comme l’a écrit Aristote : « L’homme est un animal social ». Il a donc tendance à s’agréger à ses semblables au gré de ses dilections, de ses intérêts, de ses craintes, pour assurer sa descendance, sa sécurité et le succès de ses entreprises. Qui se ressemble, s’assemble. A contrario, il est difficile d’assembler ceux qui ne se ressemblent pas. L’assimilation, individuelle, est possible, s’agissant de masses compactes elle ne l’est plus.
La plus élevée de ces constructions collectives est la Nation qui a réuni, au cours des siècles, des hommes, leurs familles, leurs provinces dans un ensemble cohérent et animé d’une dynamique propre, tendant à l’unité du peuple et suscitant, pour ce faire, un Etat souverain, responsable du destin collectif. Et c’est dans l’héritage reçu des siècles que se reflète le visage d’une Nation.
Est français, non seulement celui qui a des papiers français qui sont la preuve administrative de sa nationalité mais surtout un sentiment d’appartenance. Est français celui qui se sent français et qui est fier de l’être. Voltaire écrit : « Chaque peuple a son caractère, comme chaque homme, et ce caractère général est formé de toutes les ressemblances que la nature et les habitudes ont mis dans les habitants d’un même pays ».
Ne sont pas français, en tout cas, ceux qui ont défilé par dizaines de milliers dans les rues de France derrière les drapeaux algériens saluant la sélection de l’équipe d’Algérie. La victoire, il est vrai, contestée, de l’équipe de France, n’ayant provoqué la sortie d’aucun drapeau français. Preuve, s’il en était besoin, que la double nationalité est une aberration.
Notons aussi qu’il ne peut y avoir d’identité nationale sans nation et que, donc, tout ce qui affaiblit la nation attente à son identité. Mais, en outre, qu’il ne peut y avoir d’identité sans souveraineté de la nation, laquelle garantit la liberté de ses citoyens.
Or, depuis 30 ans, la nation française est prise en tenaille, dans le but de la faire disparaître (Edmond de Rothschild : « Le dernier maillon qu’il faut faire sauter, c’est la nation »), par l’Europe de Lisbonne, imposée aujourd’hui en violation de la volonté du peuple, pourtant solennellement exprimée dans le référendum de 2005 et par l’invasion progressive de l’immigration de masse initiée par Chirac en 1976 et encouragée depuis par tous les gouvernements de droite ou de gauche.
L’Europe de Bruxelles, de Maastricht ou de Lisbonne a conduit nos oligarques, tous complices, à supprimer nos frontières tant intérieures qu’extérieures, livrant ainsi l’espace national sans défense à la ruée migratoire et à la concurrence économique sauvage du Tiers-Monde. Le Parlement Européen vote 80 % des lois qui s’imposent en France et la Cour de Justice européenne les interprète toujours de façon anti nationale. La monnaie nationale, le Franc, moyen essentiel de l’indépendance nationale a été bradée aux gnomes de Francfort.
Il est donc hors de doute que les européistes sont, volens nolens, traîtres à la Nation.
En outre, les pays de l’Europe des 27 sont infiltrés par des communautés étrangères de plus en plus nombreuses et de plus en plus organisées. Elles constituent, évidemment, des facteurs d’ingérence dans la politique nationale et donc une réduction de sa souveraineté.
Par ailleurs, l’Union Européenne ne disposant pas de forces armées et les pays ayant réduit leurs budgets et leurs effectifs militaires, se trouve, de fait, sous protectorat américain, autre réduction essentielle celle-là aussi de la souveraineté des nations qui y adhèrent.
Avec 200.000 hommes de forces de l’ordre, la France n’est pas en mesure de faire face à des actions subversives de grande envergure. Encore faudrait-il que le Pouvoir en ait la volonté ou le courage politique.
La complicité des milieux politiques, médiatiques, associatifs, culturels, la subversion de l’enseignement, les trucages statistiques, la manipulation des sondages, voire la réforme des modes de scrutin tendent à masquer au peuple la réalité des dangers qu’il court.
Il arrive que le diable porte pierre. En lançant en pleine campagne électorale un débat truqué sur l’identité nationale, aux bons soins du Ministre socialiste et immigrationniste, de l’immigration, Nicolas Sarkozy a involontairement réveillé les français.
Dès lors, on peut espérer, qu’à l’instar de leurs voisins suisses, il vont oser dire publiquement dans les urnes ce qu’ils murmurent tout bas et que le Front National dit tout haut.
Le débat a, d’ailleurs, été orienté, avant même d’avoir commencé, par Sarkozy et son porte-coton et ses conclusions sans doute prémâchées par les scribes de l’Elysée.
L’éclairage est donné d’entrée par les déclarations du Président : « Je suis un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée. L’immigration constitue une source d’enrichissement permanent de notre identité nationale ».
Il ajoute le 17 décembre 2008 à Polytechnique : « Le métissage n’est pas un choix, c’est une obligation… Nous devons changer et on va se mettre des obligations de résultat (sic). Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudrait que le République passe alors à des méthodes plus contraignantes encore ».
Sarko veut donc mettre en œuvre une politique de métissage forcé. S’attendant à des résistances fortes, le pouvoir oligarchique entend les briser ainsi que ceux qui les incarnent.
C’est Besson qui l’avoue : « J’espère que ma politique va contribuer à réduire à néant le parti de Jean-Marie Le Pen ».
Les xénomaniaques, fossoyeurs de l’identité française, espèrent ainsi faire d’une pierre deux coups :
- métisser le peuple français par l’immigration massive et des législations contraignantes,
- anéantir son défenseur, le Front National.
Au reste, le débat est organisé, selon les techniques du Second Empire, aujourd’hui Cinquième « En pire », sous l’égide de NTP, dans les préfectures et les sous-préfectures, et animé (si on leur prête une âme) par les députés-babouches de la majorité.
Mais aussi louche que soit l’initiative, convient-il de la faire servir à l’édification du peuple en s’efforçant, puisqu’elle est officiellement posée, de faire le tour de la question de l’identité nationale.
L’IDENTITE NATIONALE
L’identité nationale comporte des éléments concrets : le territoire, son climat, ses paysages, son peuplement, les richesses naturelles ou acquises de son patrimoine mais aussi abstraits : son Histoire de plus d’un millénaire et demi : Passé de victoires et de défaites, d’épreuves et de succès, sa trace exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité, la longue cohorte de ses saints, de ses martyrs, de ses héros mais aussi la saga de son peuple de paysans, de marins, de soldats, d’ouvriers, d’artistes, d’artisans, de cadres, de savants, sa culture (sciences, littérature, poésie, musique, chanson, peinture, sculpture, théâtre, cinéma, etc.), ses religions, essentiellement chrétiennes, ses traditions, ses coutumes, ses mœurs, ses goûts mais aussi et surtout le sentiment national des français.
Comme l’a écrit Aristote : « L’homme est un animal social ». Il a donc tendance à s’agréger à ses semblables au gré de ses dilections, de ses intérêts, de ses craintes, pour assurer sa descendance, sa sécurité et le succès de ses entreprises. Qui se ressemble, s’assemble. A contrario, il est difficile d’assembler ceux qui ne se ressemblent pas. L’assimilation, individuelle, est possible, s’agissant de masses compactes elle ne l’est plus.
La plus élevée de ces constructions collectives est la Nation qui a réuni, au cours des siècles, des hommes, leurs familles, leurs provinces dans un ensemble cohérent et animé d’une dynamique propre, tendant à l’unité du peuple et suscitant, pour ce faire, un Etat souverain, responsable du destin collectif. Et c’est dans l’héritage reçu des siècles que se reflète le visage d’une Nation.
Est français, non seulement celui qui a des papiers français qui sont la preuve administrative de sa nationalité mais surtout un sentiment d’appartenance. Est français celui qui se sent français et qui est fier de l’être. Voltaire écrit : « Chaque peuple a son caractère, comme chaque homme, et ce caractère général est formé de toutes les ressemblances que la nature et les habitudes ont mis dans les habitants d’un même pays ».
Ne sont pas français, en tout cas, ceux qui ont défilé par dizaines de milliers dans les rues de France derrière les drapeaux algériens saluant la sélection de l’équipe d’Algérie. La victoire, il est vrai, contestée, de l’équipe de France, n’ayant provoqué la sortie d’aucun drapeau français. Preuve, s’il en était besoin, que la double nationalité est une aberration.
Notons aussi qu’il ne peut y avoir d’identité nationale sans nation et que, donc, tout ce qui affaiblit la nation attente à son identité. Mais, en outre, qu’il ne peut y avoir d’identité sans souveraineté de la nation, laquelle garantit la liberté de ses citoyens.
Or, depuis 30 ans, la nation française est prise en tenaille, dans le but de la faire disparaître (Edmond de Rothschild : « Le dernier maillon qu’il faut faire sauter, c’est la nation »), par l’Europe de Lisbonne, imposée aujourd’hui en violation de la volonté du peuple, pourtant solennellement exprimée dans le référendum de 2005 et par l’invasion progressive de l’immigration de masse initiée par Chirac en 1976 et encouragée depuis par tous les gouvernements de droite ou de gauche.
L’Europe de Bruxelles, de Maastricht ou de Lisbonne a conduit nos oligarques, tous complices, à supprimer nos frontières tant intérieures qu’extérieures, livrant ainsi l’espace national sans défense à la ruée migratoire et à la concurrence économique sauvage du Tiers-Monde. Le Parlement Européen vote 80 % des lois qui s’imposent en France et la Cour de Justice européenne les interprète toujours de façon anti nationale. La monnaie nationale, le Franc, moyen essentiel de l’indépendance nationale a été bradée aux gnomes de Francfort.
Il est donc hors de doute que les européistes sont, volens nolens, traîtres à la Nation.
En outre, les pays de l’Europe des 27 sont infiltrés par des communautés étrangères de plus en plus nombreuses et de plus en plus organisées. Elles constituent, évidemment, des facteurs d’ingérence dans la politique nationale et donc une réduction de sa souveraineté.
Par ailleurs, l’Union Européenne ne disposant pas de forces armées et les pays ayant réduit leurs budgets et leurs effectifs militaires, se trouve, de fait, sous protectorat américain, autre réduction essentielle celle-là aussi de la souveraineté des nations qui y adhèrent.
Avec 200.000 hommes de forces de l’ordre, la France n’est pas en mesure de faire face à des actions subversives de grande envergure. Encore faudrait-il que le Pouvoir en ait la volonté ou le courage politique.
La complicité des milieux politiques, médiatiques, associatifs, culturels, la subversion de l’enseignement, les trucages statistiques, la manipulation des sondages, voire la réforme des modes de scrutin tendent à masquer au peuple la réalité des dangers qu’il court.
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