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La Vie algéroise durant la colonisation française, de Fatma-Zohra Aksouh

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  • La Vie algéroise durant la colonisation française, de Fatma-Zohra Aksouh

    Fatma-Zohra Aksouh avec La Vie algéroise durant la colonisation française, livre un témoignage révolté et tendre de ce que fut sa ville durant la période coloniale.

    Sur 106 pages, Fatma-Zohra Aksouh replonge le lecteur dans les multiples traditions qui ont permis aux Algérois de résister aux affres du colonialisme et l’usurpation de leur identité.

    Un quotidien fait d’astuces et de partage avec l’exploration de toutes les possibilités de survie et de maintien. Des informations et des illustrations, des sortes de tableaux, des escales où l’on s’attarde sur ce qui fut la vie autrefois, de ce qui a changé aussi dans cette ville séculaire.

    Sur les 102 tableaux proposés, des textes courts et simples, il y a les pleureuses de l’époque et les fossoyeurs, mais aussi des personnages hauts en couleurs les «Baba Salem» qui traversaient les rues en chantonnant et distribuant la baraka.

    La magie aussi du rituel du bain de la mariée et les marieuses mais aussi le sport féminin de l’époque, «El-Ayacha» et le percement d’oreilles, les préparatifs du nouveau-né, les soirées ramadhanesques d’Alger, le premier jour de carême de l’enfant, le voile de nos ancêtres, le chiffonnier, le prêteur sur gages, le couturier de l’époque, toutes les autres facettes de la Casbah et les «wast dar» avec l’intimité, la «hchouma», mais aussi les parties épiques de dominos, les perpétuels débats entre les amateurs de café ou de thé, s’inspirant même d’une chanson de Hadj M’rizek pour étayer leurs arguments…

    Ainsi se déroule ce document fort sympathique, entre tisserandes du cru et ânes pour éboueurs, comme figures pittoresques de la vieille ville.

    Par Le Soir

    La Vie algéroise durant la colonisation française,
    de Fatma-Zohra Aksouh,
    102 pages, édité à compte d’auteur.

  • #2
    Sans oublier la misère qui regnait dans les quartiers arabes, les pieds noirs chassaient les agériens de la rue Michelet et si, par hasard, on rencontrerait un arabe ou une arabe à Hydra, par exemple, c'était soit un jardinier, soit une bonne fremme. C'était plutôt ça, la vie des algérois pendant la colonisation.
    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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    • #3
      Sans oublier la misère qui regnait dans les quartiers arabes, les pieds noirs chassaient les agériens de la rue Michelet et si, par hasard, on rencontrerait un arabe ou une arabe à Hydra, par exemple, c'était soit un jardinier, soit une bonne fremme. .
      en voilà une généralisation et description de 130 ans de vie algéroise! si la vie se réduisait à ça selon toi!
      C'était plutôt ça, la vie des algérois pendant la colonisation
      alors ça devait être le cas de toute les villes de l'Algérie, pas d'Alger spécialement

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      • #4
        Sinon, mets-toi a glorifier le passe de toute l'Algerie; et demande-toi pourquoi il y a eu un premier novemebre.
        Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

        J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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        • #5
          Sinon, mets-toi a glorifier le passe de toute l'Algerie; et demande-toi pourquoi il y a eu un premier novemebre.
          mouaiiiiiiiiiii!!!!????
          le 1er novembre c surement pas uniquement à cause de "la misère", se sont bien d'autres valeurs et considérations, surtout que les premiers révolutionnaires étaient justement les moins miséreux, apprend que les algériens, même sous colonisation étaient assez malin pour arriver à ne pas être si miséreux, la terre étaient peut être colonisée, certains espaces publics aussi mais pour le reste, jamais
          faut pas déconsidérer les capacités des algériens qui arrivaient a être digne, heureux et libre même sous colonisation
          maintenant extrapoles comme tu veux

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          • #6
            C'est tout a fait ça ya Djamal
            Sans compter que pour les plages on avait droit a la sablette ou kharrouba
            méme Padovani (bab-el-oued ) les musulmans n'avaient méme pas le droit de jeter un reard du haut de la rembarde ...............C'est dire ce que c'était la colonisation.

            Ya rica ce n'est pas pour le 1% des Algeriens qui arrivaient a s'en sortir :
            On parle des 99% restants qui pour vivre faisaient 10heures par jour chez Vve Cot.pour une paye de misère ou la "FATMA" qui faisait le menage chez Madame..
            Dernière modification par myra21, 10 janvier 2010, 13h13.

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            • #7
              Sans compter que pour les plages on avait droit a la sablette ou kharrouba
              méme Padovani (bab-el-oued ) les musulmans n'avaient méme pas le droit de jeter un reard du haut de la rembarde ...............C'est dire ce que c'était la colonisation.
              Vous parlez de discrimination généralisée au niveau d'occupation d'espace public style comme aux usa avec les black?? c'est bien ça, des bus pour arabes, bus pour français, des trottoirs pour arabes, des trottoirs pour français:22: si ça avait été le cas alger aurait cramer en 1850, les francais savaient qu'ils pouvaient user mais pas abuser
              dis est ce que y avaient des petits musulmans et des grands qui allaient à l'école française?? et dans la même école ou est ce que y avait des écoles pour français et école pour musulmans?? y avait ils déjà des musulmans scolarisés?? c claire que les colons étaient favorisés, prioritaires, et avaient certains quartier davantage pour eux, mais il y avait bel et bien des quartiers, hors casba, où on avait de tous, français(espagnole, italiens, ..), juifs et musulman et dans le même bâtiment, sacant que certains algériens s'en sortait mieux que certains colons qui eux malgré les avantages étaient beaucoup plus démunie
              combien d'algérois si miséreux de cette époque pour leurs mariages ou circoncision ont eu cette cher mariam fakai et d'autres chanteuses dont les prestations étaient loin d'être si misérables, allez un aperçu des soirée des années 30 à Alger

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              • #8
                Tu confonds le rite et le rituel l'ami. Tu parles d'une fete et non pas de la vie de tous les jours.

                Parons de plage et de baignade, sais-tu qu'il y avait un signe A Moretti qui disait que cette plage etait interdite aux chiens et aux arabes, ca voulait dire tous les algeriens, kqbyles, chaouis arabes et turcs inclus evidemment.
                Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                • #9
                  salut

                  ca a donné naissance a ali la pointe hassiba ben bouali ect......

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