Algérie-Espagne : Des relations à leur meilleur niveau
La visite du Président Abdelaziz Bouteflika à Madrid a permis de donner un aperçu réel sur la qualité des liens de coopération entre l’Algérie et l’Espagne, depuis la première réunion de haut niveau qui s’est tenue en Espagne en 2002. A cette date les deux pays avaient signé un Traité d’Amitié, de coopération et de bon voisinage qui a jeté les bases d’une relation privilégiée qui n’a jamais cessé de s’élever au rang de la qualité. Le Président Bouteflika a tissé des liens personnels de confiance et d’amitié qui ont été déterminants dans l’impulsion donnée à ces relations.
De l’avis des médias comme des observateurs de la scène régionale, la visite du Président Bouteflika, jeudi dernier à Madrid, a été courte - une seule journée -mais féconde en accords et très positive pour l’avenir de la coopération algéro-espagnole. Aucune divergence, la plus évidente possible entre deux Etats, n’a plané sur les entretiens de jeudi. Pas même la question du réajustement des prix du gaz algérien vendu à l’Espagne ou le contentieux de GassiTouil entre Sonatrach Repsol et Gas Natural, tranché par l’arbitrage international. Pas davantange de divergence au plan politique puisque les deux gouvernements ont développé une même vision sur les questions internationales de l’heure, que ce soit dans le domaine de la lutte antiterroriste, leur collaboration contre l’immigration clandestine ou la recherche d’une solution juste sur le Sahara Occidental, acceptable par les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario, sur le base du droit du peuple sahraoui à l’indépendance et dans le cadre de la légalité internationale.
Aucun obstacle de quelque nature que ce soit ne pourra désormais résister à cette volonté politique commune de construire des relations au niveau des défis communs. L’Espagne qui assure depuis ce mois de janvier la présidence semestrielle de l’Union européenne devrait approfondir les relations de partenariat de l’Algérie avec l’Union européenne. L’Accord d’Association liant les des parties devrait être amélioré sur la présidence espagnole comme l’a promis le président Zapatero qui a, comme on le sait, annulé pratiquement tous ses rendez vous bilatéraux, durant ce semestre européen, avec ses homologues étrangers pour conserver celui qui était prévu avec le Président Bouteflika.
Les meilleures perspectives de coopération sont désormais ouvertes. Le Medgaz sera mis en service prochainement, ce qui mettra le marché gazier espagnol à l’abri des aléas du climat et des restrictiction des livraisons de gaz russe à l’Europe. De plus en plus les régions autonomes espagnoles multiplient les missions d’affaires en Algérie,le marché le plus porteur pour leurs investissements dans les secteurs des infrastructures, de l’hydraulique, de la construction et de nombreux autres secteurs économique. "Jamais la coopération économique entre les deux pays n’a été aussi importante que ces deux dernières années". Cet avis du ministre espagnol des Affaires étrangères, en présence de son homologue algérien, Mourad Medelci, exprime le sentiment général qui a plané sur la visite à Madrid du Président Bouteflika qui a gagné son pari de hisser les relations de l’Algérie avec ses partenaires étranger à leur meilleur niveau.
B. H.
La visite du Président Abdelaziz Bouteflika à Madrid a permis de donner un aperçu réel sur la qualité des liens de coopération entre l’Algérie et l’Espagne, depuis la première réunion de haut niveau qui s’est tenue en Espagne en 2002. A cette date les deux pays avaient signé un Traité d’Amitié, de coopération et de bon voisinage qui a jeté les bases d’une relation privilégiée qui n’a jamais cessé de s’élever au rang de la qualité. Le Président Bouteflika a tissé des liens personnels de confiance et d’amitié qui ont été déterminants dans l’impulsion donnée à ces relations.
De l’avis des médias comme des observateurs de la scène régionale, la visite du Président Bouteflika, jeudi dernier à Madrid, a été courte - une seule journée -mais féconde en accords et très positive pour l’avenir de la coopération algéro-espagnole. Aucune divergence, la plus évidente possible entre deux Etats, n’a plané sur les entretiens de jeudi. Pas même la question du réajustement des prix du gaz algérien vendu à l’Espagne ou le contentieux de GassiTouil entre Sonatrach Repsol et Gas Natural, tranché par l’arbitrage international. Pas davantange de divergence au plan politique puisque les deux gouvernements ont développé une même vision sur les questions internationales de l’heure, que ce soit dans le domaine de la lutte antiterroriste, leur collaboration contre l’immigration clandestine ou la recherche d’une solution juste sur le Sahara Occidental, acceptable par les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario, sur le base du droit du peuple sahraoui à l’indépendance et dans le cadre de la légalité internationale.
Aucun obstacle de quelque nature que ce soit ne pourra désormais résister à cette volonté politique commune de construire des relations au niveau des défis communs. L’Espagne qui assure depuis ce mois de janvier la présidence semestrielle de l’Union européenne devrait approfondir les relations de partenariat de l’Algérie avec l’Union européenne. L’Accord d’Association liant les des parties devrait être amélioré sur la présidence espagnole comme l’a promis le président Zapatero qui a, comme on le sait, annulé pratiquement tous ses rendez vous bilatéraux, durant ce semestre européen, avec ses homologues étrangers pour conserver celui qui était prévu avec le Président Bouteflika.
Les meilleures perspectives de coopération sont désormais ouvertes. Le Medgaz sera mis en service prochainement, ce qui mettra le marché gazier espagnol à l’abri des aléas du climat et des restrictiction des livraisons de gaz russe à l’Europe. De plus en plus les régions autonomes espagnoles multiplient les missions d’affaires en Algérie,le marché le plus porteur pour leurs investissements dans les secteurs des infrastructures, de l’hydraulique, de la construction et de nombreux autres secteurs économique. "Jamais la coopération économique entre les deux pays n’a été aussi importante que ces deux dernières années". Cet avis du ministre espagnol des Affaires étrangères, en présence de son homologue algérien, Mourad Medelci, exprime le sentiment général qui a plané sur la visite à Madrid du Président Bouteflika qui a gagné son pari de hisser les relations de l’Algérie avec ses partenaires étranger à leur meilleur niveau.
B. H.
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