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Nezzar répond aux égyptiens

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    Dévoilant des vérités dans son nouveau livre : Nezzar répond aux égyptiens

    J’ai décidé de faire paraître, dans les jours qui viennent, un nouveau livre qui traite du séjour de la 2e Brigade algérienne en Egypte. Ce livre apporte un éclairage sur l’effort soutenu, consenti par l’Algérie pour venir en aide à ce pays tout a long des guerres de 1967 et 1973, à la charge, pleine et entière de l'Algérie.
    Paraissant aux éditions Alpha, simultanément dans les deux langues arabe et française, il sera en librairie sous peu. Le Dr Ahmed Benbitour, qui était témoin et acteur au moment de la guerre de 1967 et qui fut mobilisé à l’époque comme tous ses camarades étudiants de la Fac centrale, a bien voulu le préfacer.
    Par le passé, j’ai longtemps hésité à étaler mes souvenirs dans un recueil, excepté l’apparition d’une partie de ces mémoires dans deux quotidiens nationaux. Un de mes amis, en visite dans un musée du Caire consacré aux différentes guerres israélo-égyptiennes, a noté qu’aucune pancarte ni même une simple allusion n’est faite à la participation de la partie algérienne à certains de ces conflits. Il est vrai que nos unités ont toujours été affectées dans des zones de défense dites « secondaires », mais n’empêche que ce fut autant d’unités égyptiennes qui furent soulagées et orientées vers d’autres secteurs.
    20 000 soldats, officiers, sous officiers et hommes de troupe, issus en majorité des rangs de l’Armée de Libération nationale (ALN), ont séjourné sur le front de 1967 à 1971 et de 1973 à 1975. Au cours de ces années, des centaines de chars, de canons, d’engins et de véhicules de combat et près d’une centaine d’avions furent cédés gratuitement à l’Egypte, alors que d’autres unités de chars et d’avions y séjourneront de 1973 à 1975. Plus de cent combattants de tout grade tomberont au champ d’honneur, pour la plupart rescapés des maquis de l’immense et noble Révolution algérienne. Ce chiffre, s’il pourrait paraître peu élevé comparativement aux pertes lors d'une guerre frontale, ne se situe pas moins dans la norme s'agissant d'une guerre d'usure.
    Les amnésies volontaires dont parle M. Bachir Medjahed dans la postface de ce livre, ainsi que l’attaque de nos symboles par ces mêmes Egyptiens, m’ont amené à changer d’avis et à tout consigner dans un livre, pour l’histoire de demain.Dévoilant des vérités dans son nouveau livre : Nezzar répond aux égyptiens
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