Braver l’interdit
L’encre bue par le papier,
L’encre palie par le temps
J’écris mon silence sur tes bruits, je râle
Le destin qui enfonce tes heures à l’horizon,
Ta vie s’étoile aux pages ensoleillées,
Dans le livre de la lumière et des mots.
Sur le lainage des matins s’est buriné ton nom
A tout jamais embrassés le futur dans le passé.
Emblème d’alliance condamne pour la vie
Le sort de nos vies éternelles, et l’âme d’aimer.
Des cris du cœur lancés avec soupir,
Déchirent le silence de mon palais
Qui fut un désert défloré
Sur le trône, une fleur qui attend
L’heure pour offrir ses euphories.
Dans mes yeux que des tourments
D’envie et d’aveux pour te raisonnes.
Les nuits interdites te sombrent l’imprévu,
Le soleil sera pour toi l’ombre de l’oubli….
Nue, comme au premier jour de ta vie
En frénésie, comme une vague a la mer
Eveiller par les vents d’alizé.
Si j’avais le prix du passage je me lancerai
Car de toi, je ne saurais me séparer
Chacun a ses amours quelque part
Dans la vallée….
Absente ou présente dans mes journées.
Je ne me risquerai plus à présent,
Je ne t'aimerai que pour tout le temps...
Je t’ai vu en rêve comme une rose blanche de lys
Venir vers moi avec son charmant visage.
Porteuse de fragrances de tes parfums
Qui exhalent l’atmosphère qui entoure mon corps.
Le temps arrive à sa fin, je brave tous les interdits,
Je me suis réveille et n’ai rien trouve
Frappant et retombant sur l’oreiller,
Même dans mes songes, que des fées éphémères.
J’écris mon silence sur tes bruits, je râle
Le destin qui enfonce tes heures à l’horizon,
Ta vie s’étoile aux pages ensoleillées,
Dans le livre de la lumière et des mots.
Sur le lainage des matins s’est buriné ton nom
A tout jamais embrassés le futur dans le passé.
Emblème d’alliance condamne pour la vie
Le sort de nos vies éternelles, et l’âme d’aimer.
Des cris du cœur lancés avec soupir,
Déchirent le silence de mon palais
Qui fut un désert défloré
Sur le trône, une fleur qui attend
L’heure pour offrir ses euphories.
Dans mes yeux que des tourments
D’envie et d’aveux pour te raisonnes.
Les nuits interdites te sombrent l’imprévu,
Le soleil sera pour toi l’ombre de l’oubli….
Nue, comme au premier jour de ta vie
En frénésie, comme une vague a la mer
Eveiller par les vents d’alizé.
Si j’avais le prix du passage je me lancerai
Car de toi, je ne saurais me séparer
Chacun a ses amours quelque part
Dans la vallée….
Absente ou présente dans mes journées.
Je ne me risquerai plus à présent,
Je ne t'aimerai que pour tout le temps...
Je t’ai vu en rêve comme une rose blanche de lys
Venir vers moi avec son charmant visage.
Porteuse de fragrances de tes parfums
Qui exhalent l’atmosphère qui entoure mon corps.
Le temps arrive à sa fin, je brave tous les interdits,
Je me suis réveille et n’ai rien trouve
Frappant et retombant sur l’oreiller,
Même dans mes songes, que des fées éphémères.
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