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Pourquoi Abou Dhabi a octroyé le contrat du nucléaire aux Coréens ?

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  • Pourquoi Abou Dhabi a octroyé le contrat du nucléaire aux Coréens ?

    Et de 4 et ceci par un facteur démultiplicateur inquantifiable (nucléaire, technologie de l’information, nanotechnologie, robotique, énergie).

    Comment la Corée du Sud s’y est-elle bien pris pour rafler le contrat mirobolant du nucléaire de 40 milliards de dollars d’Abou Dhabi en éliminant à la fois la France, le Japon, et les Etats-Unis également en lice?

    Par quels méandres tortueux la conclusion de se très long périple s’est-elle noué en définitive ? Y aurait-il eux en fin de compte d’autres enjeux insoupçonnés bien plus stratégiques sur la balance des négociations par les différents protagonistes? Suivez le fil des événements.

    - 27 Décembre 2009 :

    South Korean group wins $40bn UAE nuclear deal

    by Amena Bakr n Sunday, 27 December 2009

    A South Korean consortium has won a $40bn contract to build several nuclear reactors for the UAE, industry sources said on Sunday.

    The consortium would build the first nuclear power plants in the Gulf Arab region under the deal, one of the largest energy contracts ever awarded in the Middle East and also one of the world's biggest nuclear power plant deals.

    "We've won," said one industry source. "We're not sure about the exact figure but I think it's around $40bn."

    South Korean President Lee Myung-bak was expected to sign the deal with UAE President Sheikh Khalifa bin Zayed al-Nahayan later on Sunday, sources said.

    The consortium includes Korea Electric Power Corp. (KEPCO), Hyundai Engineering and Construction, Samsung C&T Corp and Doosan Heavy Industries.

    The South Korean group beat a French consortium and another group of companies from the United States and Japan.

    Nascent nuclear programmes in the Middle East, including in Saudia Arabia and Egypt, have fuelled concerns of a regional arms race.

    But the UAE has pledged to import the fuel it needs for reactors rather than attempting to enrich uranium, the fuel for nuclear power plants. Uranium further refined can be used to make nuclear bombs, and taking enrichment out of the nuclear programme reduces the possibility of weapons development.

    Work on the first nuclear plant in the Gulf Arab region was expected to begin in 2012.

    The UAE is the world's third-largest oil exporter and is looking to nuclear power to meet rapidly rising electricity consumption. Petrodollar-fuelled economic growth has left the Gulf Arab state struggling to meet domestic power demand.

    Abu Dhabi is driving the UAE nuclear programme. The emirate holds most of the the UAE's crude reserves, and has managed to avoid the worst of the global economic slowdown as well as the debt crisis that has hit neighbouring emirate Dubai.

    The UAE plans to build three or four nuclear reactors in a first fleet to help meet an expected rise in power demand to 40,000 megawatts in 2020 from around 15,000 MW last year. (Reuters)
    Traduction approximative :

    Les Sud-coréens gagne 40 milliards de dollars EAU accord sur le nucléaire
    Amena par Bakr n dimanche, 27 Décembre 2009

    Un consortium sud-coréen a remporté un contrat de 40 milliards de dollars pour construire plusieurs réacteurs nucléaires pour les EAU, le secteur industriel, a déclaré dimanche.

    Le consortium devait construire les premières centrales nucléaires dans la région du Golfe arabe vertu de l'accord, l'un des contrats d'énergie plus importante jamais accordée au Moyen-Orient et aussi l'un des plus grands du monde traite des centrales nucléaires.

    «Nous avons gagné", a dit une source du secteur. "Nous ne sommes pas sûr du chiffre exact mais je pense que c'est autour de 40 milliards de dollars."

    Président sud-coréen Lee Myung-bak devait signer l'accord avec le président émirati, cheikh Khalifa bin Zayed al-Nahyan plus tard le dimanche, selon les sources.

    Le consortium comprend la Korea Electric Power Corp (KEPCO), Hyundai Engineering and Construction, Samsung C & T Corp et Doosan Heavy Industries.

    Le groupe sud-coréen a battu un consortium français, et un autre groupe de sociétés des États-Unis et au Japon.

    Naissante programmes nucléaires au Moyen-Orient, y compris en Arabie saoudite et l'Egypte, ont alimenté les préoccupations d'une course régionale aux armements.

    Mais les Émirats arabes unis ont promis d'importer le carburant dont elle a besoin pour les réacteurs, plutôt que de chercher à enrichir de l'uranium, le combustible pour les centrales nucléaires. Uranium affinées peuvent être utilisés pour fabriquer des bombes nucléaires, et en tenant à l'enrichissement du programme nucléaire réduit les possibilités de développement d'armes.

    Les travaux sur la première centrale nucléaire dans la région arabe du Golfe a été devrait commencer en 2012.

    Les EAU sont le troisième plus grand exportateur de pétrole et se tourne vers l'énergie nucléaire pour répondre à l'augmentation rapide de la consommation d'électricité. Pétrodollars a alimenté la croissance économique a quitté le pays arabe du Golfe du mal à satisfaire la demande intérieure d'électricité.

    Abu Dhabi est la conduite du programme nucléaire de l'EAU. L'émirat détient la plupart des réserves de brut des EAU et a réussi à éviter le pire du ralentissement économique mondial ainsi que la crise de la dette qui a frappé voisins émirat de Dubaï.

    Les Émirats arabes unis prévu de construire trois ou quatre réacteurs nucléaires d'une première flotte pour répondre à une augmentation prévue de la demande d'électricité à 40.000 mégawatts en 2020, contre environ 15.000 MW l'année dernière. (Reuters)
    Dernière modification par Adama, 11 janvier 2010, 23h50.

  • #2
    Suite 1

    - 28 Décembre 2009 :

    La France perd un méga-
    contrat nucléaire aux Émirats



    Le Figaro 28/12/2009 Mise à jour 09:10


    Les Coréens ont emporté ce contrat d'au moins 20 milliards de dollars face au consortium français emmené par EDF, GDF, Areva et Total. C'est une nouvelle déconvenue pour l'EPR.





    C'est un revers pour la filière nucléaire française, qui a fait de l'EPR sa vitrine internationale. Dimanche, le consortium mené par EDF et GDF Suez s'est fait souffler un méga-contrat pour la construction de quatre centrales nucléaires aux Emirats arabes unis. L'Agence émiratie de l'énergie nucléaire a préféré l'offre d'un consortium (incluant Samsung, Hyundai, Doosan Heavy Industries, Westinghouse, Toshibapour), dirigé par la compagnie sud-coréenne publique Kepco, pour un contrat de 20,4 milliards de dollars, première tranche d'une commande pouvant atteindre 40 milliards.


    Rapidement, EDF, GDF Suez, Total, Areva, Vinci et Alstom ont «pris acte» de la décision émiratie, soulignant la qualité de leur offre et «l'avance de l'EPR en matière de sûreté». La porte n'est cependant pas totalement fermée : l'Agence émiratie a fait savoir qu'elle pourrait commander ultérieurement «des centrales nucléaires additionnelles» et que «les discussions se poursuivaient avec les autres soumissionnaires».
    Une ultime baisse de prix

    La plupart des acteurs de la filière nucléaire française se battaient pour ce contrat depuis deux ans. En janvier 2008, alors que le président Nicolas Sarkozy menait une tournée dans les pays du Golfe, Areva, GDF Suez et Total avaient annoncé leur candidature pour la construction à Abou Dhabi de deux EPR (réacteurs nucléaires de troisième génération) d'une puissance de 1.600 mégawatts chacun, dans le cadre d'une alliance inédite. Puis EDF avait été appelé en mai à la rescousse afin de renforcer les chances de succès du projet français, handicapé par les déboires du chantier de l'EPR finlandais d'Areva.


    C'est sur ordre de l'Elysée, qui a fait du développement du nucléaire civil une de ses priorités, que l'électricien était venu en renfort d'un de ses principaux rivaux dans l'énergie, GDF Suez. Il s'agissait alors pour EDF, opérateur du plus grand parc nucléaire au monde, d'apporter une simple assistance technique. Mais il devait finalement prendre la tête du consortium, avec le dépôt d'une nouvelle offre à la clé et des ajustements de prix, jusqu'à 10% moins cher, qui n'ont pas suffi.


    Le contrat a été signé dimanche en présence du président des Emirats arabes unis, cheikh Khalifa Al-Nahyane, et de son homologue sud-coréen, Lee Myung-bak, en visite à Abou Dhabi. «Nous nous engageons pleinement […] à procurer de l'électricité aux Emirats en utilisant de l'énergie nucléaire sûre et pacifique», a déclaré le président de KEPCO, Kim Ssang-su. Il a estimé à 60 ans la durée de vie de la première centrale nucléaire aux Emirats. Cette centrale «sera opérationnelle jusqu'en 2077», a-t-il dit.
    La France doit revoir sa stratégie nucléaire à l'export

    Le point


    La France, qui a perdu un contrat phare aux Emirats arabes unis, doit réviser sa stratégie d'exportation dans le nucléaire en adaptant son offre technologique aux besoins locaux de sa clientèle, estiment des analystes.


    Les groupes français du secteur devraient notamment réserver l'EPR - le réacteur nucléaire de nouvelle génération d'Areva - aux pays riches, très soucieux d'améliorer la sécurité pour des raisons politiques et qui disposent d'un réseau électrique adapté aux grandes centrales, ajoutent-ils.


    Des technologies plus anciennes mais moins chères devraient en revanche être proposées à des pays comme l'Inde ou les Etats du Golfe, et Areva aurait aussi intérêt à mettre au point rapidement un réacteur plus petit mais intégrant néanmoins des technologies de pointe, selon les analystes.


    Un consortium sud-coréen mené par Korea Electric Power (Kepco) a remporté fin décembre un contrat de 40 milliards de dollars pour construire et exploiter quatre réacteurs destinés aux Emirats arabes unis, aux dépens du consortium français mené par EDF et GDF Suez, qui comprenait aussi Areva et Total.


    Les Emirats arabes unis souhaitent disposer du nucléaire pour réserver leur production de pétrole à l'exportation et disposer de capacités excédentaires d'électricité susceptibles d'être vendues à des pays voisins.


    Abou Dhabi a sélectionné le groupe sud-coréen parce que l'EPR français était trop cher, ont indiqué à Reuters deux sources proches du dossier.


    Les sud-coréens auraient offert de construire quatre réacteurs pour 14 milliards d'euros (20 milliards de dollars), tandis que le consortium français demandait 25 milliards d'euros (36 milliards de dollars) pour le même nombre de réacteurs, qui disposent toutefois d'une capacité totale supérieure et d'une technologie plus avancée.


    "(Les groupes français) vont devoir se pencher sur leur stratégie de candidature et se demander s'ils ont besoin d'offrir des Rolls Royce à tous les coups", commente Alex Barnett, analyste chez Jefferies, à propos de l'EPR.


    UNE PANOPLIE ELARGIE


    La perte d'un tel contrat suscite des interrogations sur la volonté du consortium français de s'adapter aux besoins d'Abou Dhabi, en lui proposant éventuellement une alternative à l'EPR. Les groupes français ont peut-être simplement parié sur le fait que ce pays pétrolier avait largement les moyens de s'offrir cette technologie en dépit de la crise financière actuelle.


    "Je n'ai pas de leçon à donner, mais les entreprises doivent être à l'écoute de leur client (...). L'offre française n'était sans doute pas la mieux calibrée. Ce n'est pas simplement une affaire de coût, même si l'on sait que nous étions un peu plus chers que les Coréens", a commenté la ministre de l'Economie Christine Lagarde, dans un entretien aux Echos publié mardi.


    La perte du contrat aux Emirats permet également de douter de l'objectif affiché par Anne Lauvergeon, la présidente d'Areva, que son groupe capte un tiers du marché de la construction de nouvelles centrales nucléaires.


    La stratégie consistant à miser sur l'EPR, qui peut produire 1.650 mégawatts (MW), soit 250 MW de plus que le modèle coréen retenu, a échoué car elle n'a pas tenu compte des besoins d'Abou Dhabi, a estimé une source proche des négociations.
    Areva, qui a refusé de commenter la perte du contrat à Abou Dhabi, a souligné qu'il travaillait sur le développement de l'Atmea, un nouveau type de réacteur intégrant une technologie moderne et doté d'une capacité de 1.100 MW.


    Ce réacteur, qui aurait pu convenir au marché d'Abou Dhabi, ne sera toutefois pas commercialisé avant 2011.


    D'autres membres du consortium contestent l'idée qu'un autre réacteur que l'EPR aurait eu plus de succès à Abou Dhabi et qu'une solution alternative n'avait pas été jugée envisageable.


    Avec la contribution de Muriel Boselli, version française Marie Mawad et Benjamin Mallet, édité par Jean-Michel Bélot et Dominique Rodriguez

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    • #3
      Suite 2

      Bien auparavant tout ceci

      - 19 Novembre 2009 :

      19/11/2009
      President of Korea Advanced Institute of Science and Technology (KAIST) visits KUSTAR



      Dr. Nampyo Seo, President of Korea Advanced Institute of Science and Technology (KAIST), accompanied by delegates from KAIST, has visited on Thursday - November, 19th, 2009 Khalifa University and discussed with H.E. Engineer Hussain Al Hammadi, a member of KUSTAR's Board of Trustees, Dr. Arif Sultan Al Hammadi, KUSTAR's Interim President and other faculty and staff members to discuss various areas of collaboration and partnership.
      Traduction approximative :

      19/11/2009
      Président de la Corée Advanced Institute of Science and Technology (KAIST) visites KUSTAR

      Dr. Nampyo Seo, président de la Corée Advanced Institute of Science and Technology (KAIST), accompagné par les délégués de KAIST, a visité le jeudi - Novembre, 19, 2009 Khalifa University et a discuté avec SE Ingénieur Hussain Al Hammadi, membre du conseil d'administration KUSTAR d'administration, M. Arif Sultan Al Hammadi, KUSTAR intérimaire du Président et d'autres professeurs et membres du personnel pour discuter de divers domaines de collaboration et de partenariat.


      Et voici en définitive la conclusion de toute cette longue histoire.

      - 6 Janvier 2010 :

      Abu Dhabi school inks deal with Korean tech institute

      Abu Dhabi's Khalifa University of Science, Technology and Research and the Korea Advanced Institute of Science and Technology are set to launch a 10-year cooperation agreement, as part of the UAE-Korea nuclear agreement, according to Donga website. Under the agreement, KAIST will help KUSTAR establish a nuclear engineering department, in addition to providing support in more diverse sectors such as information technology, nanotechnology, robotics, and energy. 'Both sides will review their overall performance every five years,' KAIST Vice President Jang Sun-heung said.

      United Arab Emirates: Wednesday, January 06 - 2010 at 09:31
      Traduction approximative :

      Abu Dhabi encre un partenariat avec l'Institut de technologie de Corée

      Abu Dhabi Khalifa University of Science, Technology and Research et le Korea Advanced Institute of Science et la technologie sont sur le point de lancer une entente de 10 années de coopération, dans le cadre de l'UAE et la Corée accord sur le nucléaire, selon le site Donga. Selon l'accord, KAIST aidera KUSTAR créer un département de génie nucléaire, en plus de fournir un appui dans des secteurs plus diversifiés tels que les technologies de l'information, les nanotechnologies, la robotique et de l'énergie. «Les deux parties passeront en revue leur performance globale tous les cinq ans», KAIST Vice President Jang Sun-Heung dit.

      Emirats Arabes Unis: Mercredi, Janvier 06-2010 à 09:31


      Khalifa University of Science, Technology and Research (KUSTAR) Lien :
      http://www.kustar.ac.ae/main/


      Et comme



      Le contrat a été signé dimanche en présence du président des Emirats arabes unis, cheikh Khalifa Al-Nahyane, et de son homologue sud-coréen, Lee Myung-bak, en visite à Abou Dhabi. «Nous nous engageons pleinement […] à procurer de l'électricité aux Emirats en utilisant de l'énergie nucléaire sûre et pacifique», a déclaré le président de KEPCO, Kim Ssang-su. Il a estimé à 60 ans la durée de vie de la première centrale nucléaire aux Emirats. Cette centrale «sera opérationnelle jusqu'en 2077», a-t-il dit.

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      • #4
        Suite 3

        KAIST


        KAIST ou de la Korea Advanced Institute of Science and Technology, est situé dans Daedeok Science Town, Daejeon, Corée du Sud. KAIST a été créé par le gouvernement coréen en 1971 comme première recherche de la nation axée sur des institutions scientifiques et d'ingénierie. KAIST est la science la plus prestigieuse de la nation et de l'institution de la technologie.


        KAIST a été fondée avec un financement du gouvernement et était initialement doté d'un nombre d'ingénieurs coréens et la science des talents formés aux États-Unis. Dès le début, l'accent a été aussi bien théorique que la recherche appliquée. KAIST continue d'être avant tout de la Corée du centre de R & D stratégique des projets. L'université a aidé des pionniers de la création du pôle de compétitivité axée sur les programmes de l'école d'études supérieures en Corée.


        L'Université de quelques 540 professeurs mène des recherches en coopération avec des universitaires et des industries partout dans le monde. KAIST offre des subventions et des bourses à des étudiants internationaux.


        Le président du KAIST, Nam Pyo SUH, est une sommité en matière de technologie de conception axiomatique. Heung-Soon Chang, un scientifique nucléaire, sert de Provost et Ji-Won Yang, un ingénieur chimique, comme Vice President pour les affaires extérieures.


        L'Université a depuis de nombreuses décennies, recrutés professeurs de l'étranger. L'actuel président KAIST Nam Pyo Suh a enseigné pendant de nombreuses années à MIT. Son prédécesseur, Robert Laughlin, un Prix Nobel lauréat et un professeur de physique à partir de Stanford University, A été le premier étranger à diriger une université coréenne. Professeur émérite Cho Jang Hee, a été professeur à la fois double-Britannique, New York, et KAIST, et joua un rôle majeur dans le développement de la TEP technologie.


        La grande majorité des professeurs proviennent d'institutions américaines d'enseignement supérieur. L'école participe à de nombreux programmes internationaux avec les meilleures universités européennes et asiatiques. L'université est un membre du Lao-tseu, Un réseau international d'universités en Europe et en Asie. Il est également membre de la Association des universités de l'Asie de l'Est de la recherche.


        Au cours des 36 dernières années, le KAIST a formé 33.380 scientifiques et ingénieurs, 6867 diplômés de doctorat, 17.911 titulaires d'un diplôme de maîtrise et 8602 titulaires d'un diplôme baccalauréat. KAIST est le foyer de jeunes diplômés de doctorat qui sont dans la vingtaine, avec 43 pour cent, soit 2920 de 6726 diplômés de doctorat dans une vingtaine d'années après leur diplôme. KAIST diplômés travaillent dans les universités, les entreprises et les instituts de recherche ainsi que dans certaines des écoles les plus prestigieuses à l'étranger.


        Les universités comprennent MIT, UCLA, Université de Harvard et l'Université de Pennsylvanie, entre autres, les secteurs d'activité comprennent Samsung, SK Telecom, LG, Hyundai, RHN et les autres, les instituts de recherche incluent l'Electronique et Telecommunications Research Institute (ETRI), l'Institut coréen des sciences et de la technologie (KIST), de la Korea Research Institute of Chemical Technology (KRICT) et beaucoup d'autres.


        KAIST est connu pour un taux de placement de près de 100 pour cent. KAIST diplômés représentent 20 pour cent de tous les médecins d'ingénierie en Corée, en prenant en hausse de 10 pour cent de tous les postes de professeur d'ingénierie en Corée et ils représentent près de 25 pour cent des effectifs de R & D chez Samsung Semi-Conducteurs.


        Lien :
        http://www.kaist.edu/edu.html


        Position de KAIST dans le classement académique des universités mondiales ou classement de Shanghaï de l’année 2009.


        Lien :
        http://www.arwu.org/AsiaPacific2009.jsp
        Dernière modification par Adama, 11 janvier 2010, 23h51.

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        • #5
          Suite 4

          Nucléaire












          Technologie de l’information






          Nanotechnologie
          ADN processeur




          Nanocapteur




          Nanotube de Carbone




          Nanorouage





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          • #6
            Suite 5

            Robotique



































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            • #7
              Suite 6









              Energie
              Réacteur à fusion (tokamak) KSTAR Coréen en lien notamment avec KAIST








              La Corée du Sud participe notamment au projet international de réacteur à fusion nucléaire ITER





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