Quelques larmes sur un banc...
Quelques larmes sur un banc,
On noyé l’instant
A qui appartiennent elles ?
Je les ai trouvé brillantes,
De ces larmes gorgées de dépit
Peut être une amante…
Qui aurait trop attendu
Ou bien celles d’un enfant
Battu…
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Ce sont les sueurs
D’une âme en peine
La liqueur amère
D’un moment de détresse
Elles sont immortelles ces larmes
Même le vent ne les sèchent pas,
Comme si les éléments
S’était habillé de pudeur…
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Qu’elle paire d’yeux
On pu laisser cet héritage a la terre,
Elles sont tellement lourdes
Que j’ai l’impression,
Que bientôt la terre va m’engloutir...
Je voudrais me baigner dans ces eaux
Draguer les fonds du désespoir
Mais c’est un chemin sans retour...
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Malgré leurs limpidité
Et malgré les rayons du soleil
Qu’elles ont capturé.
Elles me paraissent écarlates
Comme des gouttes de sang
Ces larmes a n’en pas douter
Proviennent d’une blessure
Elle ne s’écoulent pas des yeux
Mais d’une morsure...
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
J’ose les effleurées
Elle m’avouent, la vérité
La belle s’en est allée
Le cœur en champs de bataille
Elle me supplient de les emmenés
Et de faire d’elle
Un joli collier….
Chaarar,
Quelques larmes sur un banc,
On noyé l’instant
A qui appartiennent elles ?
Je les ai trouvé brillantes,
De ces larmes gorgées de dépit
Peut être une amante…
Qui aurait trop attendu
Ou bien celles d’un enfant
Battu…
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Ce sont les sueurs
D’une âme en peine
La liqueur amère
D’un moment de détresse
Elles sont immortelles ces larmes
Même le vent ne les sèchent pas,
Comme si les éléments
S’était habillé de pudeur…
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Qu’elle paire d’yeux
On pu laisser cet héritage a la terre,
Elles sont tellement lourdes
Que j’ai l’impression,
Que bientôt la terre va m’engloutir...
Je voudrais me baigner dans ces eaux
Draguer les fonds du désespoir
Mais c’est un chemin sans retour...
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
Malgré leurs limpidité
Et malgré les rayons du soleil
Qu’elles ont capturé.
Elles me paraissent écarlates
Comme des gouttes de sang
Ces larmes a n’en pas douter
Proviennent d’une blessure
Elle ne s’écoulent pas des yeux
Mais d’une morsure...
Quelques larmes sur un banc
On noyé l’instant
J’ose les effleurées
Elle m’avouent, la vérité
La belle s’en est allée
Le cœur en champs de bataille
Elle me supplient de les emmenés
Et de faire d’elle
Un joli collier….
Chaarar,
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