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Inquiétude : un cas de grippe aviaire en Algérie ?

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  • Inquiétude : un cas de grippe aviaire en Algérie ?

    Inquiétude : un cas de grippe aviaire en Algérie
    Selon la radio Europe 1, on annonce une inquiétude au sujet d'un malade décédé, ayant les symptômes de la grippe aviaire.
    Pour l’instant il n’y a pas plus de précisions.
    A confirmer cette information.
    Espérons que c’est une fausse alerte.
    Dernière modification par Adhrhar, 25 janvier 2006, 09h26.
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

  • #2
    Grippe aviaire : psychose à Oran. Après la mort suspecte d’un éleveur de volailles à

    Après la mort suspecte d’un éleveur de volailles à Sidi El-Bachir
    Grippe aviaire : psychose à Oran

    Les autres membres de la famille de la victime ont été hospitalisés pour des symptômes grippaux. Amar Tou, ministre de la Santé, a annoncé l’envoi d’une délégation d’experts sur les lieux et la tenue aujourd’hui d’un conseil interministériel consacré à cette maladie.

    Après l’apparition de “symptômes grippaux” parmi les membres d’une même famille résidant à Sidi El-Bachir, un bourg à quelque 6 km à l’est d’Oran, et surtout l’annonce du décès, ce samedi, de l’un d’entre eux, en l’occurrence le père âgé de 45 ans, c’est l’ensemble des responsables et des services de santé et vétérinaires de la ville d’Oran qui a été mis en alerte et qui a été pris de panique. Nous avons appris de sources médicales qu’une quatrième personne, le grand-père âgé de 83 ans, a été hospitalisée hier matin suite à l’intervention d’une équipe d’épidémiologistes qui ont convaincu le vieil homme de se laisser hospitaliser.
    Ce dernier très affecté par le décès de son fils, voulait dans ses déclarations “s’en remettre à Dieu”. Sur les ondes de la radio locale El-Bahia, des responsables du CHUO et du service infectieux ont, pour la deuxième fois consécutive, fait une intervention pour rassurer la population et déclaré qu’en “l’état des choses et de la situation sur le terrain, il ne s’agit pas d’une contamination par la grippe aviaire...” Des propos appuyés volontairement par l’enregistrement des 3 patients hospitalisés qui ont déclaré se porter mieux alors que la rue d’Oran relayant l’information se laissait aller à la panique.
    Dans les cafés, dans les bus, l’information allait bon train chez les citoyens qui citent souvent en exemple le cas de la Turquie qui n’a pas été en mesure de réagir promptement et comme il le fallait dès l’apparition des premiers cas humains de grippe aviaire dans des villages isolés.
    Certes Sidi El-Bachir n’est pas un village isolé en pleine montagne, mais c’est là justement ce qui inquiète les Oranais, cette localité qui est à 6 km d’Oran, qui plus est, se caractérise par un urbanisme anarchique où les problèmes d’alimentation en eau, d’évacuation des eaux usées se sont souvent posés. Mais il n’empêche que le souci chez les autorités de rassurer coûte que coûte la population ne doit pas occulter le fait que le diagnostic de grippe aviaire ne sera définitivement écarté que dans une huitaine de jours, durée qu’il faut à l’institut Pasteur d’Alger pour rendre les résultats des analyses virologiques et bactériologique des prélèvements qui leur ont été transmis d’Oran, ce dimanche. En fait, toute l’inquiétude est venue du décès subit du père, quelques jours seulement après l’apparition des premiers signes “d’une forte grippe” pour laquelle il avait consulté un médecin privé, et lorsque les interrogatoires cliniques des trois premiers malades hospitalisés au service infectieux, un enfant de 13 ans et ses deux oncles âgés respectivement de 33 et 46 ans, ont révélé que cette famille avait un élevage de 10 poules et de 6 canards.
    D’où avant-hier, l’intervention d’une équipe de vétérinaires au domicile de la famille afin de contrôler l’état de santé des animaux et effectuer des prélèvements. L’un des responsables nous relate leur intervention : “nous nous sommes rendus sur les lieux, avant-hier à 4 heures du matin, nous avons pu constater sur place que l’habitation était salubre, les sujets avicoles sont en bonne santé, et ne présentent aucun signe de maladie…” La grand-mère, qui s’occupe des poules et des canards, nous a encore déclaré qu’aucun de ses animaux n’était mort… et d’ajouter : “Nous avons tout de même effectué des prélèvements qui ont été envoyés au laboratoire de Tlemcen et nos équipes ont mené une enquête épidémiologique sur place et dans le voisinage de cette famille.”
    Notre interlocuteur se veut lui aussi rassurant au vu de son constat sur le terrain, mais là aussi le diagnostic ne pourra être définitif, nous dit-il, que ce samedi avec la réponse du laboratoire de Tlemcen dépendant du ministère de l’agriculture.
    Pour l’heure, l’état de santé des quatre malades hospitalisés au service infectieux et qui ont été placés en isolement et sous thétracycline, un antibactériologique, est stationnaire, nous dit-on.
    toute visite est interdite, ce que semble mal accepter notamment l’enfant de 13 ans qui ne cesse de réclamer sa mère. L’on nous signale encore que la grand-mère par contre ne présente aucun signe de maladie alors qu’elle serait le membre de la famille le plus souvent en contact avec les animaux. Ainsi beaucoup d’interrogations sur le cas de cette famille et bien peu de réponses jusqu’à l’heure actuelle.
    Ce qui déroute encore bien des interlocuteurs, c’est que face à une telle situation, la ville d’Oran ne dispose pas de laboratoire de référence pour effectuer des analyses comme cela est le cas dans cette affaire, une centralisation qui ne peut qu’alourdir les mesures d’urgence de prise en charge de patients et plus au cas d’une épidémie de grippe aviaire ou autre. Ainsi l’on s’interroge encore pour savoir si le Tamiflu pourra être disponible en temps voulu et en quantité suffisante plus particulièrement maintenant à Oran.
    Par ailleurs, nous avons appris par des indiscrétions qu’une délégation ministérielle était arrivée aujourd’hui à Oran en urgence et s’est rendue au service infectieux accompagné par le directeur du CHUO.
    Jusque tard dans l’après-midi, ce dernier, avec qui nous n’avons pu parler malgré nos maintes tentatives, tenait une séance de travail avec les membres de la délégation.

    http://www.liberte-***********/edit.php?id=51471
    Dernière modification par Adhrhar, 25 janvier 2006, 09h32.
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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    • #3
      nous avons pu constater sur place que l’habitation était salubre,

      la grippe aviaire ne provient pas uniquement d'une contamination mais son origine provient d'une mauvaise hygiène
      voilà comment la volaille de ce fermier a été infectée par ce virus
      " Le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours. "
      Proverbe Chinois

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      • #4
        Tou n’écarte pas les cas de grippe aviaire à l’Ouest

        En attendant les résultats de l’Institut Pasteur
        Tou n’écarte pas les cas de grippe aviaire à l’Ouest

        Réagissant à l’information rapportée hier dans la presse au sujet de l’état d’alerte déclaré à l’hôpital d’Oran et les malades admis atteints de symptômes inconnus, Amar Tou, ministre de la Santé, n’a pas écarté l’idée que la grippe aviaire soit derrière ces cas, en attendant les résultats des analyses de l’Institut Pasteur.

        Cela dit, il a expliqué que ses services sont à pied d’œuvre pour circonscrire cette mystérieuse pathologie déclarée dans la commune de Bir El Djir et qui a déjà fait un mort. M.Tou a annoncé aussi que l’argent qui servira à l’achat du Tamiflu, vaccin utilisé pour lutter contre cette épidémie, a été transféré hier dans les comptes du ministère et que toutes les mesures nécessaires ont été prises au niveau national afin de réagir vite au moindre cas soupçonné. Le ministre de la Santé, accompagné de celui de la solidarité, Djamel Ould Abbas et Souad Bendjaballah, ministre déléguée à la Recherche scientifique, s’exprimait hier en marge d’une rencontre commémorative à l’occasion du 50e anniversaire de l’assassinat par l’armée française du docteur Benaouda Benzerdjab. La rencontre tenue au CHU de Constantine a été ponctuée par une conférence de presse qui a permis à la troïka d’intervenir sur un nombre important de questions. Sollicité plus que les autres, Amar Tou a répondu également à la question relative à l’affaire des circoncis du Khroub, annonçant que sept enfants sont rentrés chez eux après avoir reçu les soins alors que les deux restants ont été transférés en Belgique après l’échec des démarches entretenues en direction des établissements français. Mais avant tout cela, le patron de la santé a piqué une petite crise en réaction à la question relative à l’élection du Conseil de déontologie médicale sans cacher son irritation envers le traitement réservé par la presse, notamment El Watan, à ce dossier. La polémique soulevée autour de l’organisation de ces élections, motivée par l’appréhension exprimée par les différents ordres envers « la volonté d’ingérence affichée par le ministère », ne semble pas émouvoir outre mesure M. Tou. Celui-ci s’est défendu en rétorquant qu’il n’y a pas d’enjeu dans ce conseil pour justifier l’intrusion de son département si ce n’est la volonté de dépasser cette situation d’absence de contrôle chez les praticiens de la santé. Cependant, le vide juridique laissé après le gel du conseil et l’expiration du mandat de ses membres donne au ministère la possibilité d’intervenir pour relancer l’organisation avec l’accord des concernés, expliquera t-il.

        http://www.elwatan.com/2006-01-25/2006-01-25-34964
        Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
        L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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        • #5
          le gars avait la tuberculose a un stade tres avancé...non traité a temps..il en est mort...c'est bizarre de mourir de la tuberculose en 2006!!

          il y'a pas de grippe aviaire en algerie..et meme s'il y'en a ...il n'ya jamais eu atravers le monde de transmission interhumaine...
          il y'a beaucoup plus grave et plus urgent que cette "mode"
          « Puis-je rendre ma vie
          Semblable à une flûte de roseau
          Simple et droite
          Et toute remplie de musique »

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          • #6
            L’homme, âgé de 45 ans, décédé jeudi dernier à l’est d’Oran, ne présente pas de signes d’une personne morte de la grippe aviaire.

            Il est exclu aussi que les quatre autres membres de sa famille, trouvés également malades, soient atteints de cette maladie. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, a apporté, hier, un démenti, en marge de la clôture de la session d’automne de l’APN, à Alger. Les prélèvements effectués sur les volailles que possède cette famille n’avaient révélé aucune présence du virus de la grippe aviaire. Cette personne est morte probablement d’une grippe aiguë. Les analyses se font au niveau de l’Institut Pasteur pour déterminer de quoi exactement est décédée cette personne et le cas des quatre autres malades. Dans quelques jours, nous aurons les résultats. En tous cas, il ne s’agit nullement de cas de grippe aviaire », a-t-il déclaré. Le démenti du ministre a été appuyé par son conseiller de presse, Slim Belkessam, qui est intervenu sur les ondes de la Radio algérienne, pour préciser qu’« il n’y a aucun cas de virus H5N1, aussi bien dans le règne animal que chez l’être humain en Algérie ». Selon lui, « les cas rapportés par la presse de trois personnes hospitalisées au CHU d’Oran sont des cas de grippe ordinaires, saisonniers, avec quelques complications, bronchites, etc. Mais ils n’ont rien à voir avec le virus H5N1. La personne décédée était atteinte depuis longtemps d’une tuberculose », a-t-il souligné. Le ministre de la Santé a indiqué, en outre, que le plan de prévention contre cette maladie est « prêt ». « Nous avons déjà reçu un lot de 10.000 cures de Tamiflu qui sont actuellement au niveau de la Pharmacie centrale. Nous allons recevoir encore 100.000 cures en avril et 1 million avant la fin de l’année. Le reste arrivera l’année prochaine », a-t-il indiqué. Le ministère de la Santé, faut-il le préciser, a signé un contrat pour l’achat de 6,5 millions cures de Tamiflu. Soit de quoi couvrir 25% de la population. M. Tou explique qu’il s’agit d’un pourcentage recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
            El Watan
            Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
            L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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            • #7
              Mon ami Tamerlan ...

              Je cite:


              1918 killer flu secrets revealed

              The structure of a protein from the virus
              Scientists have worked out how the virus which caused the world's worst flu epidemic infected man.
              They believe the virus, which claimed the lives of up to 50m people around the world, jumped from birds to humans.


              Voir Site web: http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3455873.stm

              Je ne sais que penser: La maladie qui a décimé près de 50 millions de gens vers 1818 est bien passée de l'OISEAU à l'humain après une mutation du virus.
              On vient (aux USA) de décodé son ADN !

              D'ailleurs je suis sur que vous savez
              que dans ce que l'on appelle le MONDE CIVILISÉ, la plupart des maladies sont passées de l'ANIMAL à l'HUMAIN!


              Il suffit de penser soir à la maladie du Charbon (anthraxe) qui est passé du mouton à l'Homme et plus récemment le virus du SIDA (HIV) qui est passé d'un singe à l'Homme.

              A+
              Dernière modification par Avucic, 26 janvier 2006, 11h27.
              L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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              • #8
                Soulagement dans la capitale de l’ouest...et, dans tous le pays!

                Soulagement dans la capitale de l’ouest...et, dans tous le pays! Pas de grippe aviaire à Oran , Les résultats préliminaires se sont avérés négatifs. Esperons que les resultats definitifs seraient de meme!

                ====
                La tension vécue ces derniers jours par le corps médical et les responsables locaux à Oran, après le décès brutal d’un père de famille résidant à Sid El-Bachir, et qui avait un petit élevage familial de volailles, est tombée d’un cran depuis hier De même, la population, qui dans un premier temps, avait craint que le scénario du pire, l’apparition de cas humain de grippe aviaire, se jouait à côté d’eux ont vu leur crainte s’apaiser quelque peu.
                En effet, plus que les discours des responsables en charge de la santé, l’information rassurante sur l’évolution de l’état de santé des 4 malades toujours maintenus en isolation a permis d’atténuer la crainte qui s’était emparée de certains.
                Des sources médicales ont d’ailleurs signalé que l’état de santé des 4 patients, un enfant de 13 ans et 3 adultes, le grand-père de 83 ans et deux oncles âgés respectivement de 33 et 46 ans, “est stabilisé… Leur état clinique n’est pas celui de la grippe aviaire en tout état de cause !” nous a-t-on encore dit.
                Mais plus important, des sources hospitalières nous ont signalé avec un sentiment de soulagement que les premiers résultats préliminaires des analyses virologiques envoyées à l’Institut Pasteur s’avèrent négatifs pour ce qui est de la grippe aviaire, et cela dans l’attente des résultats définitifs qui seront disponibles en début de semaine prochaine. “Il n’y a pas de grippe aviaire à Oran, nous nous trouvons devant des personnes ayant un symptôme fébrile, cela peut être la leptospirose ou une autre infection, mais en aucun cas la grippe aviaire…”, nous a encore assurés le DG du Chuo. Ce dernier que nous avons pu joindre par téléphone explique encore qu’“il était tout à fait normal de prendre des mesures de précaution, de prévention et d’isoler les malades au service infectieux… Il n’y a aucune raison de céder à la psychose !”
                Cela va, par ailleurs, dans le sens des constats faits par les équipes de vétérinaires relevant de la Direction de l’agriculture d’Oran, lors des sorties épidémiologiques, et qui confirment que le petit élevage familial, servant seulement à la consommation propre de la famille du défunt, était en bonne santé.
                À Sid El-Bachir, une agglomération se trouvant à quelque 6 km à l’est d’Oran, le quartier Bendaoud est typique de ces grands bourgs qui ont poussé ces dernières années à la périphérie de toutes les grandes villes d’Algérie.
                Une urbanisation anarchique sans études d’occupation du sol. Cela se traduit par un entassement de constructions souvent de type haouch avec des pistes en guise de route. Beaucoup de familles qui vivent là se sont installées dans le cadre de l’autoconstruction, après avoir dû quitter leurs vieilles habitations, vétustes et en ruine des vieux quartiers populaires d’Oran.
                C’est là que réside la famille du défunt où nous nous sommes rendus hier matin.
                La rue est calme, la tente pour les obsèques, dressée dans une ruelle adjacente, n’a pas encore était enlevée, et pour cause, l’enterrement du père de famille n’a eu lieu qu’il y a 3 jours seulement. Le portail s’ouvre et c’est un petit enfant aux joues bien roses qui nous ouvre aussitôt, suivi par un adulte. Ce dernier, le visage grave, les yeux cernés, nous explique que la famille est en plein deuil, alors même que 4 de leurs membres sont toujours hospitalisés, et ne sont pas en état de parler ou de recevoir quiconque actuellement. Nous ne pouvons que respecter la douleur d’une famille dans de telles circonstances.
                Dans la rue très calme, les voisins solidaires en ces moments douloureux restent tout aussi discrets. Plus loin, les enfants, cartables au dos, sortent d’une école ; une vie de quartier banale et calme en somme.
                Dans les jours à venir, l’attention à Oran va se porter sur l’évolution clinique des 4 patients et sur les résultats des laboratoires de Tlemcen et de l’Institut Pasteur qui viendront ainsi définitivement lever toute crainte et toute suspicion.


                Liberté

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                • #9
                  @avucic
                  eh ben non la plupart des maladies ne sont pas venus des animeaux...
                  le vih n'a pas ete transmis apartir des singes, c'est une theorie raciste qui veut que le sida soit originaire d'afrique sans aucun support objectif


                  et a ce jour concernant la grippe aviaire aucun cas de transmission interhumaine n'a ete recensé ....tant qu'il n'ya eu aucun cas faut pas s'alarmer!!
                  tu sais chaque année il y'a 200 000 morts par paludisme pour avoir utiliser de faux medicaments contrefaits!!
                  alors......... c'est une mode
                  « Puis-je rendre ma vie
                  Semblable à une flûte de roseau
                  Simple et droite
                  Et toute remplie de musique »

                  Commentaire


                  • #10
                    chaque année il y'a 200 000 morts par paludisme pour avoir utiliser de faux medicaments contrefaits!!
                    C’est aberrant, ce sont des criminels

                    Commentaire


                    • #11
                      Un article de l'économiste sur la grippe aviaire

                      Grippe aviaire en Algérie

                      Inquiétudes et incertitudes au Maroc

                      · La région de l’Oriental particulièrement en émoi

                      · L’Algérie importe du Tamiflu

                      · Contrôles renforcés aux aéroports et ports


                      La grippe aviaire en Algérie… aux frontières du Maroc. L’information fait les choux gras de l’ensemble de la presse internationale. Dans la région de l’Oriental, limitrophe, il n’est question que de cela. On s’interroge, on se jette sur les journaux algériens et nationaux.
                      Il faut dire que l’alerte est sérieuse. En effet, les mesures d’urgence prises par les autorités suite «à une mystérieuse pathologie observée en sol algérien ayant fait un mort», provoquent naturellement de nombreuses inquiétudes de ce côté de la frontière. Ainsi, il a été décidé de transférer, dans les comptes du ministère de la Santé algérien, une grosse enveloppe budgétaire destinée à l’achat de vaccins anti-grippe aviaire. l’Etat a prévu de commander sept millions de masques de protection pour le personnel sanitaire et la population, ajoute la même source. La décision est confirmée par Amar Tou, ministre de tutelle, dans le quotidien algérien Al Watan. Fait repris aussi par l’agence AFP qui précise que «8 milliards de dinars (94 millions d’euros environ) serviront à importer, en cas de nécessité, 7 millions de doses de l’antiviral Tamiflu.
                      Ainsi, les cas de grippe aviaire dans l’ouest algérien ne sont pas du tout «écartés et des mesures préventives au niveau national sont prises pour faire face à tout cas soupçonné», ajoute le ministre algérien. Un dispositif de mesures préventives a été mis en place, samedi dernier, aux ports et aéroports. Celles-ci concernent les voyageurs allant et venant de pays touchés par cette maladie, comme la Turquie. Par ailleurs, le ministre de l’Agriculture algérien a affirmé que les importateurs de poussins et de poules sont astreints à l’obtention de dérogations de son département qui n’en livre jamais dans le cas où le produit provient de pays contaminé ou à risque, rapporte encore Al Watan. Les voyageurs vers la Turquie sont priés de ne pas entrer en contact direct avec la volaille de ce pays. L’introduction d’oiseaux exotiques est également interdite. Toutefois, précise le responsable algérien , «la situation ne devrait causer ni état d’alerte ni panique d’autant plus que la contagion est lente et difficile».
                      Quant aux informations qui nous parviennent à Oujda, les rumeurs de grippe aviaire chez les voisins de l’Est affolent quelque peu. Les autorités compétentes, notamment les services vétérinaires affichent une sérénité relative. Les communiqués se veulent rassurants mais la population aimerait être plus clairement fixée sur la stratégie mise en place en cas de propagation du virus aviaire.
                      La région est particulièrement sensible dans la mesure où un vaste trafic informel sévit entre les deux pays. C’est connu, d’Algérie on importe de tout en contrebande: essence, électroménager, médicaments et mêmes des vaches. De là à ce que des poulets fassent partie des colis… n’aurait rien d’extraordinaire.

                      Mohammed Zerhoudi

                      J'ai trouvé la derniére phrase assez marrante !!!!!!!

                      http://www.leconomiste.com/article.html?a=68238
                      Dernière modification par menara, 26 janvier 2006, 17h53.

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