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Le PDG de Sonatrach placé sous contrôle judiciaire

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  • #16
    Bonjour !

    J'aime bien quand les petits poissons sont avalés pour le compte des gros spécimens ! Car ces dernier tentent de faire croire qu'ils ont les mains propres! Plus hilarant encore, ils tentent de convaincre qu'ils détiennent une morale, voire une conscience !

    J'imagine que Meziane a été sacrifié au détriment d'un désaccord entre "gens de l'ombre "

    Dans tous les cas de figure, le spectacle est presque jouissif ! Installez-vous il ne fait que commencer !



    ../..
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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    • #17
      Mauvaise nouvelle ! quand le malheur tombe, ça vient de tous les côtés !
      le peuple doit trouver un moyen efficace pour se faire entendre!
      une intifada pacifique est necessaire

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      • #18
        Quelle relation y a t-il entre Sonatrach et le pays voisin ??

        elle nous vend du gaz !

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        • #19
          le peuple doit trouver un moyen efficace pour se faire entendre!
          une intifada pacifique est necessaire
          d'accord mais il est plus urgent de dire ca aux sujets de sa majeste qui asservi tout un peuple et a commencer par ceux qui ecrivent des inepties du genre.
          je remarque : qu'au maroc la famille fassi fihri place ses mongoliens partout dans les rouages de l'etat , chez le voisin ce sont les mezianes !
          avec une difference : les mongoliens marocains ne sont pas des voleurs.
          Et devine de qui s’agit il



          Au fait, bien que c'est du n'importe quoi tu peux nous citer quelques uns de ses mezianes placés dans les rouages de l'etat voisin.
          Dernière modification par amicalement, 15 janvier 2010, 14h32.

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          • #20
            Il n'y à rien de surprenant dans cette affaire de la "nébuleuse" sonatrach, la poule aux yeux d'or, car les pots de vin, les passe-droits, le trafic d'influence, corruption, malversations et rapine ont toujours existé dans le monde des négociations des affaires et transactions financières entre sociétés et c'est ainsi que l'opacité, les arrangements et la discrétion sont de mise, en somme une monnaie courante. Un classique bien ancré dans les rouages de l'affairisme.
            Un règlement de compte n'est pas aussi a écarter entre le ministre Mr Khellil et son entourage immédiat. Tout est possible dans ce microcosme des salons feutrés. La guerre des tranchées a commencée a faire des victimes collatérales.
            Dernière modification par milka, 15 janvier 2010, 15h37.

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            • #21
              Grande évasion fiscale présumée sur les tubes

              Rien que son système d’appel d’offres soit particulier à Sonatrach, au point où on l’a accusée de représenter un État dans l’État, malgré son Baosem (Bulletin des appels d’offres du secteur de l’énergie et des mines, une Sarl créée par Sonatrach et Sonelgaz en 2001, soit l’équivalent du Bomop, pour le reste des entreprises nationales publiques), Sonatrach n’en est pas moins exposée aux malversations ou aux tricheries. Ce sont des millions de dollars qui peuvent s’évaporer sur un simple contrat. Les documents que nous avons pu obtenir le démontrent de manière claire et indubitable. Il y a 3 mois, le 15 septembre 2009, M. Sharma, directeur de marketing de la société Jindal, adressait une correspondance aux représentants légaux de Finalgeria (société représentant le groupe indien Jindal en Algérie, filiale du groupe Jindal Saw Ltd, spécialisée dans la fabrication de tubes soudés à l’arc immergé), afin de les inciter à porter plainte auprès de Sonatrach TRC à Baraki et Sonatrach siège à Alger, en vue de tenter, si possible, d’arriver au règlement à l’amiable, d’un contentieux portant sur l’attribution d’un marché de transport de tubes à une entreprise turque moins-disante, avec des offres, selon les experts, très manifestement en deçà des normes de prix fixés en dinars algériens.
              La lettre porte en objet : “A.O. Sonatrach TRC, GR4 Lot1 du 23 juin 09 : tricherie de certains compétiteurs sur les réelles valeurs des travaux en dinars sur le territoire algérien”.
              D’entrée de jeu, la correspondance ouvre le feu : “Nous, Finalgeria, œuvrons en toute loyauté et régularité dans nos activités représentatives et commerciales import/export en Algérie. En termes de droit algérien, indien et internationaux, nous demandons l’annulation du contrat GR4 du 23 juin 09 au 23 septembre 09 et aussi en conformité avec la caution bancaire de soumission Lot n°1”. Le conseil de direction de la Finalgeria continue sur sa lancée pour dénoncer “l’irrégularité scandaleuse” de l’adjudication, en 15 lettres, pas une de moins à la date du 26 juin 2009. Des lettres adressées aux institutions concernées et aux services commerciaux des ambassades indienne et algérienne.
              La lettre ajoute : “Nous prouverons la tricherie par les deux plus simples preuves” sur une dizaine de critères de calcul fiable pouvant entrer en jeu.
              Une tricherie qui gruge le Trésor public selon le document de pas moins de 6 millions de dollars ! Il semblerait que les correspondances de Finalgeria aient été suivies côté Sonatrach par un silence radio. Ce qui a contraint l’entreprise Finalgeria à porter plainte contre X, c’est-à-dire Sonatrach et le groupe turc adjudicataire du marché.
              Premier élément de calcul : le transport entre le port de Djen Djen et le parc de Sonatrach TRC à Hassi-Messaoud. “Sur les 5 transporteurs agréés ayant soumissionné, l’offre de l’Eurl El-Bouteïna d’Annaba était la moins élevée et proposait 550 euros par camion. Or, un simple calcul fait apparaître qu’il faut 9 518 camions pour transporter les 130 000 tonnes de tubes. Une opération élémentaire laisse apparaître pour le total transport (550 euros x 9 518 camions, soit un total de 5 234 900 euros) avec une cotation de 102,28 DA/1 euro le 23 juin 09, soit un total de 1 euro pour 105 DA (avec les frais de banque), + TVA de Bouteïna à Finalgeria et Jindal : valeur totale : 643 107 465 DA. Or, le groupement turc a annoncé pour la totalité des prestations un montant (qualifié de ridicule par les rédacteurs de Finalgeria) de 418 762 429. Le prélèvement légal des 24% destiné au Trésor public sera réalisé à partir de ce montant, lit-on dans le document.
              Remarque : le projet Gazoduc GR4 48 pouces Rhourde Nouss-Hassi R’mel comporte un premier lot pour la fourniture de 304 966,90 ML de tubes 48’’ et un deuxième lot de fournitures de 234 000 ML de tubes de 48’’. Se disputaient le premier lot pas moins de 8 entreprises : 2 indiennes (Gujarat Stahl Rohren et Finalgeria), 1 grecque, 1 anglaise, 1 allemande, 1 russe et 2 turques.
              Si en gros, les offres ne diffèrent pas beaucoup entre elles, celle de Finalgeria et de l’allemand Man Ferrostaal sont très proches aussi bien dans la partie libellée en devises que dans la partie en dinars algériens (144 919 250 $ et 1 512 335 966 DA pour le premier et 144 201 714,83 euros et 1 562 466 328,40 DA pour le second).
              Il en est curieusement de même pour les deux entreprises turques le Groupe Borusan et Thyssen Krupp Mannex Erciyas : le premier offre 418 762 429,29 DA et le second 425 865 509, 59 DA. Des offres en dinars équivalant au tiers de celles de leurs concurrents !... “Impossible”, souligne une note rédigée à la main en bas du document d’ouverture des plis obtenu par Finalgeria : “L’offre est sous-estimée de 3 à 4 fois pour échapper aux 17% de TVA et 24% de prélèvement à la source”.
              Deuxième élément de calcul : le poste prestations portuaires sur la base de tarifs déterminés d’après des décrets ministériels. Sur la base de 25 000 tonnes de déchargement de navires et de chargement de camions, sous palan, à 398 DA/tonne et 105 000 tonnes au tarif de 556,20 DA/tonne, le total atteint 68 350 000 DA HT + TVA 17%, moins 24%. Ajouter la reprise sur le port 208 327 000 DA + 17% moins 24%, et si on devait comptabiliser les 8 autres postes (manutention à l’arrivée, gestion, assurances, etc.) on arriverait à un total autrement plus conséquent. La correspondance conclut : “Nous avons fait contrôler nos calculs par deux experts judiciaires et maritimes. Nous, Finalgeria arrivons à quelque 982 372 100 DA hors les 17% de TVA à prévoir de Finalgeria à Jindal. (Or) Jindal comme le groupement turc est une société de droit étranger. Sonatrach va donc déduire 24% de retenue à la source sur les montants annoncés en DA qui devraient être reversés au Trésor public algérien”.
              Là où apparemment le bât blesse, Finalgeria, qui se targue de facturer toutes ses prestations, c’est que le manque à gagner pour le Trésor public algérien des projets, que pour l’entreprise émettrice de l’A.O. Sonatrach TRC. Pas moins de 6 millions de dollars (+ 5,2 millions d’euros) passent sous le nez du fisc, selon le document, juste sur ce fameux Lot n°1 GR4 du 23 juin 09. La lettre s’achève par la demande expresse faite à Sonatrach, aux ministères concernés des Finances, de l’Énergie et des Mines, du Commerce, etc., à la direction des douanes et aux services fiscaux, en vue d’annuler l’attribution du contrat et de réaliser un redressement fiscal contre les tricheurs. De plus, Finalgeria se plaint qu’un simple transitaire, en exigeant une autorisation d’exportation qui n’existe pas, en l’inventant en quelque sorte, ait pu bloquer huit jours durant deux navires chargés de 3 000 tonnes de tubes récupérés et payés à Sonatrach TRC rubis sur l’ongle à Laghouat, et lui causer ainsi un préjudice financier de 95 000 euros. L’affaire a été portée devant le tribunal d’Oran.
              Le gérant de Finalgeria suggère que les services financiers de Sonatrach et des autorités fiscales contrôlent sur une période de 3, 5 et même 10 ans, tous les dossiers d’acquisition de tubes neufs, qui parfois portent sur des projets 160 fois plus importants que celui dont il est question dans la plainte !
              Le 21 septembre 2009, le gérant de la Finalgeria, M. Finet, adresse une correspondance au vice-président de Sonatrach chargé du transport par canalisations, au P-DG et au président de la commission des appels d’offres de Sonatrach, en vue d’obtenir un rendez-vous. L’objet de la rencontre est la démonstration de la minoration des valeurs déclarées en dinars par l’adjudicataire turc. La lettre accuse les destinataires : “Vous avez jugé qu’il peut être ainsi fait une économie illégale de quelque 6 millions $ au détriment du Trésor public algérien” et souligne le ras-le-bol de Finalgeria : “Vous avez noté notre loyauté depuis 5 ans d’acceptation des non-attributions des marchés d’appels d’offres antérieurs, sans discussion. Mais cette fois-ci l’excès est trop important, nous avons réagi”.
              Le 16 septembre 2009, une procédure judiciaire est envisagée contre X, soit Sonatrach TRC et le groupement turc adjudicataire du marché GR4 Lot n°1. Est sous-entendue une véritable mise en demeure qui viserait les responsables de Sonatrach, un mois après l’envoi de la correspondance, en cas de non-réponse. La situation en est arrivée là, après toutes sortes de recours amiables, les premiers adressés à Sonatrach TRC, à Sonatrach siège, aux ministères algériens concernés et aux administrations de tutelle, semble-t-il sans résultat, dans les délais légaux, soit au cours des 3 mois ayant suivi l’attribution du marché litigieux. Sonatrach en n’annulant pas l’attribution du lot du contrat semble cautionner ces sous-facturations.
              Finalgeria dénonce “l’inexistence de conditions de concurrence loyale depuis longtemps (…) et l’avenir noir pour les compétiteurs loyaux (qui souhaitent) accéder aux contrats sans tricheries”. Les rédacteurs de la correspondance demandent à examiner “les conditions tarifaires (légales, ndlr) en vue d’engager une procédure judiciaire contre X, apparemment Sonatrach TRC qui semblerait cautionner le système (en cas de non-annulation du contrat) et les compétiteurs qui minimisent les valeurs et surtout l’adjudicataire turc”.
              La lettre se termine par la demande “de paiement de dommages et intérêts à hauteur de (notre) commission contractuelle”. Une note en bas de page, rédigée à la main, précise qu’en cas de non-annulation du contrat GR4 par Sonatrach TRC dont le siège se situe à Baraki, une procédure (judiciaire) sera engagée devant le tribunal de La Haye.
              Liberté a adressé un courrier au P-DG de Sonatrach daté de décembre 2009, pour une réponse et des éclaircissements à propos de telles accusations, aucune réponse écrite, à ce jour, ne nous est parvenue.


              11-01-2010
              Liberte
              Hum la presse a lévé le lièvre un peu avant, SONATRACH est un repère de choix pour la charognards. En téhoerie les ministres n'interviennent pas dans les transactions commerciales, mais dans les coulisses et avec leur pouvoir de dégommer n'importe quel PDG, DG ou moins que çà, ils peuvent faire des pressions verbales. La justice ne pourra pas dans ces cas là les inculper. Donc les PDG, munissez vous de d'enregistreurs discrets et enregistrez toutes vos échanges avec ces incapables, peut être cela vous sauvera la mise en cas de pépin.

              La démonstration de FinaAlgeria semble tenir la route.

              >>>Dans tous les cas de figure, le spectacle est presque jouissif ! Installez-vous il ne fait que commencer !


              J'espère qu'on sera pas deçus, ce sont les entrepreneurs spécialisés dans la construction de quartiers Haute Sécurité qui se frottent les mains .

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              • #22
                la poule aux yeux d'or
                Punaise! Elle doit être jolie cette p.. de poule !

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                • #23
                  Et qui contrôle Chakib Khalil ? Celui là doit se remplir pleine les poches avec les ricains.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #24
                    bouteflika est dans le collimateur
                    ces soudaines greves me font rappeller une certaine reunion
                    chadli-mitterand du 19/11/88
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #25
                      C'est le "système" qui le contrôle, si le système ne bouffe pas dans la même table chakib sera relevé de ses fonctions et mangera ses "économies" accumulées du passé. (Mais bon elles sont tellement importantes qu'il n'y a rien à craindre).

                      Le fonctionnement est presque assimilé à un Becherel : je bouffe, tu bouffes, il bouffe, nous bouffons, vous bouffez, ils ne bouffent pas.

                      Quant à Bouteflika, c'est un diable que l'armée a fait sortir de la bouteille, ils auront du mal à le faire revenir dedans .

                      Enfin nous verrons !

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                      • #26
                        il n est pas aussi fou que ca
                        il doit penser a l avenir de said
                        qui lui au moins est un ideal troskiste
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #27
                          Il n'est pas idiot ni fou d'ailleurs loin de là certes, mais personne n'est infaillible. Entre les hyènes, les crocos, les fauves et autres rapaces, un moceau de chaire ne reste pas longtemps entre les mains d'une même espèce.

                          S'il est obligé de lâcher le morceau il le lâchera (ce n'est pas la première fois), mais soyons sûrs, la prochaine fois ses adversaires y réfléchiront deux fois avant de dépister la présence de viande fraîche.

                          Les malversations de SONATRACH (rappel BRC) n'est pas quelque chose de nouveau, ce qui est nouveau c'est l'ampleur de l'attaque et la proie en l'occurrence le PDG. La balle est passée pas loin du coeur, sentant le coup venir, en vieux renard, il s'est appliqué à balancer un discours préparatoire quelques mois auparavant pour se mettre du bon côté évitant ainsi le coups frontaux.

                          Said n'ayant pas encore trempé en public est pour le moment épargné de plus trotskiste pas the business is the business y compris si on joue aux dominos avec Kim Jung ill.

                          Toutes proportions gardées l'affaire est mineure au regard du contentieux (1600 marchés de gré à gré pour la seule sonatrach, il faut 15 siècles pour tout déblayer en supposant que la préscription vivra plus que Sidna Nouh).

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                          • #28
                            CITOYEN
                            j ai compris la nuance
                            je vois aussi un combat entre les interets des francais et des americains dans cet etalage
                            la cinquieme colonne est entrain de s enerver et veut reprendre la main
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                            • #29
                              El NiNo: Punaise! Elle doit être jolie cette p.. de poule !

                              Évidemment mon cher El NiNi, cette fameuse poule aux yeux d'or pond bien des dollars en pissant du pétrole.

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                              • #30
                                C'est évident, les intérêts des uns et des autres sont proportionnels à la pub où au silence des uns et des autres sur des sujets lancinants comme la liberté de l'expression par exemple en contre partie un bon paquet de contrats bien rémunérateurs.

                                Bouteflika a toujours joué à l'équilibriste dans ce domaine à l'intérieur comme à l'extérieur, mais là il vient de voir un troisième acteur non prévu dans la pièce : Les chinois qui réclament leur rôle.

                                Nelaab Oulla N'fessed.

                                J'ai toujours eu une curiosité pour cet acteur car il ne met aucun clan en avant et pourtant il plante ses arbres n'importe où et avec une facilité déconcertante. A moins qu'il joue sur l'adversité des 2 clans US et Français pôur se placer lorsque il y a un risque de voir du sang couler pendant les rixes. Une façon d'une part de départager momentanément les deux adversaires jusqu'au prochain combat et de garder les rideux baissés pour que nous autres nous ne voyons que du feu ou simplement de nous laisser entrevoir un épisode de Nounours "Bonne nuit les petits".

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