En te voyant tout s’arrêta, le temps, la foule, le vacarme……même mon cœur
En ce jour de fête, un deuil enveloppa mon corps frémissant malgré la chaleur
La machine du temps de mon vécu s’est mise à revenir en arrière avec lenteur
Une lenteur qui me laissa revivre chaque instant avec les détails et la même ardeur
Le jour de notre première rencontre avec toutes ses mélodies et ses douceurs
J’ai senti tout un océan dans mon cœur, ses pulsions étaient des vagues ou j’étais surfeur
J’aurais voulu m’arrêter dans ce temps, si ce n’est les regards des proches épieurs
Avec leurs airs soupçonneux, qui avaient remarqué mon bouleversement tellement crieur
Tu à baissé les yeux d’une façon, dont je peux lire ta soif, d’ailleurs comme ma soif du bonheur
Tu à soulevé une fillette , j’ai deviné que que c’était ta fille par son innocence et sa splendeur
Elle les a héritées de toi, qui malgré la modeste tenue que tu portais tu étais plus belle plus meilleure
Que la mariée avec sa robe blanche, qui me semblait comme un corbeau par sa noirceur
Tout changea en moi, la fête me sembla un deuil, les roses blanches en linceul, malheur
Malheur à ceux qui par leur faute nos vies sont devenues que calvaire et interminables douleurs
Crise de logements, chômage, dettes, pauvreté, comment vous pardonnera ce peuple râleur
Malheur à vous, je vous opposerai ici bas et demain devant dieu , vous soit disant nos décideurs.
ce texte est dédié a tous les amoureux,qui par faute de la crise multidimensionnelle que connais notre pays n'ont pus se joindre
En ce jour de fête, un deuil enveloppa mon corps frémissant malgré la chaleur
La machine du temps de mon vécu s’est mise à revenir en arrière avec lenteur
Une lenteur qui me laissa revivre chaque instant avec les détails et la même ardeur
Le jour de notre première rencontre avec toutes ses mélodies et ses douceurs
J’ai senti tout un océan dans mon cœur, ses pulsions étaient des vagues ou j’étais surfeur
J’aurais voulu m’arrêter dans ce temps, si ce n’est les regards des proches épieurs
Avec leurs airs soupçonneux, qui avaient remarqué mon bouleversement tellement crieur
Tu à baissé les yeux d’une façon, dont je peux lire ta soif, d’ailleurs comme ma soif du bonheur
Tu à soulevé une fillette , j’ai deviné que que c’était ta fille par son innocence et sa splendeur
Elle les a héritées de toi, qui malgré la modeste tenue que tu portais tu étais plus belle plus meilleure
Que la mariée avec sa robe blanche, qui me semblait comme un corbeau par sa noirceur
Tout changea en moi, la fête me sembla un deuil, les roses blanches en linceul, malheur
Malheur à ceux qui par leur faute nos vies sont devenues que calvaire et interminables douleurs
Crise de logements, chômage, dettes, pauvreté, comment vous pardonnera ce peuple râleur
Malheur à vous, je vous opposerai ici bas et demain devant dieu , vous soit disant nos décideurs.
ce texte est dédié a tous les amoureux,qui par faute de la crise multidimensionnelle que connais notre pays n'ont pus se joindre
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