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Le taux de suivi de la grève nationale lancée hier par les enseignants du supérieur a frisé les 100% dans la majorité des universités du pays, selon ses initiateurs, marquant ainsi une nouvelle étape dans le bras de fer qui oppose les syndicalistes du CNES à leur ministère de tutelle. Durant la journée d’hier, les enseignants ont adopté le principe d’une grève d’une semaine programmée du 25 février au 2 mars prochains, lors d’assemblées générales tenues au niveau de chaque université.
Selon M. Mechab, coordinateur régional ouest du CNES, le taux des voix pour la grève d’une semaine a globalement dépassé les 98% au niveau des dix universités que compte la région ouest. Au niveau de l’université Mohamed Boudiaf (ex-USTO), seuls les TD ont été assurés par des enseignants vacataires. Sinon, tous les cours ont été suspendus. Selon M. Mekaoui, coordinateur de la section CNES-USTO, le mot d’ordre de la grève a été suivi à 100%. Plus de 570 enseignants titulaires étaient concernés. S’agissant de l’assemblée générale devant se prononcer sur la tenue ou pas de la grève d’une semaine, 207 votants y ont pris part en votant par bulletins secrets, affirme M. Mekaoui. Le nombre de voix pour la tenue de la grève a atteint les 196, alors que 8 voix ont voté contre et 3 ont remis des bulletins nuls, a-t-il précisé.
A l’instar de leurs collègues de l’USTO, les enseignants de l’université de Chlef ont massivement suivi le mot d’ordre lancé par le CNES. Selon la section syndicale du CNES, le taux de suivi de la grève avait atteint les 100% à 12 heures, soit 178 grévistes sur 178 adhérents. Pour sa part, l’administration a avancé un taux de 92% pour le même horaire. Pour se prononcer sur la grève d’une semaine prévue du 25 février au 2 mars prochains, l’assemblée générale tenue par les syndicalistes a drainé quelque 137 votants. Selon la section syndicale CNES de l’université de Chlef, le taux de votants pour cette grève d’une semaine a atteint les 72%.
Fort de quelque 2.549 adhérents rien pour les universités de l’Ouest, le CNES a largement réussi son pari, a affirmé, par ailleurs, M. Mehab, coordinateur régional du CNES. Pour lui, le nombre de votants ayant participé aux assemblées générales tenues au niveau des différentes universités de l’Ouest, qui a largement dépassé le taux des 50% requis par la réglementation, est plus que significatif de l’implication des enseignants du supérieur dans les revendications exprimées par le CNES. Ceci devrait constituer à la fois un avertissement et une invitation pour les pouvoirs publics qui sont appelés à s’occuper sérieusement des revendications des enseignants.
M S Boureni.
Quotidien d'oran.
Selon M. Mechab, coordinateur régional ouest du CNES, le taux des voix pour la grève d’une semaine a globalement dépassé les 98% au niveau des dix universités que compte la région ouest. Au niveau de l’université Mohamed Boudiaf (ex-USTO), seuls les TD ont été assurés par des enseignants vacataires. Sinon, tous les cours ont été suspendus. Selon M. Mekaoui, coordinateur de la section CNES-USTO, le mot d’ordre de la grève a été suivi à 100%. Plus de 570 enseignants titulaires étaient concernés. S’agissant de l’assemblée générale devant se prononcer sur la tenue ou pas de la grève d’une semaine, 207 votants y ont pris part en votant par bulletins secrets, affirme M. Mekaoui. Le nombre de voix pour la tenue de la grève a atteint les 196, alors que 8 voix ont voté contre et 3 ont remis des bulletins nuls, a-t-il précisé.
A l’instar de leurs collègues de l’USTO, les enseignants de l’université de Chlef ont massivement suivi le mot d’ordre lancé par le CNES. Selon la section syndicale du CNES, le taux de suivi de la grève avait atteint les 100% à 12 heures, soit 178 grévistes sur 178 adhérents. Pour sa part, l’administration a avancé un taux de 92% pour le même horaire. Pour se prononcer sur la grève d’une semaine prévue du 25 février au 2 mars prochains, l’assemblée générale tenue par les syndicalistes a drainé quelque 137 votants. Selon la section syndicale CNES de l’université de Chlef, le taux de votants pour cette grève d’une semaine a atteint les 72%.
Fort de quelque 2.549 adhérents rien pour les universités de l’Ouest, le CNES a largement réussi son pari, a affirmé, par ailleurs, M. Mehab, coordinateur régional du CNES. Pour lui, le nombre de votants ayant participé aux assemblées générales tenues au niveau des différentes universités de l’Ouest, qui a largement dépassé le taux des 50% requis par la réglementation, est plus que significatif de l’implication des enseignants du supérieur dans les revendications exprimées par le CNES. Ceci devrait constituer à la fois un avertissement et une invitation pour les pouvoirs publics qui sont appelés à s’occuper sérieusement des revendications des enseignants.
M S Boureni.
Quotidien d'oran.