Une ONG dénonce "les violences policières" contre les kabyles en Algérie
Paris - L'Alliance des Sahraouis marocains en France et en Europe (ASMFE) a dénoncé "les violences policières" perpétrées contre des militants kabyles lors de manifestations pacifiques organisées mardi en Algérie.
Dans un communiqué transmis jeudi à la MAP, l'ASMFE condamne également "l'enlèvement" par les forces de sécurité algériennes de militants kabyles ayant tenté de s'interposer aux violences policières.
A l'occasion du nouvel an amazigh, qui coïncide avec le 12 janvier de chaque année, le "Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie" (MAK) a appelé à des marches populaires à Tizi Ouzou et à Béjaïa pour revendiquer l'autonomie pour la Kabylie.
Ces manifestations ont été dispersées à coup de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc par les forces de sécurité algériennes, et plusieurs personnes ont été blessées et d'autres arrêtées.
"Nous déplorons encore une fois les intimidations et les violences policières dont sont victimes nos frères en Kabylie qui revendiquent pacifiquement que leur soit appliqué un mode de gouvernance basé sur la régionalisation dans le respect de leur spécificité", lit-on dans le communiqué.
L'ASMFE se dit "étonnée" que les autorités algériennes "ne respectent pas" les droits humains et la liberté d'expression, alors qu'elles se sont fait "le porte-parole actif du polisario auprès des instances internationales".
Le Matin
Paris - L'Alliance des Sahraouis marocains en France et en Europe (ASMFE) a dénoncé "les violences policières" perpétrées contre des militants kabyles lors de manifestations pacifiques organisées mardi en Algérie.
Dans un communiqué transmis jeudi à la MAP, l'ASMFE condamne également "l'enlèvement" par les forces de sécurité algériennes de militants kabyles ayant tenté de s'interposer aux violences policières.
A l'occasion du nouvel an amazigh, qui coïncide avec le 12 janvier de chaque année, le "Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie" (MAK) a appelé à des marches populaires à Tizi Ouzou et à Béjaïa pour revendiquer l'autonomie pour la Kabylie.
Ces manifestations ont été dispersées à coup de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc par les forces de sécurité algériennes, et plusieurs personnes ont été blessées et d'autres arrêtées.
"Nous déplorons encore une fois les intimidations et les violences policières dont sont victimes nos frères en Kabylie qui revendiquent pacifiquement que leur soit appliqué un mode de gouvernance basé sur la régionalisation dans le respect de leur spécificité", lit-on dans le communiqué.
L'ASMFE se dit "étonnée" que les autorités algériennes "ne respectent pas" les droits humains et la liberté d'expression, alors qu'elles se sont fait "le porte-parole actif du polisario auprès des instances internationales".
Le Matin
Commentaire