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Coopération entre la Corée du Sud et l’Algérie dans le spatial.

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  • Coopération entre la Corée du Sud et l’Algérie dans le spatial.

    Excellente initiative issue probablement de la « nouvelle génération » de militaires du pays très « responsables » visiblement, une fois de plus. Il faut augmenter le budget incessamment encore d’avantage, et enraciner durablement cette collaboration très rapidement. Le programme spatial Coréen est naissant mais va très vite dans son développement. Et ses résultats sont particulièrement impressionnants en un si court lapse de temps. L’Algérie détient très largement tout l’argent nécessaire qui leurs pose parfois certains problèmes dans le financement de leur programme dut à certains échecs mineurs, et quand à eux ils possèdent toutes les compétences scientifiques, techniques, et technologiques.

    Visite à l’ASAL de l’Ambassadeur de Corée du Sud à Alger.
    4 janvier 2010

    Son Excellence, l’Ambassadeur de Corée du Sud à Alger, Monsieur CHOI Sung-Joo, a effectué une visite à l’Agence Spatiale Algérienne, le lundi 4 janvier 2010.

    Au cours de l’entretien, auquel ont pris part les cadres et experts de l’ASAL, les discussions ont porté sur la situation des deux pays dans le domaine spatial, et les moyens à mettre en œuvre pour impulser la coopération bilatérale.

    L’Ambassadeur a rappelé que l’année 2010 marquera pour son pays la commémoration du 20ème anniversaire de la création de l’Agence Spatiale sud coréenne (KARI – Korea Aerospace Research Institute) qui a à son actif un important programme spatial comprenant des satellites d’observation de la terre, météorologique et de télécommunications.

    Il a en outre fait part de sa disponibilité à encourager la coopération entre nos deux pays.

    A ce sujet, une plate forme préliminaire comportant 3 axes thématiques a été retenue:

    1- la formation et recherche : avec l’octroi de bourses de formation dans le domaine spatial.

    2- le montage de projets communs en matière de systèmes spatiaux d’observation de la Terre.

    3- les domaines technologiques connexes.

    Par ailleurs, il a été convenu d’inviter l’Agence Spatiale Coréenne « KARI » pour une visite à l’ASAL durant le deuxième trimestre 2010.

    Agence Spatiale Algérienne Officiel site
    Dernière modification par Adama, 18 janvier 2010, 22h45.

  • #2
    Suite 1

    Korea Space Launch Vehicle

    Le Korea Space Launch Vehicle (KSLV) est une fusée fabriquée par la Corée du Sud. Cette fusée est constituée d'un premier étage dérivé de la fusée russe Angara et d'un deuxième étage développé par la Corée du Sud. Son développement était supervisé par l'Institut coréen de recherche aérospatiale en collaboration avec des spécialistes russes.

    Caractéristiques

    Le KSLV-1, nommé aussi Naro-ho (Naro-1), est haut de 33 mètres pour un diamètre de 3 mètres et d'une masse de 140 tonnes au décollage. Il est constituée de deux étages.

    Le premier étage provient de la fusée russe Angara (collaboration faite avec les Coréens car la Russie manque d’argent pour développer son programme toute seul), en cours de développement, brûle un mélange de kérosène et d'oxygène liquide et développe une poussée de 170 tonnes. Il a été adapté avec la collaboration du Khrunichev State Research and Production Spac Center russe, suite à un contrat signé le 26 octobre 2004 fasse à l’agressivité belliciste de la Corée du Nord et ces menaces répéter, et ceci contre la désapprobation des Américains.

    Famille fusée Angara rocket models Russe







    Le deuxième étage KSR-1 comporte un propulseur à propergol solide et a été développé par la Corée du Sud.

    Seize entreprises sud-coréennes sont impliquées dans ce programme, dont Doowon Heavy Industrial CO. (Présente dans les fusèes-sondes du début du programme spacial sud-coréen en 1992) , Hankuk Fiber Co. et Hanwha(7e entreprise mondiale dans le secteur de la chimie en 2008), sans compter les sous-traitants.

    Le lanceur peut atteindre une altitude de 170 kilomètres et lancer un satellite de 100 kilogrammes sur une orbite terrestre basse elliptique avec un périgée de 300 km et une apogée de 1 500 km.

    La Russie refuse désormais tout transfert de technologies spatiales supplémentaires à la Corée du Sud prétextant le cadre du régime de contrôle de la technologie des missiles par crainte d'une utilisation militaire de ces systèmes. Mais la Corée du sud bien au contraire accélère son programme spatial même seule, malgré tout.

    KSLV-2

    Le KSLV-2 est une version du lanceur spatial entièrement basée sur des technologies coréennes que la Corée du Sud envisage de construire. Une enveloppe de 22 milliards de wons (environ 12,5 millions d'euros) doit être allouée pour le développement du nouveau système de propulsion. La construction de ce nouveau lanceur pourrait débuter en juillet ou en août 2009, avec un premier lancement à l'horizon 2017/2018.
    Dernière modification par Adama, 18 janvier 2010, 22h30.

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    • #3
      Suite 2





      Première fusée KSR








      KSLV











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      • #4
        Suite 3

















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        • #5
          Suite 4







          Lien concernant le programme Spatial Algérien dans un précédant post :
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=151281

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          • #6
            Un tel domaine technologique de pointe scientifique humain des plus élevé intégrant la quintessence de tout ce que peut créer l’esprit dans son génie, qui est celui du spatial. Amalgame bien évidemment aussi avec lui le militaire. On peut le déplorer, mais ceci est le cycle irrémédiable de la création humaine depuis ses origines. Tout dépend de l’usage que l’on compte bien en faire.
            Les programmes de la Conquête spatiale Américaine ainsi que de l’ex-URSS n’étaient en vérité que la course à la maîtrise des vecteurs multiples balistiques intercontinentaux nucléaires. Le premier satellite artificiel "Spoutnik" se baladant dans l’espace au dessus de la tête des Américains n’était qu’un message politique extrêmement claire qui était adressé à leurs oreilles pour leurs dire: « Nous avons les moyens militaires de vous atteindre même aussi loin, en quelques minutes».
            90 % de nos connaissances technologiques scientifiques actuelles ne sont que les agrégats issus de cette confrontation, retombées simplement dans le domaine civil.
            Des exemples parmi tant d’autres, tel que la première voiture électrique, qui n’est en faite que le "Rover Lunaire". Les premières piles à combustible à hydrogène sont issues également du programme spatial Apollo etc.…
            La Corée du Sud, tout autant que le Japon possède toutes deux les connaissances scientifiques leurs permettant de fabriquer l’Arme Nucléaire en moins de 3 semaines, si ceci s’avérait nécessaire, dans une situation de menace ultime pour leur propre survie. Et ceci peut s’appliquer aussi aux missiles très longues portés, aux satellites d’espionnage, avions de combat, sous-marins nucléaires lanceurs d'engins etc.…
            C’est une forme de « Soft Power » pleinement impliqué dans les affres du monde, mais jamais totalement crédule en vérité dans les faits.
            A foncer constamment sur la clôture comme un taureau fou et ne pas voir toujours plus loin que le bout de son nez. On fini toujours par ce faire extrêmement mal.
            Dernière modification par Adama, 19 janvier 2010, 02h46.

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            • #7
              toujours aussi bien documenter Adama

              j'aime bien tes sujets

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