Hier je n’ai pas dormi de la nuit ;
J’ai prêté l’oreille aux filets de voix
De la pluie qui s’écroule, le son de ses
Accords, doucement, émerveille
Une larme chaude qui coule.
L’ombre, de la chandelle, danse
Comme un spectre de mort à
Cette musique de déluge au
Grand air qui bouge.
Et le vent fait ses soupirs
A travers les serrures de
La ville qui s’endort.
Mal, il a le poète, l’amour
Il ne peut s’en passé, il sort
De sa couette et récolte quelques
Gouttes de la pluie sous sa porte.
S’imprégnant du liquide éthéré,
Il revois sa bien aimée là, lui est délivrée
Le sourire apeuré il va vers son rêve, effaré.
Chaviré, le cœur, l’illusion s’évapore.
Il revient sous la tempête qui gronde,
Au lit de ses rêves et songe, pour
Quelques secondes, aux belles étoiles
Et cette fée qui de sa mémoire, encor
Une fois, s’envole.
Et puis après plus rien, le silence…
Rien ne bouge…
J’ai prêté l’oreille aux filets de voix
De la pluie qui s’écroule, le son de ses
Accords, doucement, émerveille
Une larme chaude qui coule.
L’ombre, de la chandelle, danse
Comme un spectre de mort à
Cette musique de déluge au
Grand air qui bouge.
Et le vent fait ses soupirs
A travers les serrures de
La ville qui s’endort.
Mal, il a le poète, l’amour
Il ne peut s’en passé, il sort
De sa couette et récolte quelques
Gouttes de la pluie sous sa porte.
S’imprégnant du liquide éthéré,
Il revois sa bien aimée là, lui est délivrée
Le sourire apeuré il va vers son rêve, effaré.
Chaviré, le cœur, l’illusion s’évapore.
Il revient sous la tempête qui gronde,
Au lit de ses rêves et songe, pour
Quelques secondes, aux belles étoiles
Et cette fée qui de sa mémoire, encor
Une fois, s’envole.
Et puis après plus rien, le silence…
Rien ne bouge…
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