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La privatisation est le meilleur moyen pour la bonne gestion...Surtout avec des engagements tels que ceux faits par le nouveau propriétaire de l'hotel ( maintenir les emplois à 100% des 80 travailleurs du Grand- Hôtel, l’activité d’hôtellerie, assurer des investissements et la formation du personnel.)
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Le Grand-Hôtel d’Oran, situé à la place Maghreb en plein centre-ville, presque monument historique, est en voie d’être privatisé. Les dernières négociations sur cette opération de privatisation d’un hôtel relevant de la SGP Gestour sont actuellement achevées puisque le dossier vient d’être renvoyé au CPE pour l’accord final.
En effet, les points à trancher dans cette affaire concernent les modalités de paiement telles que proposées par l’acquéreur au SGP. Le futur repreneur, qui est un opérateur algérien originaire de Sétif, a vu sa soumission retenue. Des indiscrétions parlent d’un montant de 50 milliards de centimes proposés pour la reprise de l’hôtel qui, dans le passé, avait déjà fait l’objet d’une tentative de privatisation infructueuse. Un montant que n’a pas voulu confirmer ou infirmer le responsable de l’EGTO, qui gère les 6 hôtels de l’Ouest relevant de Gestour et donc du Grand-Hôtel.
L’acquéreur s’est engagé à maintenir les emplois à 100% des 80 travailleurs du Grand- Hôtel, l’activité d’hôtellerie, assurer des investissements et la formation du personnel.
Liberté
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Le Grand-Hôtel d’Oran, situé à la place Maghreb en plein centre-ville, presque monument historique, est en voie d’être privatisé. Les dernières négociations sur cette opération de privatisation d’un hôtel relevant de la SGP Gestour sont actuellement achevées puisque le dossier vient d’être renvoyé au CPE pour l’accord final.
En effet, les points à trancher dans cette affaire concernent les modalités de paiement telles que proposées par l’acquéreur au SGP. Le futur repreneur, qui est un opérateur algérien originaire de Sétif, a vu sa soumission retenue. Des indiscrétions parlent d’un montant de 50 milliards de centimes proposés pour la reprise de l’hôtel qui, dans le passé, avait déjà fait l’objet d’une tentative de privatisation infructueuse. Un montant que n’a pas voulu confirmer ou infirmer le responsable de l’EGTO, qui gère les 6 hôtels de l’Ouest relevant de Gestour et donc du Grand-Hôtel.
L’acquéreur s’est engagé à maintenir les emplois à 100% des 80 travailleurs du Grand- Hôtel, l’activité d’hôtellerie, assurer des investissements et la formation du personnel.
Liberté