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La capitale afghane a été réveillée par des scène de guerre lundi. Près de quatre heures durant, les talibans ont lancé une série d'attaques peu après qu'un kamikaze s'est fait exploser près du Palais présidentiel. Les insurgés ont aussi visé le ministère de la Défense, le ministère de la justice et le luxueux Serena hôtel accueille de nombreux Occidentaux.
Au moins cinq personnes, dont un enfant, un policier et un soldat, ont été tuées dans ces attaques et 71 autres blessées, dont 35 civils, selon les autorités afghanes. «La plupart des blessés sont des civils», a précisé Sayed Kabir Amiri, chef des services hospitaliers. Sept kamikazes ont également trouvé la mort, deux en actionnant leurs bombes et deux tués par les forces afghanes de sécurité, selon le ministère de l'Intérieur.
Toute la matinée, des explosions, dont deux très puissantes, et des tirs d'armes automatiques et de mitrailleuses lourdes ont retenti dans le centre de la capitale. Les habitants sont restés cloîtrés chez eux et les marchands terrés dans leurs échoppes dans ces rues qui mènent au Palais présidentiel et aux ministères, un porte-parole des talibans ayant assuré qu'ils avaient lancé vingt kamikazes à l'assaut de ces bâtiments.
Le Parisien
Au moins cinq personnes, dont un enfant, un policier et un soldat, ont été tuées dans ces attaques et 71 autres blessées, dont 35 civils, selon les autorités afghanes. «La plupart des blessés sont des civils», a précisé Sayed Kabir Amiri, chef des services hospitaliers. Sept kamikazes ont également trouvé la mort, deux en actionnant leurs bombes et deux tués par les forces afghanes de sécurité, selon le ministère de l'Intérieur.
Toute la matinée, des explosions, dont deux très puissantes, et des tirs d'armes automatiques et de mitrailleuses lourdes ont retenti dans le centre de la capitale. Les habitants sont restés cloîtrés chez eux et les marchands terrés dans leurs échoppes dans ces rues qui mènent au Palais présidentiel et aux ministères, un porte-parole des talibans ayant assuré qu'ils avaient lancé vingt kamikazes à l'assaut de ces bâtiments.
Le Parisien