Il semble qu’il est impossible pour le moment d’installer des usines de montage de véhicules, puisque ce genre d’investissement dépend de l’évolution du marché algérien, dans le futur. D’ailleurs, les points de vues des responsables algériens et les fabricants internationaux, sur la sous-traitance divergent.
Selon des sources proches du Ministère de l’industrie, le gouvernement ne sait plus comment faire face à ce dilemme.
Pendant que le gouvernement algérien considère que la création de nouvelles usines de montage de véhicules, générera la création de plusieurs PME, qui travailleront avec ces usines dans le cadre de la sous-traitance. La vision des grandes compagnies est entièrement différente de celle-ci, puisqu’elles considèrent que l’ouverture de grandes usines de montages ne sera possible que dans le cas d’existence d’un important réseau de PME spécialisées dans les différentes pièces de voitures et qui travailleront avec ces usines dans le cadre de la sous-traitance.
Pour sa part, Mohamed Baïri. Président de l'Association des concessionnaires automobiles algériens, a déjà soulevé ce problème, en indiquant que l’activité de montage de voitures, en Algérie, nécessite plus de facilités fiscales, qui permettra aux investisseurs d’éviter d’éventuelles pertes et de réaliser plus de bénéfices, par rapport à celle de l’importation.
Cependant, bien que le gouvernement ait imposé de nouveaux impôts sur l’importation de véhicules, les ventes n’ont pas été touchées, puisque elles n’nt pas été affectées.
Selon les mêmes sources, les fabricants de voitures ne sont pas réellement intéressés par l’installation d’usines de montage, en Algérie, car ils considèrent le marché algérien plus rentable, en tant qu’un espace pour écouler leurs marchandises.
el khabar
Selon des sources proches du Ministère de l’industrie, le gouvernement ne sait plus comment faire face à ce dilemme.
Pendant que le gouvernement algérien considère que la création de nouvelles usines de montage de véhicules, générera la création de plusieurs PME, qui travailleront avec ces usines dans le cadre de la sous-traitance. La vision des grandes compagnies est entièrement différente de celle-ci, puisqu’elles considèrent que l’ouverture de grandes usines de montages ne sera possible que dans le cas d’existence d’un important réseau de PME spécialisées dans les différentes pièces de voitures et qui travailleront avec ces usines dans le cadre de la sous-traitance.
Pour sa part, Mohamed Baïri. Président de l'Association des concessionnaires automobiles algériens, a déjà soulevé ce problème, en indiquant que l’activité de montage de voitures, en Algérie, nécessite plus de facilités fiscales, qui permettra aux investisseurs d’éviter d’éventuelles pertes et de réaliser plus de bénéfices, par rapport à celle de l’importation.
Cependant, bien que le gouvernement ait imposé de nouveaux impôts sur l’importation de véhicules, les ventes n’ont pas été touchées, puisque elles n’nt pas été affectées.
Selon les mêmes sources, les fabricants de voitures ne sont pas réellement intéressés par l’installation d’usines de montage, en Algérie, car ils considèrent le marché algérien plus rentable, en tant qu’un espace pour écouler leurs marchandises.
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