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Quelque 30.000 agents de l'ordre des différents corps constitués sont mobilisés par l'état angolais pour assurer la sécurité et le bon déroulement de la 27e édition de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2010 de football, a annoncé mercredi à Luanda le Comité d'organisation local (COCAN).
"Nous avons renforcé la sécurité dans les hôtels, les stades et lieu de résidences des différentes délégations officielles dans les quatre villes qui abritent le tournoi. 30.000 agents de l'ordre dont des forces spéciales sont chargés de veiller au bon déroulement de la compétition", a déclaré le directeur exécutif du COCAN-2010, M. Ruis Costa lors d'une conférence de presse au stade 11 novembre à Luanda .
Intervenant à son tour, le directeur de la sécurité et de la protection, M. Joaquim Ribero a indiqué qu'aucun incident grave ou majeur n'a été enregistré depuis le début de la CAN-2010 le 10 janvier dernier. "Nous avons arrêté six personnes pour vandalisme et une septième pour détention du cannabis. Nous avons également saisi 70 billets d'entrés de stade falsifiés. Dans l'ensemble tout se déroule le plus normalement du monde dans les quatre stades de la compétition", a-t-il affirmé.
D'autre part, la protection civile a procédé à 21 interventions dans les différents stades pour des traumatismes. Les personnes ont été évacuées vers les hôpitaux, selon le même responsable.
Le mitraillage du bus de la délégation du Togo, la veille du début de la compétition a été largement abordé par les responsables du COCAN avec la presse."Pour le directeur général du Comité d'organisation local, M. Justino Fernandes, le Togo n'a pas informé l'Angola de la venue de la sélection des"Eperviers" par voie terrestre. "Ni la CAF, ni le comité d'organisation n'a été informé par la partie togolaise du déplacement de l'équipe Togo par route. Tout le monde était surpris par leur décision. Si les responsables togolais nous avaient informés, nous aurions envoyé un avion au Congo où l'équipe togolaise se préparait", a expliqué M.Fernandes ."Les règlements de la CAF sont clairs dans ce domaine. Les pays participants à la Coupe d'Afrique des Nations devront se déplacer par avion", a-t-il ajouté.
Pour le directeur exécutif du COCAN, Rui Costa, il n'y a pas un lieu dans le monde où la sécurité est totale, il existe, dit-il, toujours des risques quand on organise de tels événements. L'attaque de la délégation du Togo s'est produite à la frontière"."Les équipes de la Côte d'Ivoire, du Ghana et du Burkina ont joué à Cabinda sans problèmes. Les trois délégations sont à l'aise, et elles n'ont à aucun moment soulevé la question de leur sécurité dans cette ville", a-t-il expliqué.
Concernant la défection du public dans les stades a l'exception des matches de l'Angola, le directeur général du COCAN a estimé que ce phénomène n'est pas propre à la CAN-2010.
"Nous avons fait un grand effort de mobilisation, et mis en place un groupe chargé d'encourager le public à se rendre aux stades. Je pense que la situation n'est pas catastrophique", a-t-il estimé. "Je suis persuadé qu'avec la qualification de l'Angola et le début des quarts de finale, les supporters viendront nombreux aux stades, d'autant plus que le prix des tickets (4 dollars) est à la portée de toutes les bourses", a t-il assuré.
Par APS
"Nous avons renforcé la sécurité dans les hôtels, les stades et lieu de résidences des différentes délégations officielles dans les quatre villes qui abritent le tournoi. 30.000 agents de l'ordre dont des forces spéciales sont chargés de veiller au bon déroulement de la compétition", a déclaré le directeur exécutif du COCAN-2010, M. Ruis Costa lors d'une conférence de presse au stade 11 novembre à Luanda .
Intervenant à son tour, le directeur de la sécurité et de la protection, M. Joaquim Ribero a indiqué qu'aucun incident grave ou majeur n'a été enregistré depuis le début de la CAN-2010 le 10 janvier dernier. "Nous avons arrêté six personnes pour vandalisme et une septième pour détention du cannabis. Nous avons également saisi 70 billets d'entrés de stade falsifiés. Dans l'ensemble tout se déroule le plus normalement du monde dans les quatre stades de la compétition", a-t-il affirmé.
D'autre part, la protection civile a procédé à 21 interventions dans les différents stades pour des traumatismes. Les personnes ont été évacuées vers les hôpitaux, selon le même responsable.
Le mitraillage du bus de la délégation du Togo, la veille du début de la compétition a été largement abordé par les responsables du COCAN avec la presse."Pour le directeur général du Comité d'organisation local, M. Justino Fernandes, le Togo n'a pas informé l'Angola de la venue de la sélection des"Eperviers" par voie terrestre. "Ni la CAF, ni le comité d'organisation n'a été informé par la partie togolaise du déplacement de l'équipe Togo par route. Tout le monde était surpris par leur décision. Si les responsables togolais nous avaient informés, nous aurions envoyé un avion au Congo où l'équipe togolaise se préparait", a expliqué M.Fernandes ."Les règlements de la CAF sont clairs dans ce domaine. Les pays participants à la Coupe d'Afrique des Nations devront se déplacer par avion", a-t-il ajouté.
Pour le directeur exécutif du COCAN, Rui Costa, il n'y a pas un lieu dans le monde où la sécurité est totale, il existe, dit-il, toujours des risques quand on organise de tels événements. L'attaque de la délégation du Togo s'est produite à la frontière"."Les équipes de la Côte d'Ivoire, du Ghana et du Burkina ont joué à Cabinda sans problèmes. Les trois délégations sont à l'aise, et elles n'ont à aucun moment soulevé la question de leur sécurité dans cette ville", a-t-il expliqué.
Concernant la défection du public dans les stades a l'exception des matches de l'Angola, le directeur général du COCAN a estimé que ce phénomène n'est pas propre à la CAN-2010.
"Nous avons fait un grand effort de mobilisation, et mis en place un groupe chargé d'encourager le public à se rendre aux stades. Je pense que la situation n'est pas catastrophique", a-t-il estimé. "Je suis persuadé qu'avec la qualification de l'Angola et le début des quarts de finale, les supporters viendront nombreux aux stades, d'autant plus que le prix des tickets (4 dollars) est à la portée de toutes les bourses", a t-il assuré.
Par APS