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Un best-seller grace à Ben Laden

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  • Un best-seller grace à Ben Laden

    Ce Ben Laden a enrichi directement ou indirectement beaucoup de monde; des petrolieres au vendeurs de jouets.
    Le dernier de ceux qui ont profité, de la marque de marketing '' Ben Laden '' est William Blum; un américain de 72 ans. Ce dernier écrit un livre contre la politique Bush, ce livre aurait pu passer inaperçu, n'eût été le coup de pouce innatendu de Ben Laden...dans son dernier message audio ( est ce lui?) Ben Laden renvoit les americains au livre '' les états voyous '' pour désavouer la politique Bush.
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    Un livre anti-Bush jusque-là inconnu est devenu un succès de librairie après avoir été mentionné par le chef d'Al-Qaïda dans son dernier message audio diffusé jeudi par la chaîne Al-Jazira. L'auteur n'est nullement révolté de ce soutien affiché.

    Un livre anti-Bush intitulé, "Etat voyou : un guide de la seule superpuissance mondiale", inconnu jusqu'alors, s'est vu propulser en haut des meilleures ventes de livres après avoir été mentionné dans le dernier message de ben Laden. Il s'agit de l'œuvre d'un obscur écrivain d'extrême gauche, William Blum.

    Dans son message, authentifié par la CIA, le chef du réseau terroriste Al-Qaïda avait déclaré que "si Bush continue avec ses mensonges et (maintient) ses oppressions, il vous serait utile de lire 'les Etats voyous'", avant d'en citer quelques passages. Depuis, le livre, qui n'apparaissait qu'en 205.000e position sur la liste des meilleures ventes du site Amazon.com, a fait un bond à la 27e place.

    "Le 11 septembre, représailles compréhensibles "

    William Blum, âgé de 72 ans, fils d'immigrants polonais, a travaillé pour le département d'Etat dans les années 60 avant que la guerre du Vietnam n'en fasse un opposant à la politique étrangère américaine et qu'il ne lance un journal underground, le "Washington Free Press". Habitant un modeste studio à Washington, il est depuis trois jours l'objet de multiples sollicitations des médias, à qui il a souligné n'avoir aucun regret de ce soutien inattendu et ne pas avoir non plus reçu de menaces depuis. "Je n'ai pas été révolté par ce soutien", a-t-il déclaré à une radio new-yorkaise. "Cela ne m'a pas rebuté et je ne vais donc pas prétendre le contraire", a ajouté William Blum.

    Dans son livre, il souligne notamment que les attaques du 11 septembre 2001 contre New York et Washington, orchestrées par Oussama ben Laden, étaient injustifiables, mais considère qu'elles constituaient néanmoins "des représailles compréhensibles à la politique étrangère américaine". Il affirme également que la guerre contre le terrorisme est vouée à l'échec.

    tf1-LCI.fr

  • #2
    Si j'étais président des USA

    « Si j'étais président, j'arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les États-Unis. Définitivement.

    D'abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d'autres victimes de l'impérialisme américain.

    Ensuite, j'annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j'informerais Israël qu'il n'est plus le 51e État des États-Unis mais dorénavant - chose curieuse à dire - un pays étranger.
    Et puis, je réduirais le budget militaire d'au moins 90 %, utilisant le surplus à payer des réparations aux victimes. Ce serait plus que suffisant. Le budget militaire d'une année, soit 330 milliards de dollars, équivaut à plus de 18 000 dollars de l'heure depuis la naissance de Jésus-Christ.

    Voilà ce que je ferais les trois premiers jours.

    Le quatrième jour, je serais assassiné. »

    William Blum

    Commentaire


    • #3
      ainsi vont les choses !

      Au moins, nous pouvons tirer une conclusion, ce sont les forts qui font l'histoire, et les americains n'obeissent qu'à la logique des plus forts.

      Ben laden a au moins vecu pour quelque chose et a defendu ses croyances, plus de 99 pour cent des arabes, n'ont ni croyances, ni foi, ni même le courage de leur pensée.

      Un,e blague pour changer .

      Une femme arrive Ay Hammam ( bain mort), et le monsieur devant la porte lui dit que c'est l'heure des hommes. elle demande : " Ben laden est là?", l'homme surpris lui répond:" bein! non!" la femme alors en entrant déjà :" donc il n y a pas d'hommes ici"

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