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Les femmes mettent le feu, les hommes violent

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  • Les femmes mettent le feu, les hommes violent

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    Selon une étude zurichoise(Suisse), les délits commis par les femmes se distinguent beaucoup de ceux commis par les hommes. Ils sont notamment moins variés que ceux du sexe masculin: les femmes sont surtout spécialisées dans les assassinats et les incendies.

    C'est ce que montre l'étude du service cantonal zurichois de psychiatrie-psychologie dont s'est fait l'écho la «NZZ» vendredi. Les criminologues se sont penchés sur le cas de 203 femmes et hommes condamnés dans le canton de Zurich(Suisse) entre 2000 et 2002. Ils ont écopé d'au moins dix mois de prison ou d'une mesure de réinsertion.

    Parmi les criminels passés à la loupe, 16 étaient des femmes. Celles-ci sont en effet beaucoup moins souvent condamnées que les hommes. Six d'entre elles, soit 37,5%, ont commis un meurtre, cinq (31,3%) ont provoqué un incendie.

    Hommes: délits sexuels

    Deux ont volé et deux ont commis des braquages. Enfin, l'une s'est rendue coupable d'une agression sexuelle.

    Chez les hommes, la répartition des délits est très différente. 55% des criminels considérés par l'étude ont commis des délits sexuels, 10% ont tué et 8% ont mis le feu.

    Les chercheurs ont également trouvé des différences en ce qui concerne les victimes. Les femmes ont surtout tué des personnes proches et rarement des inconnus, la plupart du temps suite à un conflit personnel et dans leurs quatre murs.

    Recherche divisée

    La biographie des criminelles se distingue aussi de celle de leurs homologues masculins: elles souffrent beaucoup plus souvent de troubles psychiques que ces derniers. Et seule une femme sur trois a fait au moins neuf ans d'école, contre 72% des criminels.

    Un peu moins d'un tiers des criminelles ont subi des sévices sexuels dans leur enfance contre 4% des hommes condamnés. Le pourcentage des délinquantes ayant grandi dans une famille marquée par la violence et l'alcool est deux fois plus élevé que chez les hommes.

    La recherche est divisée sur la question de savoir si la criminalité féminine se distingue ou non de celle des hommes. Certains affirment que oui, d'autres que non. Les chercheurs zurichois tiennent à apporter une contribution à ce débat.

    20 minutes Ch

  • #2
    Ah ces suissesses , elles ne sont pas aussi pacifistes que leur pays , c'est peut être pour ça qu'Hannibal Khaddafi , a voulu prouver sa suprématie

    Commentaire

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