Aourid, un berbère historiographe du royaume
13 novembre 2008, Abdelouahab Benmansour, l’homme qui avait été l’inamovible historiographe du royaume depuis 1961, quittait ce monde.
13 novembre 2009 –après exactement une année où le poste est resté vacant- il est remplacé par Hassan Aourid, ex-porte parole du palais royal, ex-wali de la région de Meknès.
Le nouvel historiographe du royaume a été nommé par le Roi Mohammed VI (dont il a été le compagnon d’études) au Palais royal d’Erfoud, où le Souverain l’a reçu. Tout un symbole !
La nomination de Hassan Aourid, berbère, proche de ces contrées du Sud marocain, est un clin d’œil royal non dénué de signification.
Nombreux en effet sont ceux qui reprochaient à Abdelouahab Benmansour d’avoir trop souvent minimisé la place des berbères dans l’Histoire du Maroc.
Grand défi donc, pour Hassan Aourid qui doit, entre autres, trouver les équilibres qu’il faut sur cette question sensible...
le reporter
13 novembre 2008, Abdelouahab Benmansour, l’homme qui avait été l’inamovible historiographe du royaume depuis 1961, quittait ce monde.
13 novembre 2009 –après exactement une année où le poste est resté vacant- il est remplacé par Hassan Aourid, ex-porte parole du palais royal, ex-wali de la région de Meknès.
Le nouvel historiographe du royaume a été nommé par le Roi Mohammed VI (dont il a été le compagnon d’études) au Palais royal d’Erfoud, où le Souverain l’a reçu. Tout un symbole !
La nomination de Hassan Aourid, berbère, proche de ces contrées du Sud marocain, est un clin d’œil royal non dénué de signification.
Nombreux en effet sont ceux qui reprochaient à Abdelouahab Benmansour d’avoir trop souvent minimisé la place des berbères dans l’Histoire du Maroc.
Grand défi donc, pour Hassan Aourid qui doit, entre autres, trouver les équilibres qu’il faut sur cette question sensible...
le reporter
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