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Le gouvernement allemand n’entend pas investir dans le projet Desertec

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    ALGERIE. Qui veut du projet photovolotaïque Desertec, mis à part ses promoteurs ? Un éclairage a pu être donné à l’occasion d’une conférence de presse tenue à Alger le 25 janvier 2010.

    A l’issue d’un séminaire organisé par la Chambre algéro-allemande du commerce et de l’industrie sur le partenariat entre les deux pays dans le domaine des énergies renouvelables, Christina Wittek, directrice du département des énergies renouvelables au ministère fédéral de l’Economie et des Technologies, a alors affirmé, à propos du projet Desertec : « Il s’agit d’une initiative privée qui sera financée par les fonds privés et il n’est pas question que le gouvernement allemand la finance. »

    Le projet Desertec, que certains considèrent comme démesuré, a été lancé par des industriels allemands qui prévoient l’installation, au Maghreb et au Proche-Orient, ainsi qu’au Sud de l’Europe (Espagne, Sicile et Grèce) d’une trentaine de centrales solaires afin d’approvisionner le Vieux continent en énergie renouvelable.

    Le projet réunit de grosses pointures de l’industrie et de la finance allemande, à l’instar de Siemens et de la Deutsche Bank ainsi que d’autres groupes européens, comme l’espagnol Abengoa Solar, ou des entreprises algériennes comme Cevital

    D’un coût global dépassant les 400 milliards d’euros, sa réalisation devrait s’étaler sur 40 ans et permettrait de fournir 15% de l’énergie consommée en Europe à l’horizon 2025.

    Le réseau émaillerait tous les pays d’Europe et du bassin méditerranéen.

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