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Entre parc éolien et village photovoltaïque, un coup de starter vient d’être donné dans le secteur de l’énergie -pour accélérer- la mise en place d’une dynamique fiable de l’énergie renouvelable en Algérie. Une mise en place que les Algériens attendent depuis 30 ans, et qui devrait aboutir à 7% d’énergie renouvelable en 2010, selon certains responsables.
Utopique diront certains. Surtout que les chiffres démontrent que même des pays engagés depuis des lustres sur ce créneau arrivent aujourd’hui à peine à atteindre les 10% d’énergies renouvelables. Des résultats que ces pays, pour la plupart nordiques, mettent sur le compte du climat et de la situation géographique. Par ailleurs, il serait faux de croire que ces pays comptent pour autant en rester là. La solution, ils clament haut et fort l’avoir trouvée en exploitant ces énergies propres, là ou elles se trouvent. «Exploiter le soleil du désert du Sahara pour alimenter les centrales électriques spécialisées en thermo-solaires». Tel est le maître mot du projet Desertech, qu’Allemands, Suisses et Français tentent de mettre en place pour compenser leurs lacunes énergétiques. Un projet fondateur en la matière et un contrat gagnant-gagnant. D’un côté, pour les pays qui détiennent les potentialités recherchées (ensoleillement) et d’un autre, les pays du Nord qui achèteront cette énergie dont ils ont tant besoin.
Des rencontres en attendant du concret
Dans cette optique de promotion des énergies renouvelables, une conférence sur le partenariat algéro-allemand dans le domaine des énergies renouvelables, l’énergie solaire en particulier, s’est tenue hier à l’hôtel El Djazair d’Alger. Une série d’hommes d’affaires allemands a défilé à la tribune pour présenter leur expérience dans le domaine, surtout les potentialités des partenariats avec les entreprises locales. Un secteur encore marginal dans notre pays, mais dont les entreprises allemandes veulent faire leur spécialité. Côté algérien, les responsables se disent favorables. D’ailleurs, en ce moment, ils ne cessent de donner des signaux positifs dans ce sens. En effet, cette semaine, la construction de la première ferme éolienne en Algérie vient d’être confiée au français Vergnier. Un dispositif que la wilaya d’Adrar aura la chance d’abriter. Et M.
Hamouda, représentant du ministère de l’Energie et des Mines, n’en reste pas là. Il parle également de 16 villages fonctionnant grâce à l’énergie photovoltaïque ainsi qu’une station hybride au niveau de Hassi Rmel, édifiés suivant le programme 2006-2009. D’ici 2017, l’Algérie devra arriver à 7% d’énergies renouvelables. Donc, le meilleur reste à venir.
R.H
Utopique diront certains. Surtout que les chiffres démontrent que même des pays engagés depuis des lustres sur ce créneau arrivent aujourd’hui à peine à atteindre les 10% d’énergies renouvelables. Des résultats que ces pays, pour la plupart nordiques, mettent sur le compte du climat et de la situation géographique. Par ailleurs, il serait faux de croire que ces pays comptent pour autant en rester là. La solution, ils clament haut et fort l’avoir trouvée en exploitant ces énergies propres, là ou elles se trouvent. «Exploiter le soleil du désert du Sahara pour alimenter les centrales électriques spécialisées en thermo-solaires». Tel est le maître mot du projet Desertech, qu’Allemands, Suisses et Français tentent de mettre en place pour compenser leurs lacunes énergétiques. Un projet fondateur en la matière et un contrat gagnant-gagnant. D’un côté, pour les pays qui détiennent les potentialités recherchées (ensoleillement) et d’un autre, les pays du Nord qui achèteront cette énergie dont ils ont tant besoin.
Des rencontres en attendant du concret
Dans cette optique de promotion des énergies renouvelables, une conférence sur le partenariat algéro-allemand dans le domaine des énergies renouvelables, l’énergie solaire en particulier, s’est tenue hier à l’hôtel El Djazair d’Alger. Une série d’hommes d’affaires allemands a défilé à la tribune pour présenter leur expérience dans le domaine, surtout les potentialités des partenariats avec les entreprises locales. Un secteur encore marginal dans notre pays, mais dont les entreprises allemandes veulent faire leur spécialité. Côté algérien, les responsables se disent favorables. D’ailleurs, en ce moment, ils ne cessent de donner des signaux positifs dans ce sens. En effet, cette semaine, la construction de la première ferme éolienne en Algérie vient d’être confiée au français Vergnier. Un dispositif que la wilaya d’Adrar aura la chance d’abriter. Et M.
Hamouda, représentant du ministère de l’Energie et des Mines, n’en reste pas là. Il parle également de 16 villages fonctionnant grâce à l’énergie photovoltaïque ainsi qu’une station hybride au niveau de Hassi Rmel, édifiés suivant le programme 2006-2009. D’ici 2017, l’Algérie devra arriver à 7% d’énergies renouvelables. Donc, le meilleur reste à venir.
R.H