Publié le Mercredi 27 Janvier 2010 à 22:38
Le joueur symbole de l’équipe nationale d’Egypte, qui n’a pas participé à la CAN 2010 pour cause de blessure, ne porte aucune haine envers les adversaires de son pays, qui s’affronteront demain en Angola. Lors d'un court entretien téléphonique, il nous a confié qu'il s'agit d'un match de football comme tous les autres : « Il faut jouer pour gagner et surtout féliciter le vainqueur ».
LA BLESSURE- Peu de temps avec la CAN, le métronome de l’Egypte a contracté une blessure qui l’a contraint au forfait : « Je n’ai pas de regrets. Le destin a voulu que je ne participe pas à cette compétition. Je suis heureux de pouvoir vanter deux titres de champions d’Afrique avec mon pays. J’aurais bien aimé y être cette fois aussi, mais je suis heureux pour mes coéquipiers et pour ce qu’ils réalisent."
SHEHATA LE PATRON- L’Egypte s’en sort bien malgré toutes les absences de dernière minute. Abu Treka explique : « Le coach Shehata est doté d’un caractère unique. Il a cette faculté de toujours parvenir à tirer le maximum du potentiel existant. Ce qu’il réalise sans trois ou quatre piliers de l’équipe championne en 2008 force le respect. Je dis bravo aux instances du football de l’avoir reconduit après l’échec de la qualification en coupe du Monde ».
LE MATCH FACE A L’ALGERIE- Mohamed était le seul à avoir salué les joueurs algériens après la défaite d’Om Durman : « Le football n’est pas une guerre. Il faut bien que quelqu’un se qualifie et que l’autre reste chez lui. C’est dommage que ça tombe toujours sur l’Egypte mais il ne faut pas dramatiser. Je ne voudrais pas commenter les incidents d’avant et après match pour éviter de remuer le couteau dans la plaie. Ce qui est certain, c’est qu’un match de football ne divisera pas deux nations. Je crois que l’incident est clos entre les deux partis et qu’on sera seulement les adversaires d’un jour. Quelque soit le nom du vainqueur, il faudra le féliciter et lui souhaiter d’aller jusqu’au bout ».
Le joueur symbole de l’équipe nationale d’Egypte, qui n’a pas participé à la CAN 2010 pour cause de blessure, ne porte aucune haine envers les adversaires de son pays, qui s’affronteront demain en Angola. Lors d'un court entretien téléphonique, il nous a confié qu'il s'agit d'un match de football comme tous les autres : « Il faut jouer pour gagner et surtout féliciter le vainqueur ».
LA BLESSURE- Peu de temps avec la CAN, le métronome de l’Egypte a contracté une blessure qui l’a contraint au forfait : « Je n’ai pas de regrets. Le destin a voulu que je ne participe pas à cette compétition. Je suis heureux de pouvoir vanter deux titres de champions d’Afrique avec mon pays. J’aurais bien aimé y être cette fois aussi, mais je suis heureux pour mes coéquipiers et pour ce qu’ils réalisent."
SHEHATA LE PATRON- L’Egypte s’en sort bien malgré toutes les absences de dernière minute. Abu Treka explique : « Le coach Shehata est doté d’un caractère unique. Il a cette faculté de toujours parvenir à tirer le maximum du potentiel existant. Ce qu’il réalise sans trois ou quatre piliers de l’équipe championne en 2008 force le respect. Je dis bravo aux instances du football de l’avoir reconduit après l’échec de la qualification en coupe du Monde ».
LE MATCH FACE A L’ALGERIE- Mohamed était le seul à avoir salué les joueurs algériens après la défaite d’Om Durman : « Le football n’est pas une guerre. Il faut bien que quelqu’un se qualifie et que l’autre reste chez lui. C’est dommage que ça tombe toujours sur l’Egypte mais il ne faut pas dramatiser. Je ne voudrais pas commenter les incidents d’avant et après match pour éviter de remuer le couteau dans la plaie. Ce qui est certain, c’est qu’un match de football ne divisera pas deux nations. Je crois que l’incident est clos entre les deux partis et qu’on sera seulement les adversaires d’un jour. Quelque soit le nom du vainqueur, il faudra le féliciter et lui souhaiter d’aller jusqu’au bout ».
Propos recueillis par Selim Slimi
GlobalNet
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