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La City s’intéresse aux réserves de changes algériennes

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  • La City s’intéresse aux réserves de changes algériennes

    Alderman David Brewer, le lord-maire de la City de Londres en visite à Alger a exprimé le désir de voir l’Algérie augmenter les placements de ses réserves de changes sur le marché financier britannique.

    ===

    La City de Londres, 2e place financière au monde après Wall Street, voudrait que l’Algérie augmente les placements de ses réserves de changes sur le marché financier britannique. C’est la proposition défendue par Alderman David Brewer, le lord-maire de la City de Londres, en visite à Alger à la tête d’une délégation de financiers du Royaume-Uni, jeudi, en marge du séminaire algéro-britannique sur les banques et assurances.

    Une partie des 56 milliards de dollars de réserves de changes détenues par l’Algérie est actuellement placée, selon le lord-maire de la City de Londres, au niveau de la place financière britannique. «Nous voudrions que cela se fasse de plus en plus et que l’Algérie développe ce domaine», a précisé Alderman David Brewer, le lord-maire de la City de Londres, au cours d’une conférence presse. Les responsables de la City proposent d’apporter aux autorités algériennes leur aide et leur expérience pour la gestion des réserves sous formes de placements via la place londonienne. Ils avancent comme exemple les investissements réalisés, à la City, par le Koweït et le Brunei. En Algérie, les réserves de changes sont gérées par la Banque d’Algérie. Comme ailleurs dans le monde, cette gestion répond à trois impératifs: ceux de la stabilité, de la liquidité et de la sécurité, de manière à ce qu’elles soient à l’abri des fluctuations et des spéculations des marchés financiers. D’où l’intérêt des banques centrales pour les obligations souveraines ou les bons du Trésor des pays du G7. Si ce type de placement garantit le capital, avec pour principe le risque zéro, le rendement en est plus faible que sur le marché financier. Il reste à connaître la réponse des autorités algériennes sur cette question. La seule certitude étant que l’Algérie diversifie ses placements. Les observateurs estiment que cette politique n’est pas de nature à connaître des changements importants.

    Outre cette proposition, les représentants de la place financière britannique ont exprimé leur volonté d’être présents sur le marché algérien. D’autant que cette visite a été initiée à la demande des Britanniques. Il s’agissait pour eux d’évaluer le marché algérien, le processus de réforme bancaire et financière, ainsi que la performance de l’économie algérienne. Et il revenait à Karim Djoudi, le ministre délégué chargé de la Réforme financière, de faire connaître l’état du secteur des finances et les contours de la réforme. «Cette réforme est une politique générale qui vise à accroître l’efficacité, la sécurité et la qualité des services financiers au profit de la sphère réelle en intégrant les contraintes vécues et les attentes des différents acteurs», a expliqué le ministre, en développant sur les trois champs d’application de la réforme, les secteurs bancaire, financier et assurances.

    Si cette visite s’inscrit dans le cadre de la promotion des relations bilatérales entre Alger et Londres, le pragmatisme très «british» ne laisse pas de doute quant à l’intérêt des Britanniques. «L’Algérie est un marché important pour le Royaume-Uni. Votre pays est riche en ressources naturelles. Le Royaume-Uni voudrait augmenter ses relations d’affaires avec vous». Même si rien n’a été concrètement formalisé, il existe, pour le représentant de la place financière londonienne, de grandes possibilités de coopération entre les institutions financières britanniques et algériennes. Notamment dans le secteur des assurances. «Contrairement aux assurances, le secteur des banques peut se développer avec un peu plus de lenteur. Nous ne nous inquiétons pas pour cela parce que quand il y a un processus de libéralisation, il est important d’initier les changements nécessaires et ne pas se précipiter», a expliqué le lord-maire. Et s’il ne peut y avoir, pour le lord-maire, de commerce sans un système bancaire et financier efficient, les changements en cours et la réforme menée par le secteur de Karim Djoudi sont un «signal» pour toute l’économie algérienne, ainsi qu’aux investisseurs étrangers. Aux responsables britanniques de transformer, donc, «l’enthousiasme» affiché, en réels projets d’investissements.

    Par Le Quotidien d'Oran

  • #2
    >>>Les responsables de la City proposent d’apporter aux autorités algériennes leur aide et leur expérience pour la gestion des réserves sous formes de placements via la place londonienne.

    Les cadres de la banque centrale auraient probablement préféré être formés sur les techniques de gestion des placements. La place londonienne n'est qu'une place parmi d'autres, j'aurai souhaité qu'il soit un peu plus enthousiaste concernant la réforme bancaire (elle est vraiment urgente):
    >>>Nous ne nous inquiétons pas pour cela parce que quand il y a un processus de libéralisation, il est important d’initier les changements nécessaires et ne pas se précipiter», a expliqué le lord-maire.

    Mais comme le dis le journaliste il faut connaître le pragmatisme "So british" pour déceler les intentions....

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    • #3
      Salam

      Les responsables de la City proposent d’apporter aux autorités algériennes leur aide et leur expérience pour la gestion des réserves sous formes de placements via la place londonienne.
      Les Algériens pourrait placer leur réserves de change sur le marché boursier de Casablanca sous forme d'actions, de FCP (Fond commun de placement), d'OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières), ou de contrat à terme...

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      • #4
        lol Menara ! Tu crois qu'on se fait assez confiance pour se donner autant d'argent

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        • #5
          >>>Les Algériens pourrait placer leur réserves de change sur le marché boursier de Casablanca sous forme d'actions, de FCP (Fond commun de placement), d'OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières), ou de contrat à terme...

          Elles sont de quelle couleur les sacs du marché de CASA ? combien de billets pourrait-on entasser ?

          Le marché de casa n'accpete pas la conversion des DA en Dirham et faudra peut être commencer par çà.

          Commentaire


          • #6
            Salam GAbdelkader

            lol Menara ! Tu crois qu'on se fait assez confiance pour se donner autant d'argent
            Tu sais les milliards sont du côté algérien, donc la balle est dans le camp de l'Algérie .

            Mais t'inquiéte pas et rassure toi les banques marocaine t'accueilleront les bras ouverts comme un "Frére !!!!" dollard oblige.
            Dernière modification par menara, 31 janvier 2006, 17h29.

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            • #7
              Salam citoyen

              Elles sont de quelle couleur les sacs du marché de CASA ? combien de billets pourrait-on entasser ?
              Un bon banquier marocain te repondre Khouya autant de dinar que tu en as sur ton compte bancaire ou dans tes sacs!!!!!

              Le marché de casa n'accpete pas la conversion des DA en Dirham et faudra peut être commencer par çà.
              Pour la convertibilité DA et Dirham rassure toi vue la quantité des sommes dont il est question la convertibilité DA et DH se fera sur le champ (Tu connais la vélocité des Maghrébins quand il s'agit d'argent frais).

              Sinon le DA et tout à fait convertible dans les banques d'Oujda il n'aura qu'a planter une nouvelle nourse là-bas en plus elle serait pas trop de l'Algérie.

              Mais j'ypense les reserves de changes algériennes sont libéllé en dollard donc pas de probléme lol
              Dernière modification par menara, 31 janvier 2006, 17h29.

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              • #8
                Tiens la City s'interesse a l'epargne algerienne !

                Bonsoir, c'est dur ces temps ci, avec la concurence des nouveaux centres financiers de Shanghai et de Dubai bientot en fonctionnement, faut aller chercher les clients, decidement la City est aux aboies.
                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                • #9
                  Salam Zek

                  decidement la City est aux aboies.
                  Bien vue Zek justement beaucoup de capitaux arabe se sont retirés de la City et comme tu dis avec la concurrence des place financiére de Shangai et de Dubai les temps sont dures pour la City.

                  Ps : Trés intérrésant ton site : http://www.putfile.com/zek

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                  • #10
                    Des investisseurs arabes achètent massivement des titres

                    Les Algériens pourrait placer leur réserves de change sur le marché boursier de Casablanca sous forme d'actions, de FCP (Fond commun de placement), d'OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières), ou de contrat à terme...

                    on ne va pas cracher sur des capitaux de quelque origine qu'ils soient,mais je pense que le problème de la bourse de casa ce ne sont pas les capitaux,mais les titres,il faut beaucoup plus de titres,cette année on prévoit la RAM,RISMA,YNNAALTADIS,mais cela reste insuffisant.

                    De plus la flux massif de capitaux conduira a une surévaluation malsaine de la bourse et a un désavantage pour les petits porteurs lors des premières introductions vu le mécanisme d'attribution.

                    Comme quoi l'argent ne fait pas toujours le bonheur..

                    http://www.leconomiste.com/
                    ------------------------------


                    Après avoir marqué une rentrée timide au dernier trimestre de 2005, les investisseurs arabes accélèrent leurs interventions en Bourse. L’envolée continue, avec un Masi affichant plus de 15,93% de gains depuis le début d’année.

                    Quelques sociétés d’intermédiation boursière ne vous le diront pas, mais elles croulent sous les ordres d’achat de brokers anglais, qui interviennent pour le compte de Koweïtiens, d’Emiratis ou encore de Saoudiens.

                    Ces investisseurs estiment que le marché casablancais a encore du potentiel par rapport aux autres bourses arabes qu’ils ont inondées en 2005. Les marchés de Dubaï, d’Egypte, de Libye, d’Arabie saoudite, de Jordanie, du Koweït, du Bahreïn, d’Abu Dhabi et du Qatar ont clôturé l’année avec des envolées de 47 à 135%! Ils affichent actuellement des PER (price earning ratio) atteignant entre 19 et 34,4. La sphère boursière casablancaise, elle, affiche un PER 2005 de 17,1 et un rendement de dividendes estimé à 3,7%.
                    L’explication de cette ruée des investisseurs arabes sur les Bourses est l’abondance de liquidités générées par la flambée du prix du pétrole que leurs économies ne peuvent absorber. Depuis 2003, le prix de l’or noir a été multiplié par trois.

                    Avec la floraison des lois antiterroristes et de lutte contre l’argent sale dans les pays occidentaux, les investisseurs arabes chercheraient à fuir ces économies.

                    Avec de tels investissements, le marché de Casablanca devrait prendre au minimum 100% cette année, si l’on en croit des traders de la place.
                    La cote doublerait ainsi sa valeur, mais il y aura des titres qui vont quadrupler, voire quintupler leurs cours.
                    La disposition introduite par la loi de Finances 2006, concernant la taxation des plus-values sur cessions des valeurs mobilières détenues par des étrangers en dehors de la Bourse encouragerait le placement dans des entreprises cotées.

                    Il n’y a pas que les étrangers qui investissent massivement en Bourse. Les nationaux y sont présents en attendant de saisir les opportunités qui s’ouvrent cette année avec les projets publics et les accords de libre-échange avec les Etats-Unis, la Jordanie, l’Egypte, la Turquie ou encore la confirmation du statut avancé du Maroc par les instances européennes.
                    Vraisemblablement, beaucoup y resteront vu les rendements alléchants (+22,5% en 2005).

                    Imaginez le gain pour un boursicoteur qui a misé plus de 160 millions de DH en valeurs mobilières en 2005! ,Le hic est que la Bourse manque de papier frais. D’où le risque de voir une bulle se former avec des nivaux des valeurs surévaluées, comme c’est le cas actuellement en Egypte.

                    «Ça serait dangereux pour un marché comme le nôtre», fait remarquer un trader. Ce qui est sûr c’est que les titres cotés ne peuvent absorber toute la manne d’argent proposé par les investisseurs arabes.

                    A vous donc entreprises à la recherche de capitaux «bon marché» de franchir le pas en Bourse! L’année promet.

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                    • #11
                      Il y a un truc que j'ai jamais compris et surtout apres un debat mene justement ici pour comprendre la vision de l'economie selon les principes de l'Islam.

                      Alors ce que je ne comprends pas: c'est qu'il y est des etats qui adoptent comme religion d'etat l'Islam et qui sont allergiques au mot laicite et separation des pouvoirs allant jusqu'a defformer le concept de laicite avec celui d'atheisme; Et bien on retrouve ces etats en premiers lieu dans des places de speculation monetaire!

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                      • #12
                        Salam Gabdelkader à propos des Banques Islamiques et de la spéculation

                        Alors ce que je ne comprends pas: c'est qu'il y est des etats qui adoptent comme religion d'etat l'Islam et qui sont allergiques au mot laicite et separation des pouvoirs allant jusqu'a defformer le concept de laicite avec celui d'atheisme; Et bien on retrouve ces etats en premiers lieu dans des places de speculation monetaire!
                        A ma connaissance au niveau economique l'islam interdit seulement le prêts par intérets. Certe de nombreux pays qui se disent islamique pratique ce genre de prêts exemple le Maroc.

                        Pour répondre à ce probléme il y-a les banques islamiques.

                        Déjà il faut savoir comment fonctionne un prêts ou plutôt comment il est facturé.

                        Qaund on va chez une banque pour empreinter 20 000 dinars, celle-ci nous donne son TEG (Taux d'emprunt général) qui est un pourcentage sur un an en France ce taux varie d'environ 4 à 16 % en fonction de l'établissement et du type de crédit (les taux de 8 à 16% sont des taux pour le crédit révolving).

                        Donc la banque peut me proposer plusieur formule exemple :

                        Un emprunt de 20 000 dinars avec un taux de 4,75% rembourssable sur un an.

                        Un emprunt de 20 000 dinars avec un taux de 5,75% rembourssable sur deux an.

                        Un emprunt de 20 000 dinars avec un taux de 6,75% rembourssable sur deux an avec une période de grâce de 6 mois (c'est-à dire que je commence à rembourser mon crédit dans 6 mois et non tout de suite, c'est à dire un mois aprés la signature de mon accord de crédit.)

                        A cela il faut ajouter des frais de dossiers c'est à dire chez certaines banques des frais fixes environ 100 dinars ou un poucentage de l'emprunt exemple 0.08% de la somme empruntée.

                        Et en plus de cela l'emprunteur doit obligatoirement contracter une assurance pour le non remboursement dû à une perte d'emploi, accident ou maladie grave etc... La somme de cette assurance et un porcentage de de la somme totale empruntée environ 0.4%.

                        Pour les banques islamique elles vous prêtes de l'argent mais sans compter les intérets. On vous facture les frais de dossiers (paperasse, autorisation , traitement de données, facturation, courrier et correspondance, bref tous les services qui se ratache à ce crédit, l'assurance qui est obligatoire en cas de non capacité de paiement suite à un accident de la vie etc... Allah Ya3lam...)

                        Mais elle ne vous facture pas le taux d'interets, les banques islamiques factures seulement le services (bien sûr la banque prend aussi une marge sur ce service elle ne fait pas cela gratuitement cette marge qu'elle prend peut être vue comme une marge que la banque facture sur n'importe quels autres services comme l'émission d'une carte bancaire, le virement de compte à compte, ou les frais de garde pour des valeurs mobiliéres etc....).

                        Donc les banques islamique ne facture pas le loyé de l'argent.


                        Pour ce qui est de la spéculation celle-ci n'arien de Haram puisque la spéculation se n'est que du commerce on achete des pommes, des tomates, ou du blé en gros et on le revend quand les cours sont à la hausse.

                        Pour la spéculations monétaire (achat et vente de devises) ou la spéculation mobiliére achat et vente de valeurs mobiliéres (action, option, sicav, opcvm) elles n'ont rein de Haram, c'est simplement du commerce.

                        Il faut juste ne pas oublier de payer la Zakat à la fin de l'année.

                        Il faut aussi bien sûr evité d'acheter des actions d'entreprises dont les produits et l'éthique est anti islamique. Entreprise ayant des activités Haram, ou vendant des produits Haram.

                        Par contre pour les produit financier tel que les Swaps ou les Warrants c'est dernier peuvent avoir des caractéres Haram.

                        Et les obligations elle sont totalement Haram aussi bien à la vente qu'à l'achat.

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                        • #13
                          Gestion des fons en Algerie

                          J'ai deja entendu dire que 100% des reserves Algeriennes sont detenues sous formes d'obligations et bons de tresor. Il est varai que le capital investit dans ces vehicules de placement sont garantis. Par contre c'est justement la seul garantie que presentent ces memes vehicules avec un rendement de l'ordre de 1.5% par annee!!!. Quand on sait que l'inflation est de l'ordre de 3% par annee, alors je vous laisse le soin de faire le calcule sur l'errosion occasinnee a nos fonds.
                          Il est vrai qu'il n'est pas donne a n'importe qui de pouvoir aller sur les places boursieres et y transiger. Par contre, il existe plusieurs algeriens qui evoluent chez des courtiers renomes qui peuvent etre consultes. On peut aussi appliquer pour la politique de concurence vis a vis des courtiers. C'est la politique qui est souvent employee par les grands gestionnaires de fonds d'investissement.
                          Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

                          Commentaire


                          • #14
                            Salam

                            J'ai deja entendu dire que 100% des reserves Algeriennes sont detenues sous formes d'obligations et bons de tresor.
                            Non je pense qu'il est absurde croire que 100% de la reserve de change algérienne est placé sous forme d'action ou de bon du trésor.

                            Mettre tous ses oeufs dans le même panier n'a rien de stratégique, bien au contraire.

                            Commentaire


                            • #15
                              A menara

                              C'est la raison pour laquelle j'ai dis: " J'ai entendu dire que 100%..."
                              C'est effectivement absurde de placer l'ensembles de ses fonds dans des obligations et bons. Malheureusement, nous n'avons pas les competences souhaitees au sein de la Banque d'Algerie. Je parle evidement des competences ayant une experience reconnue et longue dans les transactions boursieres. Il ne peut en etre autrement car nous n'avons pas de bourse chez nous. J'imagine qu'il y a beaucoup de gens a la BA qui ont les bagages ou les connaissance avancees mais uniquement sur le plan theorique. Et crois moi que la difference entre la theorie et la pratique dans le domaine des finances est enorme.
                              Par ailleurs, je me pose une question a laquelle tu as peut-etre une reponse.
                              Qu'en est-il sur le plan legal?
                              Y a t-il une loi qui definit les limites dans la gestion des fonds de reserve en Algerie?
                              Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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