Dans ce monde de grande turbulence ou tout le monde tente d'avoir raison, trouvons-nous encore une légitimité pour parler du dialogue ? Une question qui peut paraitre très anodine si nous faisons abstraction de la façon avec laquelle les décisions sont prises de nos jours qu’elles soient dans les pays développés ou dans ceux en voie de développement, au niveau d'un couple, une maison, une ville, un groupe d'amis...etc.
Souvent les intérêts d’une certaine minorité sont les seuls déterminants de ces actions et le dialogue n’est relégué qu’au second plan pour donner une fausse crédibilité affichée à l’exercice démocratique du pouvoir.
Même dans les exercices en apparence très démocratiques l’exercice du dialogue participatif et la pertinence des questions qui y sont débattues dérogent à cette règle utopique qui est la légitimité de ce type de dialogue et des décisions qui en sortent.
Des instituts de sondage dérobe le dialogue démocratique des représentants du peuple pour le limiter à un échantillon de personnes dont la représentativité est discutable et extrapole la volonté d’un groupe réduit à l’ensemble des citoyens et convainquent les gouvernants de la pertinence du choix résultants.
Ensuite avec des communiqués de presses relayés par les médias lourds, les portent de paroles des gouvernements, présidents, groupes d’influences se mettent en rang pour prêcher cette parole divine. Cette démarche tendant à opérer des changements radicaux sur les plans économique, social et culturel, travestit par la même occasion l’opinion publique pour créer un lien artificiel entre le dialogue initial et les intérêts des minorités qui se cachent intelligemment dans des intérêts collectifs.
Parallèlement, d’autres débats de moindre importance sont jetés tels de pavés dans la marre de la misère pour détourner l’opinion publique un moment de forte intensité décisionnelle sur ce qu’il devrait être débattu en public.
Certains défendent becs et ongles des points de vue sans se soucier de l’avis de l’autre (c’est comme nous avons la science infuse et seuls détenteurs de la vérité absolue et complète à laquelle il ne faut changer rien).
Comment voyez-vous cet exercice de dialogue à l’échelle de votre couple,FA, ville et pays?
Souvent les intérêts d’une certaine minorité sont les seuls déterminants de ces actions et le dialogue n’est relégué qu’au second plan pour donner une fausse crédibilité affichée à l’exercice démocratique du pouvoir.
Même dans les exercices en apparence très démocratiques l’exercice du dialogue participatif et la pertinence des questions qui y sont débattues dérogent à cette règle utopique qui est la légitimité de ce type de dialogue et des décisions qui en sortent.
Des instituts de sondage dérobe le dialogue démocratique des représentants du peuple pour le limiter à un échantillon de personnes dont la représentativité est discutable et extrapole la volonté d’un groupe réduit à l’ensemble des citoyens et convainquent les gouvernants de la pertinence du choix résultants.
Ensuite avec des communiqués de presses relayés par les médias lourds, les portent de paroles des gouvernements, présidents, groupes d’influences se mettent en rang pour prêcher cette parole divine. Cette démarche tendant à opérer des changements radicaux sur les plans économique, social et culturel, travestit par la même occasion l’opinion publique pour créer un lien artificiel entre le dialogue initial et les intérêts des minorités qui se cachent intelligemment dans des intérêts collectifs.
Parallèlement, d’autres débats de moindre importance sont jetés tels de pavés dans la marre de la misère pour détourner l’opinion publique un moment de forte intensité décisionnelle sur ce qu’il devrait être débattu en public.
Certains défendent becs et ongles des points de vue sans se soucier de l’avis de l’autre (c’est comme nous avons la science infuse et seuls détenteurs de la vérité absolue et complète à laquelle il ne faut changer rien).
Comment voyez-vous cet exercice de dialogue à l’échelle de votre couple,FA, ville et pays?
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