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Ouf, les consultations spécialisées du CHU de Tizi- Ouzou sont enfin prêtes à accueillir les malades. Dans une semaine, le temps de porter les toutes dernières retouches à l’aménagement, entamé il y a 18 mois, et d’installer le reste d’équipement, les malades pourront être accueillis par les médecins spécialistes et les paramédicaux dans des conditions plus agréables que par le passé.
Les 24 salles de consultations, qui seront ouvertes de 8h à 16 h pour 12 spécialités et avec 2 médecins chacune, ont été inaugurées par le Dr Mansouri, DG du CHU de Tizi-Ouzou, en présence de plusieurs chefs de service devant officier au sein de la nouvelle et belle structure, selon le qualificatif des professeurs présents à la cérémonie. C’est un vaste espace situé au sous-sol du centre de paiement de la Cnas, de la rue Lamali, qui a été aménagé pour accueillir les patients.
Avant, c’était un sous-sol très sombre qui accueillait quotidiennement un nombre impressionnant de malades souvent accompagnés, car incapables de se déplacer sans assistance. L’attente pouvait durer toute une matinée, voire toute la journée. C’était un endroit confiné, mal géré, manquant d’hygiène et un lieu de passe-droit par excellence, où la frustration, le mécontentement et les protestations constituaient le lot quotidien de la majorité des usagers de ce purgatoire dénommé consultations spécialisées.
On s’est avisé, enfin, à mettre un terme à tout cela en engageant des travaux d’aménagement des lieux qui ont duré 18 mois, au lieu des 6 initialement prévus, durant lesquels les malades étaient dispatchés sur diverses structures sanitaires du chef-lieu de wilaya où les consultations se déroulaient dans des conditions encore plus lamentables. Dans une semaine, tout cela ne sera plus qu’un mauvais souvenir si l’on croit les assurances du DG du CHU. Outre l’aménagement architectural qui allie fonctionnalité, lumière, commodité et discrétion, les consultations spécialisées seront autonomisées par rapport au CHU, avec une équipe gérante et des moyens particuliers.
On prendra rendez-vous par téléphone, fax et ou Internet un quart d’heure avant la consultation de manière à éviter les déplacements coûteux et inutiles ainsi que les regroupements importants sur les lieux et les longues et épuisantes attentes. Cette gestion des rendez-vous, qui est censée éliminer le favoritisme, les passe-droits et le surnombre de consultants, est complétée par la gestion informatique des dossiers des malades.
Chaque médecin dispose d’un ordinateur qui lui permet de consigner les informations de ses patients, de les consulter à chaque fois et de délivrer les ordonnances nécessaires. Tous les examens radiologiques, biologiques et autres seront effectués sur place, selon le Dr Mansouri, fier de fournir aux médecins et paramédicaux d’excellentes conditions de travail, au demeurant saluées par les présents, et aux malades toutes les prestations de soins spécialisés sur place.
Les services du CHU seront soulagés et les malades ne galèreront plus comme durant ces 18 mois d’aménagement de cette structure. Avec 480 malades jour, à raison de 20 par médecin et par salle de consultation, et si l’on ajoute d’autres consultations spécialisées prévues dans un mois à l’hôpital Belloua pour les disciplines qu’y seront logées, le DG estime pouvoir venir à bout du grand nombre de rendez-vous cumulés depuis quelque temps, notamment pour la chirurgie viscérale.
Pour les 2 unités du CHU, à savoir les hôpitaux Mohamed-Nedir et Belloua, ce seront 16 spécialités qui accueilleront les malades dans la dignité. 12 seront ouvertes dans une semaine au niveau de la rue Lamali et 4 dans un mois au niveau de l’hôpital Belloua.
Par le Soir
Les 24 salles de consultations, qui seront ouvertes de 8h à 16 h pour 12 spécialités et avec 2 médecins chacune, ont été inaugurées par le Dr Mansouri, DG du CHU de Tizi-Ouzou, en présence de plusieurs chefs de service devant officier au sein de la nouvelle et belle structure, selon le qualificatif des professeurs présents à la cérémonie. C’est un vaste espace situé au sous-sol du centre de paiement de la Cnas, de la rue Lamali, qui a été aménagé pour accueillir les patients.
Avant, c’était un sous-sol très sombre qui accueillait quotidiennement un nombre impressionnant de malades souvent accompagnés, car incapables de se déplacer sans assistance. L’attente pouvait durer toute une matinée, voire toute la journée. C’était un endroit confiné, mal géré, manquant d’hygiène et un lieu de passe-droit par excellence, où la frustration, le mécontentement et les protestations constituaient le lot quotidien de la majorité des usagers de ce purgatoire dénommé consultations spécialisées.
On s’est avisé, enfin, à mettre un terme à tout cela en engageant des travaux d’aménagement des lieux qui ont duré 18 mois, au lieu des 6 initialement prévus, durant lesquels les malades étaient dispatchés sur diverses structures sanitaires du chef-lieu de wilaya où les consultations se déroulaient dans des conditions encore plus lamentables. Dans une semaine, tout cela ne sera plus qu’un mauvais souvenir si l’on croit les assurances du DG du CHU. Outre l’aménagement architectural qui allie fonctionnalité, lumière, commodité et discrétion, les consultations spécialisées seront autonomisées par rapport au CHU, avec une équipe gérante et des moyens particuliers.
On prendra rendez-vous par téléphone, fax et ou Internet un quart d’heure avant la consultation de manière à éviter les déplacements coûteux et inutiles ainsi que les regroupements importants sur les lieux et les longues et épuisantes attentes. Cette gestion des rendez-vous, qui est censée éliminer le favoritisme, les passe-droits et le surnombre de consultants, est complétée par la gestion informatique des dossiers des malades.
Chaque médecin dispose d’un ordinateur qui lui permet de consigner les informations de ses patients, de les consulter à chaque fois et de délivrer les ordonnances nécessaires. Tous les examens radiologiques, biologiques et autres seront effectués sur place, selon le Dr Mansouri, fier de fournir aux médecins et paramédicaux d’excellentes conditions de travail, au demeurant saluées par les présents, et aux malades toutes les prestations de soins spécialisés sur place.
Les services du CHU seront soulagés et les malades ne galèreront plus comme durant ces 18 mois d’aménagement de cette structure. Avec 480 malades jour, à raison de 20 par médecin et par salle de consultation, et si l’on ajoute d’autres consultations spécialisées prévues dans un mois à l’hôpital Belloua pour les disciplines qu’y seront logées, le DG estime pouvoir venir à bout du grand nombre de rendez-vous cumulés depuis quelque temps, notamment pour la chirurgie viscérale.
Pour les 2 unités du CHU, à savoir les hôpitaux Mohamed-Nedir et Belloua, ce seront 16 spécialités qui accueilleront les malades dans la dignité. 12 seront ouvertes dans une semaine au niveau de la rue Lamali et 4 dans un mois au niveau de l’hôpital Belloua.
Par le Soir