Le monde musulman compte aujourd'hui 1,57 milliard de fidèles, ce qui place, numériquement, les musulmans juste après les catholiques, mais avant les chrétiens qui regroupent les courants orthodoxe, anglican et protestant…
Un milliard et demi de musulmans qui devraient aujourd'hui, au regard des événements dramatiques qui secouent la planète, particulièrement depuis le 11 septembre 2001, se rendre à l'évidence et comprendre enfin que c'est l'Islam et le monde musulman, dans leur ensemble, qui sont menacés.
Choc des cultures ou choc des civilisations, peu importe, les faits sont là. Réels, froids, intangibles. Ils parlent d'eux-mêmes, pour peu qu'on y prête attention. Le dernier «événement» en date : l'étonnant attentat – manqué ? – contre l'airbus A 330 de la compagnie américaine Delta Airlines sur le vol Amsterdam-Detroit en est une éloquente démonstration, qui nous permet de nous poser bien des questions.
Comment en effet porter du crédit à ces informations diffusées par des centaines de chaînes et que même des profanes en terrorisme et en criminologie ne pourraient avaler, tant elles s'assimilent à de la propagande bien orchestrée ? L'information en elle-même est certes vraie, et le pauvre bougre Abdulafarouk Abdulmutaleb n'est pas un Nigérian virtuel, hélas !
Mais un tel attentat raté qui plus est sur le sol américain est surprenant, puisque le père du jeune «kamikaze», un riche banquier, avait averti personnellement les autorités américaines sur la «folie» de son fils en le dénonçant afin de le sauver.
A nu, les défaillances sécuritaires !
On peut légitimement s'interroger alors sur ces «pseudo-défaillances» des mesures de sécurité pourtant draconiennes qui ont permis à un jeune «terroriste» de 21 ans de traverser sans encombre tous les «barrages», notamment la fameuse «mise à nu» – grâce à des rayons ultrasensibles et sophistiqués – des cabines de l'aéroport de Schiphol à Amsterdam.
Tous les voyageurs qui empruntent depuis le 11 septembre 2001 les aéroports occidentaux et même ceux de Djeddah ou d'Alger, notamment, vous le diront : «La yadjouz !» Et c'est pourquoi ce fameux «attentat raté» nous interpelle. Non pas pour nous poser des questions quant à la fiabilité des mesures et des installations mises en place dans les aéroports internationaux – pour cela nous faisons confiance aux spécialistes des services concernés – mais surtout sur les retombées politiques de ce «non-événement».
Comme attendu, la nébuleuse Al Qaïda a revendiqué l'attentat, quelques quarante-huit heures après quand même… Pour bien préciser au monde que le combat contre l'islamisme doit se poursuivre coûte que coûte… Pour la bonne cause et afin que le «Bien» pourchasse le «Mal» et délivre le «monde civilisé» de tous ces barbares islamistes affiliés à la toujours nébuleuse Al Qaïda…
OSS Ben Laden, un agent très spécial contre l'Islam
Mais voilà, Al Qaïda, personne ne sait trop qui sait. C'est une nébuleuse à la tête de laquelle on retrouve cet autre mystérieux personnage qu'est Ben Laden, un riche Saoudien né au Yémen mais qui est surtout – et on ne le répétera jamais assez – un agent de la CIA. Un agent qui se serait retourné depuis contre l'Amérique qui l'a pourtant aidé à lever une armée pour «casser» l'Armée rouge en Afghanistan et détruire le communisme, cet ennemi juré des Etats-Unis !
OSS Ben Laden ! La belle affaire… L'insaisissable Ben Laden, caché depuis des années dans une grotte de Cro-Magnon dans les djebels enneigés des zones tribales qui chevauchent l'Afghanistan et le Pakistan… Un scénario servi à toutes les sauces et diffusé régulièrement grâce à des médias aux ordres, en fonction de stratégies et d'objectifs inavoués.
Al Qaïda une fabuleuse création !
Al Qaïda… Quelle fabuleuse invention ! Tous les stratèges vous le diront : depuis les temps immémoriaux la meilleure manière de toucher les esprits c'est d'utiliser la religion. Toutes les religions ont eu leurs radicalismes et tous les gouvernants ont utilisé cet extrémisme – souvent en le forçant – pour assouvir leurs pouvoirs et desseins.
Les seigneurs, les rois, les sultans et les califes, tous ont joué de cette fibre pour asseoir leurs pouvoirs tant législatifs que spirituels ; le droit divin étant souvent le palliatif le plus usité notamment pour pérenniser les dynasties. Mais pourquoi diaboliser l'Islam et pas une autre religion et surtout pas le judaïsme dont pourtant la perversité des extrémistes juifs a de très fortes similitudes avec l'extrémisme islamiste, car entretenant tous les deux des dogmes qui n'ont rien à voir avec ces religions monothéistes, bien au contraire !
Pourquoi ne pas diaboliser ces courants catholiques et surtout protestants qui nous viennent particulièrement de la grande Amérique et dont chacun sait qu'ils défendent grâce à leurs gourous des objectifs liés aux intérêts de sectes diaboliques ?
Convoitises sur le pétrole des musulmans
Les raisons sont multiples. Mais la plus évidente reste ce fameux pouvoir tant recherché. Car celui qui détient le pouvoir et l'exerce devient en quelque sorte un dieu. Il a tous les droits. Et pour obtenir ce pouvoir, certains iront jusqu’à trahir, tuer, sacrifier, attaquer d'autres pour accaparer leurs richesses et devenir plus forts. L'ère coloniale est remplie d'exemples flagrants, et tous les empires coloniaux en savent quelque chose, eux qui, à notre époque encore, pratiquent le néocolonialisme pour préserver leurs acquis et poursuivre leurs influences, dans le but évident de faire main basse sur les énormes richesses des anciennes colonies.
En Afrique particulièrement, les guerres qui éclatent ici et là, comme par hasard, en disent long sur les desseins de certaines puissances et sur les méthodes utilisées pour parvenir à des interventions «humanitaires» qui sont seulement un prétexte pour se réimplanter dans des régions qui recèlent de fabuleux trésors.
Les hydrocarbures constituent de nos jours encore une arme énergétique fabuleuse de développement dont aucun pays ne pourrait se passer et un enjeu qui dépasse l'imagination. Il est donc tout à fait concevable que des stratégies et des tactiques souvent guerrières soient entreprises pour se garantir ce précieux atout. Sans pétrole, pas de développement… Irak, Afghanistan, Iran, Moyen-Orient, Caucase, mer Caspienne,
Afrique, Maghreb… détiennent de grosses réserves en pétrole et en gaz et constituent des places fortes, géopolitiquement intéressantes et convoitées. Et ce tout autant que les détroits par lesquels transitent les tankers, et dont le plus important, le détroit d'Ormuz, permet à lui seul le passage de 20% du commerce mondial.
C'est dire si les pays qui lui sont limitrophes : Oman, l'Iran, l'Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis sont «surveillés» et pourquoi le Ve flotte US y mouille en permanence pour y préserver ses intérêts ! Le canal de Suez doublé par l'oléoduc Sumed pipeline, au cas où, le détroit de Malacca, souvent en proie à des actes de piraterie, le canal de Panama… sont d'autres voies stratégiques importantes.
On comprend pourquoi ces zones d'influences sont souvent sujettes aux querelles et pourquoi des conflits sont fomentés au niveau de zones tout aussi stratégiques afin de créer des situations favorables à certaines puissances, Etats et autres multinationales dont, de toutes façons, les intérêts sont étroitement liés.
Un milliard et demi de musulmans qui devraient aujourd'hui, au regard des événements dramatiques qui secouent la planète, particulièrement depuis le 11 septembre 2001, se rendre à l'évidence et comprendre enfin que c'est l'Islam et le monde musulman, dans leur ensemble, qui sont menacés.
Choc des cultures ou choc des civilisations, peu importe, les faits sont là. Réels, froids, intangibles. Ils parlent d'eux-mêmes, pour peu qu'on y prête attention. Le dernier «événement» en date : l'étonnant attentat – manqué ? – contre l'airbus A 330 de la compagnie américaine Delta Airlines sur le vol Amsterdam-Detroit en est une éloquente démonstration, qui nous permet de nous poser bien des questions.
Comment en effet porter du crédit à ces informations diffusées par des centaines de chaînes et que même des profanes en terrorisme et en criminologie ne pourraient avaler, tant elles s'assimilent à de la propagande bien orchestrée ? L'information en elle-même est certes vraie, et le pauvre bougre Abdulafarouk Abdulmutaleb n'est pas un Nigérian virtuel, hélas !
Mais un tel attentat raté qui plus est sur le sol américain est surprenant, puisque le père du jeune «kamikaze», un riche banquier, avait averti personnellement les autorités américaines sur la «folie» de son fils en le dénonçant afin de le sauver.
A nu, les défaillances sécuritaires !
On peut légitimement s'interroger alors sur ces «pseudo-défaillances» des mesures de sécurité pourtant draconiennes qui ont permis à un jeune «terroriste» de 21 ans de traverser sans encombre tous les «barrages», notamment la fameuse «mise à nu» – grâce à des rayons ultrasensibles et sophistiqués – des cabines de l'aéroport de Schiphol à Amsterdam.
Tous les voyageurs qui empruntent depuis le 11 septembre 2001 les aéroports occidentaux et même ceux de Djeddah ou d'Alger, notamment, vous le diront : «La yadjouz !» Et c'est pourquoi ce fameux «attentat raté» nous interpelle. Non pas pour nous poser des questions quant à la fiabilité des mesures et des installations mises en place dans les aéroports internationaux – pour cela nous faisons confiance aux spécialistes des services concernés – mais surtout sur les retombées politiques de ce «non-événement».
Comme attendu, la nébuleuse Al Qaïda a revendiqué l'attentat, quelques quarante-huit heures après quand même… Pour bien préciser au monde que le combat contre l'islamisme doit se poursuivre coûte que coûte… Pour la bonne cause et afin que le «Bien» pourchasse le «Mal» et délivre le «monde civilisé» de tous ces barbares islamistes affiliés à la toujours nébuleuse Al Qaïda…
OSS Ben Laden, un agent très spécial contre l'Islam
Mais voilà, Al Qaïda, personne ne sait trop qui sait. C'est une nébuleuse à la tête de laquelle on retrouve cet autre mystérieux personnage qu'est Ben Laden, un riche Saoudien né au Yémen mais qui est surtout – et on ne le répétera jamais assez – un agent de la CIA. Un agent qui se serait retourné depuis contre l'Amérique qui l'a pourtant aidé à lever une armée pour «casser» l'Armée rouge en Afghanistan et détruire le communisme, cet ennemi juré des Etats-Unis !
OSS Ben Laden ! La belle affaire… L'insaisissable Ben Laden, caché depuis des années dans une grotte de Cro-Magnon dans les djebels enneigés des zones tribales qui chevauchent l'Afghanistan et le Pakistan… Un scénario servi à toutes les sauces et diffusé régulièrement grâce à des médias aux ordres, en fonction de stratégies et d'objectifs inavoués.
Al Qaïda une fabuleuse création !
Al Qaïda… Quelle fabuleuse invention ! Tous les stratèges vous le diront : depuis les temps immémoriaux la meilleure manière de toucher les esprits c'est d'utiliser la religion. Toutes les religions ont eu leurs radicalismes et tous les gouvernants ont utilisé cet extrémisme – souvent en le forçant – pour assouvir leurs pouvoirs et desseins.
Les seigneurs, les rois, les sultans et les califes, tous ont joué de cette fibre pour asseoir leurs pouvoirs tant législatifs que spirituels ; le droit divin étant souvent le palliatif le plus usité notamment pour pérenniser les dynasties. Mais pourquoi diaboliser l'Islam et pas une autre religion et surtout pas le judaïsme dont pourtant la perversité des extrémistes juifs a de très fortes similitudes avec l'extrémisme islamiste, car entretenant tous les deux des dogmes qui n'ont rien à voir avec ces religions monothéistes, bien au contraire !
Pourquoi ne pas diaboliser ces courants catholiques et surtout protestants qui nous viennent particulièrement de la grande Amérique et dont chacun sait qu'ils défendent grâce à leurs gourous des objectifs liés aux intérêts de sectes diaboliques ?
Convoitises sur le pétrole des musulmans
Les raisons sont multiples. Mais la plus évidente reste ce fameux pouvoir tant recherché. Car celui qui détient le pouvoir et l'exerce devient en quelque sorte un dieu. Il a tous les droits. Et pour obtenir ce pouvoir, certains iront jusqu’à trahir, tuer, sacrifier, attaquer d'autres pour accaparer leurs richesses et devenir plus forts. L'ère coloniale est remplie d'exemples flagrants, et tous les empires coloniaux en savent quelque chose, eux qui, à notre époque encore, pratiquent le néocolonialisme pour préserver leurs acquis et poursuivre leurs influences, dans le but évident de faire main basse sur les énormes richesses des anciennes colonies.
En Afrique particulièrement, les guerres qui éclatent ici et là, comme par hasard, en disent long sur les desseins de certaines puissances et sur les méthodes utilisées pour parvenir à des interventions «humanitaires» qui sont seulement un prétexte pour se réimplanter dans des régions qui recèlent de fabuleux trésors.
Les hydrocarbures constituent de nos jours encore une arme énergétique fabuleuse de développement dont aucun pays ne pourrait se passer et un enjeu qui dépasse l'imagination. Il est donc tout à fait concevable que des stratégies et des tactiques souvent guerrières soient entreprises pour se garantir ce précieux atout. Sans pétrole, pas de développement… Irak, Afghanistan, Iran, Moyen-Orient, Caucase, mer Caspienne,
Afrique, Maghreb… détiennent de grosses réserves en pétrole et en gaz et constituent des places fortes, géopolitiquement intéressantes et convoitées. Et ce tout autant que les détroits par lesquels transitent les tankers, et dont le plus important, le détroit d'Ormuz, permet à lui seul le passage de 20% du commerce mondial.
C'est dire si les pays qui lui sont limitrophes : Oman, l'Iran, l'Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis sont «surveillés» et pourquoi le Ve flotte US y mouille en permanence pour y préserver ses intérêts ! Le canal de Suez doublé par l'oléoduc Sumed pipeline, au cas où, le détroit de Malacca, souvent en proie à des actes de piraterie, le canal de Panama… sont d'autres voies stratégiques importantes.
On comprend pourquoi ces zones d'influences sont souvent sujettes aux querelles et pourquoi des conflits sont fomentés au niveau de zones tout aussi stratégiques afin de créer des situations favorables à certaines puissances, Etats et autres multinationales dont, de toutes façons, les intérêts sont étroitement liés.
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