Je vais changer de thématique pour ne pas donner encore l’occasion de me coller l’étiquette du « fracassé de l’amour », « bourreau efféminé » ou du « rescapé de la mésaventure amoureuse» auxquelles je suis complètement étranger mais ici n’est le meilleur endroit pour s’en défendre.
Aujourd’hui, je souhaiterai vous parler de l’antagonisme entre le cinéma des valeurs positives et celui des valeurs négatives. La critique cinématographique de nos jours jugent d’une façon très superficielle les sorties du box office sans se soucier du contenu véhiculé ni de l’impact que ces films pourraient avoir sur les téléspectateurs souvent jeunes qui se comptent parfois par des millions. Elle fait donc l’éloge de productions gluant de valeurs négatives au grand dam des sociologues, psychologue et politiques.
Heureusement que ce constat n’est pas général. D’autres films à l’instar d’Invectus le dernier film de Clint Eastwood sortent de cette règle nauséabondes et propose aux cinéphiles une histoire se tramant sur un arrière plan imbibé de valeurs positives.
En attendant que la critique réagisse et que les autorités ne s’y intéressent de prés à ce phénomène, nous resteront entre les mains des bling bling et des propriétaires des Relex qui tenteront de nous donner des leçons sur la lettre de Guy Moquet ou la solidarité qui ne se manifeste qu’à chaque tremblement ou chaque tsunami.
Que pensez-vous de cette réalité? L'accepteriez vous facilement?
A votre avis quel serait le meilleur moyen pour lutter contre l'influence de genre de films sur nos enfants?
Aujourd’hui, je souhaiterai vous parler de l’antagonisme entre le cinéma des valeurs positives et celui des valeurs négatives. La critique cinématographique de nos jours jugent d’une façon très superficielle les sorties du box office sans se soucier du contenu véhiculé ni de l’impact que ces films pourraient avoir sur les téléspectateurs souvent jeunes qui se comptent parfois par des millions. Elle fait donc l’éloge de productions gluant de valeurs négatives au grand dam des sociologues, psychologue et politiques.
Heureusement que ce constat n’est pas général. D’autres films à l’instar d’Invectus le dernier film de Clint Eastwood sortent de cette règle nauséabondes et propose aux cinéphiles une histoire se tramant sur un arrière plan imbibé de valeurs positives.
En attendant que la critique réagisse et que les autorités ne s’y intéressent de prés à ce phénomène, nous resteront entre les mains des bling bling et des propriétaires des Relex qui tenteront de nous donner des leçons sur la lettre de Guy Moquet ou la solidarité qui ne se manifeste qu’à chaque tremblement ou chaque tsunami.
Que pensez-vous de cette réalité? L'accepteriez vous facilement?
A votre avis quel serait le meilleur moyen pour lutter contre l'influence de genre de films sur nos enfants?
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