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Le chanteur d’Elhawzi, Hamidou, va celebrer son 20eme anniversaire de chant, en donnant un concert.. ..c’est aussi l’occasion de la sortied’un ensemble de dix CD, regroupant ses anciennes et nouvelles chansons.
J'aime pas trop Hamidou, mais j'aime ecouter le Hawzi.
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A l’occasion des vingt ans de carrière du chanteur hawzi Hamidou, un concert aura lieu, ce soir, à l’auditorium de la Radio nationale.
A l’occasion de la sortie prochaine d’un coffret de dix CD, regroupant un éventail de ses anciennes et nouvelles chansons, Hamidou a donné, hier matin, une conférence de presse au centre culturel de la Radio algérienne Aïssa Messaoudi. L’artiste a expliqué que son coffret - édité chez Bleda Diffusion - est une compilation de certains de ses titres à l’occasion du 50e anniversaire du déclenchement de la Révolution nationale. Chaque CD commence par une touchia, façon singulière de mieux initier la nouvelle génération. Les mélomanes seront ainsi servis à travers tous les genres déclinés. Dans ce coffret, on retrouve aussi bien du hawzi, de l’andalou et du chaâbi, et ce, chantés le plus souvent en arabe ou en kabyle. L’enregistrement s’est effectué de 2004 à fin 2005. Se considérant comme un artiste polyvalent, Hamidou propose à ses mélomanes un enivrement de 600 minutes de musique. Ces vingt ans de carrière sont, selon Hamidou, passés comme un éclair. De retour au pays définitivement, Hamidou a tenu à préciser qu’il venait une fois tous les mois au pays. « Il est vrai que je me suis forgé à l’étranger, notamment avec mon expérience avec TF1, mais voyez-vous, le retour aux sources ne pouvait être qu’inévitable. Ce n’est qu’en présence de mon public algérien, que je pourrais réellement m’épanouir », dit-il. Et d’ajouter ironiquement : « Il y a de la pâte à pétrir dans mon pays. ». Hamidou se désole de constater que l’artiste algérien n’est pas reconnu à sa juste valeur. Preuve en est. En vingt ans de carrière, il ne s’est produit dans un cadre privé que dans huit wilayas du pays. « C’est une honte pour nous artistes de ne nous solliciter que pour les fêtes religieuses ou légales. Nous ne pouvons pas attendre ces spectacles pour vivre. Heureusement qu’il y a les mariages privés et autres. »
El Watan.
J'aime pas trop Hamidou, mais j'aime ecouter le Hawzi.
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A l’occasion des vingt ans de carrière du chanteur hawzi Hamidou, un concert aura lieu, ce soir, à l’auditorium de la Radio nationale.
A l’occasion de la sortie prochaine d’un coffret de dix CD, regroupant un éventail de ses anciennes et nouvelles chansons, Hamidou a donné, hier matin, une conférence de presse au centre culturel de la Radio algérienne Aïssa Messaoudi. L’artiste a expliqué que son coffret - édité chez Bleda Diffusion - est une compilation de certains de ses titres à l’occasion du 50e anniversaire du déclenchement de la Révolution nationale. Chaque CD commence par une touchia, façon singulière de mieux initier la nouvelle génération. Les mélomanes seront ainsi servis à travers tous les genres déclinés. Dans ce coffret, on retrouve aussi bien du hawzi, de l’andalou et du chaâbi, et ce, chantés le plus souvent en arabe ou en kabyle. L’enregistrement s’est effectué de 2004 à fin 2005. Se considérant comme un artiste polyvalent, Hamidou propose à ses mélomanes un enivrement de 600 minutes de musique. Ces vingt ans de carrière sont, selon Hamidou, passés comme un éclair. De retour au pays définitivement, Hamidou a tenu à préciser qu’il venait une fois tous les mois au pays. « Il est vrai que je me suis forgé à l’étranger, notamment avec mon expérience avec TF1, mais voyez-vous, le retour aux sources ne pouvait être qu’inévitable. Ce n’est qu’en présence de mon public algérien, que je pourrais réellement m’épanouir », dit-il. Et d’ajouter ironiquement : « Il y a de la pâte à pétrir dans mon pays. ». Hamidou se désole de constater que l’artiste algérien n’est pas reconnu à sa juste valeur. Preuve en est. En vingt ans de carrière, il ne s’est produit dans un cadre privé que dans huit wilayas du pays. « C’est une honte pour nous artistes de ne nous solliciter que pour les fêtes religieuses ou légales. Nous ne pouvons pas attendre ces spectacles pour vivre. Heureusement qu’il y a les mariages privés et autres. »
El Watan.
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