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Bonsoir
Une femme a jeté une couscoussière d'eau bouillante au visage de son mari. L'homme, âgé de 77 ans, est mort de ses blessures. L'«ébouillanteuse» a écopé de 15 ans de prison.
«J'ai voulu le punir». La meurtrière, âgée de 44 ans, a prétexté que son vieux mari avait tripoté son fils cadet pour justifier son geste. En janvier 2008 à Villefranche-sur-Saône, Messaouda Goubi, dans un accès de fureur, balance une marmite à couscous au visage d'Abderrahmane. La marmite en fer blanc est remplie d'eau bouillante.
Le vieil homme mourra dans d'atroces souffrances cinq jours plus tard, raconte Le Progrès. Le médecin légiste a confirmé l'origine du décès, provoqué par les brûlures.
La justice française a condamné mercredi Messaouda Goubi à 15 ans de prison ferme. Les abus sexuels du vieux père ont été considérés comme des affabulations d'une accusée poussée au mensonge dans l'espoir de susciter la clémence des juges.
L'avocat de la défense a tenté de faire passer l'«ébouillanteuse» pour l'esclave d'un tyran domestique. L'argument n'a pas tenu le choc. Le vieux mari était un retraité sans histoires et plutôt affable, rapporte Le Progrès.
Et lors de l'enquête, la meurtrière, qui souffre de troubles psychologiques, tenait un autre discours: «J'ai voulu le tuer», a-t-elle affirmé lors de sa garde à vue, répétant qu'elle n'avait jamais aimé son mari. Cette Algérienne d'origine a épousé un homme de trente ans son aîné après avoir été défigurée par une morsure de chien
20 minutes ch
Une femme a jeté une couscoussière d'eau bouillante au visage de son mari. L'homme, âgé de 77 ans, est mort de ses blessures. L'«ébouillanteuse» a écopé de 15 ans de prison.
«J'ai voulu le punir». La meurtrière, âgée de 44 ans, a prétexté que son vieux mari avait tripoté son fils cadet pour justifier son geste. En janvier 2008 à Villefranche-sur-Saône, Messaouda Goubi, dans un accès de fureur, balance une marmite à couscous au visage d'Abderrahmane. La marmite en fer blanc est remplie d'eau bouillante.
Le vieil homme mourra dans d'atroces souffrances cinq jours plus tard, raconte Le Progrès. Le médecin légiste a confirmé l'origine du décès, provoqué par les brûlures.
La justice française a condamné mercredi Messaouda Goubi à 15 ans de prison ferme. Les abus sexuels du vieux père ont été considérés comme des affabulations d'une accusée poussée au mensonge dans l'espoir de susciter la clémence des juges.
L'avocat de la défense a tenté de faire passer l'«ébouillanteuse» pour l'esclave d'un tyran domestique. L'argument n'a pas tenu le choc. Le vieux mari était un retraité sans histoires et plutôt affable, rapporte Le Progrès.
Et lors de l'enquête, la meurtrière, qui souffre de troubles psychologiques, tenait un autre discours: «J'ai voulu le tuer», a-t-elle affirmé lors de sa garde à vue, répétant qu'elle n'avait jamais aimé son mari. Cette Algérienne d'origine a épousé un homme de trente ans son aîné après avoir été défigurée par une morsure de chien
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