Suite aux réserves émises par le ministre de l’énergie
Le ministre marocain de l’énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement, Mme. Amaina Ben Khadra, a annoncé, mardi dernier, à Londres, que le Maroc dispose des moyens nécessaires pour jouer un rôle dans la mise en œuvre du méga projet de production d’énergie solaire « Desertic ». Pour rappel, ce projet était prévu au Sahara algérien, il vise l’approvisionnement de l’Europe entière en énergie solaire, à partir de 2050, avec un coût global de 400 milliards d’euros.
Dans ce sens, le Maroc se propose pour décrocher ce projet. Dans son intervention lors d’un séminaire tenu au siège de la Chambre des communes (Parlement britannique), la ministre de l’énergie marocaine a indiqué que toutes les conditions sont réunies pour que ledit projet soit réalisé au Maroc et ce, grâce à sa situation géographique stratégique proche de l’Europe et sa connexion avec les réseaux électriques reliant l’Algérie et l’Espagne, ce qui peut constituer une plateforme en matière d’échange de l’énergie solaire entre les deux rives du bassin méditerranéen.
Malgré les disparités entre les moyens logistiques et humains dans le secteur énergétique entre l’Algérie et le Maroc, Rabat souhaite à tout prix bénéficier de ce méga projet, dont toutes les études de réalisation ont été élaborées sur la base qu’il était destiné pour le Sahara algérien. L’intérêt grandissant du Maroc pourrait être expliqué par les réserves émises par le ministre algérien de l’énergie, Chakib Khelil, envers ce projet. Pour rappel, le seul homme d’affaire algérien qui a émis le souhait de participer à ce projet, c’est le patron de Cevital, Issad Rebrab.
Le coût global de projet est estimé à 400 milliards d’euros, sa capacité de production est de 15 mille méga watts. Comme elle l’avait déclaré la ministre allemande de l’énergie, lors de sa dernière visite en Algérie, ce projet a besoin de la participation des investisseurs privés, car l’Allemagne n’est pas capable de le subventionner toute seule.
05-02-2010
el khabar
Le ministre marocain de l’énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement, Mme. Amaina Ben Khadra, a annoncé, mardi dernier, à Londres, que le Maroc dispose des moyens nécessaires pour jouer un rôle dans la mise en œuvre du méga projet de production d’énergie solaire « Desertic ». Pour rappel, ce projet était prévu au Sahara algérien, il vise l’approvisionnement de l’Europe entière en énergie solaire, à partir de 2050, avec un coût global de 400 milliards d’euros.
Dans ce sens, le Maroc se propose pour décrocher ce projet. Dans son intervention lors d’un séminaire tenu au siège de la Chambre des communes (Parlement britannique), la ministre de l’énergie marocaine a indiqué que toutes les conditions sont réunies pour que ledit projet soit réalisé au Maroc et ce, grâce à sa situation géographique stratégique proche de l’Europe et sa connexion avec les réseaux électriques reliant l’Algérie et l’Espagne, ce qui peut constituer une plateforme en matière d’échange de l’énergie solaire entre les deux rives du bassin méditerranéen.
Malgré les disparités entre les moyens logistiques et humains dans le secteur énergétique entre l’Algérie et le Maroc, Rabat souhaite à tout prix bénéficier de ce méga projet, dont toutes les études de réalisation ont été élaborées sur la base qu’il était destiné pour le Sahara algérien. L’intérêt grandissant du Maroc pourrait être expliqué par les réserves émises par le ministre algérien de l’énergie, Chakib Khelil, envers ce projet. Pour rappel, le seul homme d’affaire algérien qui a émis le souhait de participer à ce projet, c’est le patron de Cevital, Issad Rebrab.
Le coût global de projet est estimé à 400 milliards d’euros, sa capacité de production est de 15 mille méga watts. Comme elle l’avait déclaré la ministre allemande de l’énergie, lors de sa dernière visite en Algérie, ce projet a besoin de la participation des investisseurs privés, car l’Allemagne n’est pas capable de le subventionner toute seule.
05-02-2010
el khabar
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