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Mieux comprendre les difficultés économiques du pays des Fennec
Je commence a mieux comprendre les difficultés qui ne permettent pas aux dirigeants Algériens d'augmenter les penssions de retraite ou les bas salaires ou, encore plus, la réévaluation du Dinar en vue d'améliorer le pouvoir d'achat des citoyens d'en bas !!!
Une des explications parmis tant d'autre :
Quotidien El Khabar du 05/02/2010
Le président de l’APW de Bejaia fait des révélations fracassantes
Des cadres auraient vendu une mine de plomb à une société d’Australie fictive
Le président de l’APW de Bejaia a, en effet, révélé un scandale semblable a celui pour lequel des cades de la Sonatrach sont jugés, puisqu’il a assuré dans une correspondance adressée au premier ministre que des cadres du ministère de Chakib Khelil aurait attribué la cinquième mine de production de plomb au monde, située à Oued Amizour à une société fictive australienne du nom de « Terramin ».
D’après des sources locales et étrangères cette entreprise n’aurait aucune base juridique et que les déclarations des cadres selon lesquels la société détiendrait 65% du projet seraient un mensonge, assurant sur la base de rapports européens et australiens que la société serait inconnue du secteur minier, qu’elle n’a aucune accréditation officielle, et qu’elle n’apparait même pas sur la liste officielle des compagnies minières australiennes » ajoutant qu’elle n’avait aucune expérience dans ce domaine et qu’elle avait une capacité opérationnelle restreinte.
Le président de l’APW affirme également que depuis l’obtention de la licence d’exploitation, en 2006, la société n’avait pu lever des fonds pour le développement du projet, ne répondant pas aux normes internationales, et qu’elle ne pouvait donc pas trouver de compagnie d’assurance nationale ou internationale pour le risque environnemental, en raison de son incapacité à fournir des garanties industrielles nécessaires ainsi que l’interdiction de la législation internationale quant à l’exploitation minière dans une zone à forte densité de population, sachant, en plus ,que la quantité qu’il est prévu d’extraire annuellement est estimée à des millions de tonnes ».
Le rapport que celui-ci a rédigé, avec l’aide de spécialistes du secteur, insiste sur le danger que les particules de plomb pourraient représenter pour l’environnement et pour la population locale et du risque de contamination de l’eau souterraine et de l’air dans un périmètre de 154 km2, touchant, dans ce cas, la un tiers des habitants de la wilaya de Bejaia. Il a appelé, enfin, le premier ministre à mettre un terme à l’exploitation et à traduire en justice les responsables ».
05-02-2010
Par : A. Redouane/Bejaïa
Une des explications parmis tant d'autre :
Quotidien El Khabar du 05/02/2010
Le président de l’APW de Bejaia fait des révélations fracassantes
Des cadres auraient vendu une mine de plomb à une société d’Australie fictive
Le président de l’APW de Bejaia a, en effet, révélé un scandale semblable a celui pour lequel des cades de la Sonatrach sont jugés, puisqu’il a assuré dans une correspondance adressée au premier ministre que des cadres du ministère de Chakib Khelil aurait attribué la cinquième mine de production de plomb au monde, située à Oued Amizour à une société fictive australienne du nom de « Terramin ».
D’après des sources locales et étrangères cette entreprise n’aurait aucune base juridique et que les déclarations des cadres selon lesquels la société détiendrait 65% du projet seraient un mensonge, assurant sur la base de rapports européens et australiens que la société serait inconnue du secteur minier, qu’elle n’a aucune accréditation officielle, et qu’elle n’apparait même pas sur la liste officielle des compagnies minières australiennes » ajoutant qu’elle n’avait aucune expérience dans ce domaine et qu’elle avait une capacité opérationnelle restreinte.
Le président de l’APW affirme également que depuis l’obtention de la licence d’exploitation, en 2006, la société n’avait pu lever des fonds pour le développement du projet, ne répondant pas aux normes internationales, et qu’elle ne pouvait donc pas trouver de compagnie d’assurance nationale ou internationale pour le risque environnemental, en raison de son incapacité à fournir des garanties industrielles nécessaires ainsi que l’interdiction de la législation internationale quant à l’exploitation minière dans une zone à forte densité de population, sachant, en plus ,que la quantité qu’il est prévu d’extraire annuellement est estimée à des millions de tonnes ».
Le rapport que celui-ci a rédigé, avec l’aide de spécialistes du secteur, insiste sur le danger que les particules de plomb pourraient représenter pour l’environnement et pour la population locale et du risque de contamination de l’eau souterraine et de l’air dans un périmètre de 154 km2, touchant, dans ce cas, la un tiers des habitants de la wilaya de Bejaia. Il a appelé, enfin, le premier ministre à mettre un terme à l’exploitation et à traduire en justice les responsables ».
05-02-2010
Par : A. Redouane/Bejaïa
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