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C’est avec les honneurs militaires que le général Nadir Metidji a été inhumé hier au cimetière de Sidi Yahia à Alger. Une foule nombreuse composée d’anonymes et d’officiels l’a accompagné à sa dernière demeure. Tous étaient unanimes à souligner les valeurs humaines de l’homme. Celui qui fut directeur de la communication, de l’information et de l’orientation au ministère de la Défense nationale était très apprécié aussi bien pour ses qualités personnelles que pour son sens du devoir tout au long de sa longue carrière au sein de l’Armée.
Le général était aussi un intellectuel. La lecture étant l’une de ses activités favorites. Toutes ces particularités lui ont valu une estime incommensurable que ce soit de la part de ses collègues au sein de l’Armée ou auprès de ses connaissances personnelles, ses proches et sa famille. On a pu d’ailleurs le vérifier facilement lors de la cérémonie d’inhumation. A la tête des personnalités venues lui rendre un dernier hommage, il y avait le ministre d’Etat, représentant personnel du président de la République, Abdelaziz Belkhadem.
Le général-major Abdelmalek Guenaïzia, ministre délégué auprès du ministère de la Défense nationale, ainsi que Gaïd Salah, chef d’état-major de l’Armée ont tenu également à se recueillir sur la tombe du défunt. De nombreux hauts gradés se sont succédé pour un adieu à leur collègue. Le ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni était également parmi les responsables qui se sont déplacés au cimetière de Hydra. Azzedine Mihoubi, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication, ainsi que Abdelkader Messahel, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires africaines, ont été parmi les membres du gouvernement à présenter leurs condoléances à la famille du défunt.
Des membres de partis, des responsables d’associations et d’anciens ministres à l’instar de Abdelmadjid Attar, ont également tenu à assister aux funérailles du général Nadir Metidji décédé avant-hier à l’âge de 69 ans suite à un arrêt cardiaque.
Dans l’oraison funèbre, le colonel Boualem Madi, qui a travaillé aux côtés du général, a mis en avant le parcours de Metidji au sein de l’Armée nationale populaire.
Le général Metidji a effectué toute sa carrière au sein de l’ANP, a-t-il souligné. Il a rappelé le fait que tous ceux qui l’ont approché reconnaissent en lui la droiture, la simplicité, la rigueur dans l’organisation et la bonne éducation.
Le colonel Madi a affirmé qu’il perdait un homme qui gardait toujours le sourire et qui était un exemple de politesse. Il saluait toujours le premier ses connaissances, a-t-il poursuivi, ce qui est un signe d’humilité et de modestie. Sur le plan professionnel, le défunt accomplissait ses missions avec abnégation, ce qu’il lui a valu la confiance de ses supérieurs et le respect de ses subalternes, témoigne le colonel.
L’Armée était sa seconde famille. Il faisait même passer son devoir de militaire avant sa famille. Né en 1941 à Bougaâ dans la wilaya de Sétif, il s’est engagé dans les rangs de la Marine nationale en 1963. En 1968, il est promu au grade de lieutenant. Il a ensuite intégré l’Ecole de la marine nationale avant d’être affecté à la base militaire de la Marine nationale de Mers El Kebir à Oran, a rappelé le colonel Madi. Il a passé une partie de sa carrière à représenter l’Algérie à l’étranger. Il a occupé le poste d’attaché militaire auprès de plusieurs ambassades algériennes dans plusieurs pays, notamment en Egypte, en Tunisie et en Libye. Il a ensuite été cadre supérieur au MDN. En 2004, il est promu au grade de général. C’est en 2006 qu’il a hérité du poste de directeur de la communication, de l’information et de l’orientation.
Par l'Expression
Le général était aussi un intellectuel. La lecture étant l’une de ses activités favorites. Toutes ces particularités lui ont valu une estime incommensurable que ce soit de la part de ses collègues au sein de l’Armée ou auprès de ses connaissances personnelles, ses proches et sa famille. On a pu d’ailleurs le vérifier facilement lors de la cérémonie d’inhumation. A la tête des personnalités venues lui rendre un dernier hommage, il y avait le ministre d’Etat, représentant personnel du président de la République, Abdelaziz Belkhadem.
Le général-major Abdelmalek Guenaïzia, ministre délégué auprès du ministère de la Défense nationale, ainsi que Gaïd Salah, chef d’état-major de l’Armée ont tenu également à se recueillir sur la tombe du défunt. De nombreux hauts gradés se sont succédé pour un adieu à leur collègue. Le ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni était également parmi les responsables qui se sont déplacés au cimetière de Hydra. Azzedine Mihoubi, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication, ainsi que Abdelkader Messahel, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires africaines, ont été parmi les membres du gouvernement à présenter leurs condoléances à la famille du défunt.
Des membres de partis, des responsables d’associations et d’anciens ministres à l’instar de Abdelmadjid Attar, ont également tenu à assister aux funérailles du général Nadir Metidji décédé avant-hier à l’âge de 69 ans suite à un arrêt cardiaque.
Dans l’oraison funèbre, le colonel Boualem Madi, qui a travaillé aux côtés du général, a mis en avant le parcours de Metidji au sein de l’Armée nationale populaire.
Le général Metidji a effectué toute sa carrière au sein de l’ANP, a-t-il souligné. Il a rappelé le fait que tous ceux qui l’ont approché reconnaissent en lui la droiture, la simplicité, la rigueur dans l’organisation et la bonne éducation.
Le colonel Madi a affirmé qu’il perdait un homme qui gardait toujours le sourire et qui était un exemple de politesse. Il saluait toujours le premier ses connaissances, a-t-il poursuivi, ce qui est un signe d’humilité et de modestie. Sur le plan professionnel, le défunt accomplissait ses missions avec abnégation, ce qu’il lui a valu la confiance de ses supérieurs et le respect de ses subalternes, témoigne le colonel.
L’Armée était sa seconde famille. Il faisait même passer son devoir de militaire avant sa famille. Né en 1941 à Bougaâ dans la wilaya de Sétif, il s’est engagé dans les rangs de la Marine nationale en 1963. En 1968, il est promu au grade de lieutenant. Il a ensuite intégré l’Ecole de la marine nationale avant d’être affecté à la base militaire de la Marine nationale de Mers El Kebir à Oran, a rappelé le colonel Madi. Il a passé une partie de sa carrière à représenter l’Algérie à l’étranger. Il a occupé le poste d’attaché militaire auprès de plusieurs ambassades algériennes dans plusieurs pays, notamment en Egypte, en Tunisie et en Libye. Il a ensuite été cadre supérieur au MDN. En 2004, il est promu au grade de général. C’est en 2006 qu’il a hérité du poste de directeur de la communication, de l’information et de l’orientation.
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