Sur Le Post, un porte-parole d'UGC dit que "d'habitude, ce type de problème se règle par le dialogue." Ça n'a pas été le cas, samedi, à Paris.
Anaïs* n'a pas dû tout comprendre.
Samedi, accompagnée de six adultes et neuf enfants, elle allait voir le dernier Disney, La Princesse et la Grenouille, à l'UGC Ciné Cité des Halles, à Paris.
Jusqu'ici, tout allait bien.
Oui mais voilà.
Anaïs n'a que 2 ans et 10 mois.
Et pas 3.
"Une ordonnance de la préfecture de police de Paris interdit l'entrée des enfants de moins de trois ans à nos salles de cinémas" nous dit un porte-parole d'UGC ce vendredi.
Au moment d'accéder à la salle obscure, alors qu'ils avaient les tickets en mains, on leur a dit non pour Anaïs.
"Une loi doit être appliquée" poursuit le porte-parole d'UGC.
UGC a alors proposé de rembourser tout le monde.
Mais les cinéphiles ont refusé et sont entrés dans la salle.
Retrouvés bien rapidement par la police appelée, entre-temps, par un responsable du cinéma.
un porte-parole d'UGC répond:
Que s'est-il passé samedi dernier à l'UGC Ciné Cité des Halles?
"Ces personnes ont voulu assister à une projection avec une petite fille de moins de trois ans. Ce qui est interdit."
Pourquoi est-ce interdit?
"La charte UGC se réfère à l'ordonnance de la préfecture de police de Paris interdisant l'entrée de nos salles aux enfants de moins de trois ans. C'est notamment pour les protéger du volume sonore."
Pourquoi avoir appelé la police?
"D'habitude, ce type de conflit se résoud par le dialogue. Là, malheureusement, le dialogue n'a pas fonctionné. Nous avons donc proposé à toutes les personnes accompagnant l'enfant de les rembourser intégralement. Ils n'ont pas voulu et ont insisté pour entrer dans la salle."
N'aviez-vous pas d'autre solution?
"Nous voulions respecter la loi. Mais UGC tient à préciser que c'est la première fois que cela se produit ainsi et que nous sommes absolument désolés que cet incident très regrettable ait pris de telles proportions. Nous allons tout mettre en oeuvre pour que ça n'arrive plus, notamment en affichant désormais plus clairement la règlementation à l’entrée de nos salles."
C'est la premère fois que vous appelez la police? Et cette histoire de sandwich le 27 janvier dans le même cinéma?
"Le fait que ce spectateur mange un sandwich n'avait rien à voir avec l'intervention. Il n'a pas voulu présenter son billet et est entré de force dans la salle, c'est ce qui a posé problème, pas son sandwich."
UGC a donc appelé la police deux fois en moins d'un mois, non?
"C'est certes arrivé deux fois récemment, mais c'est rarissime. Nous appelons très rarement la police."
Contactée par Le Post, la préfecture de police de Paris dit "qu'après avoir été contactée pour un litige entre un groupe de spectateurs et un responsable de la salle de cinéma samedi dernier", elle est "intervenue dans la salle et a demandé la raison du différend."
Après que la responsable du cinéma leur a expliqué que l'âge d'un enfant était à l'origine du conflit, les policiers ont "invité le groupe de spectateurs à quitter la salle, ce qu'ils ont fait sans opposition."
"L'affaire s'est terminée là pour nous" nous précise la police.
Ajoutant que "les spectateurs, en quittant la salle, ont exprimé leur souhait d'être remboursés".
Ce qui est "évidemment toujours possible", tient à nous préciser UGC.
yahoo news
mes loulous ont vu leur premier film a 2 et demi, dieu merci je ne suis jamais tombé sur des personnes aussi scrupuleuse de faire respecter la loi :22: :22:
Anaïs* n'a pas dû tout comprendre.
Samedi, accompagnée de six adultes et neuf enfants, elle allait voir le dernier Disney, La Princesse et la Grenouille, à l'UGC Ciné Cité des Halles, à Paris.
Jusqu'ici, tout allait bien.
Oui mais voilà.
Anaïs n'a que 2 ans et 10 mois.
Et pas 3.
"Une ordonnance de la préfecture de police de Paris interdit l'entrée des enfants de moins de trois ans à nos salles de cinémas" nous dit un porte-parole d'UGC ce vendredi.
Au moment d'accéder à la salle obscure, alors qu'ils avaient les tickets en mains, on leur a dit non pour Anaïs.
"Une loi doit être appliquée" poursuit le porte-parole d'UGC.
UGC a alors proposé de rembourser tout le monde.
Mais les cinéphiles ont refusé et sont entrés dans la salle.
Retrouvés bien rapidement par la police appelée, entre-temps, par un responsable du cinéma.
un porte-parole d'UGC répond:
Que s'est-il passé samedi dernier à l'UGC Ciné Cité des Halles?
"Ces personnes ont voulu assister à une projection avec une petite fille de moins de trois ans. Ce qui est interdit."
Pourquoi est-ce interdit?
"La charte UGC se réfère à l'ordonnance de la préfecture de police de Paris interdisant l'entrée de nos salles aux enfants de moins de trois ans. C'est notamment pour les protéger du volume sonore."
Pourquoi avoir appelé la police?
"D'habitude, ce type de conflit se résoud par le dialogue. Là, malheureusement, le dialogue n'a pas fonctionné. Nous avons donc proposé à toutes les personnes accompagnant l'enfant de les rembourser intégralement. Ils n'ont pas voulu et ont insisté pour entrer dans la salle."
N'aviez-vous pas d'autre solution?
"Nous voulions respecter la loi. Mais UGC tient à préciser que c'est la première fois que cela se produit ainsi et que nous sommes absolument désolés que cet incident très regrettable ait pris de telles proportions. Nous allons tout mettre en oeuvre pour que ça n'arrive plus, notamment en affichant désormais plus clairement la règlementation à l’entrée de nos salles."
C'est la premère fois que vous appelez la police? Et cette histoire de sandwich le 27 janvier dans le même cinéma?
"Le fait que ce spectateur mange un sandwich n'avait rien à voir avec l'intervention. Il n'a pas voulu présenter son billet et est entré de force dans la salle, c'est ce qui a posé problème, pas son sandwich."
UGC a donc appelé la police deux fois en moins d'un mois, non?
"C'est certes arrivé deux fois récemment, mais c'est rarissime. Nous appelons très rarement la police."
Contactée par Le Post, la préfecture de police de Paris dit "qu'après avoir été contactée pour un litige entre un groupe de spectateurs et un responsable de la salle de cinéma samedi dernier", elle est "intervenue dans la salle et a demandé la raison du différend."
Après que la responsable du cinéma leur a expliqué que l'âge d'un enfant était à l'origine du conflit, les policiers ont "invité le groupe de spectateurs à quitter la salle, ce qu'ils ont fait sans opposition."
"L'affaire s'est terminée là pour nous" nous précise la police.
Ajoutant que "les spectateurs, en quittant la salle, ont exprimé leur souhait d'être remboursés".
Ce qui est "évidemment toujours possible", tient à nous préciser UGC.
yahoo news
mes loulous ont vu leur premier film a 2 et demi, dieu merci je ne suis jamais tombé sur des personnes aussi scrupuleuse de faire respecter la loi :22: :22:
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