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La Russie souhaiterait acheter à la France quatre navires de classe Mistral

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  • La Russie souhaiterait acheter à la France quatre navires de classe Mistral

    La France est en train d'étudier une nouvelle demande de la Russie, qui souhaiterait acquérir quatre bâtiments de projection et de commandement (BPC) de classe Mistral au lieu d'un seul, a indiqué lundi un responsable du ministère de la défense français.
    "Ce ne serait plus un BPC mais quatre" demandés par la Russie, et la France est "en train d'examiner la nouvelle mouture de cette demande", a déclaré Jacques de Lajugie, directeur international de la direction générale de l'armement (DGA) du ministère de la défense, lors d'une conférence de presse.


    Toutefois, il s'agit pour l'instant d'une demande technique de l'état-major russe, qui n'a pas encore été formalisée au niveau politique, a-t-il précisé. La France avait auparavant donné son accord pour la vente d'un seul de ces navires pouvant transporter des hélicoptères et des chars d'assaut, a-t-il indiqué. La réponse à cette nouvelle demande pourrait intervenir "dans les prochaines semaines", a ajouté M. de Lajugie. Une telle décision sera prise par les plus hautes autorités de l'Etat.
    La perspective de la vente d'un BPC à la Russie avait soulevé l'inquiétude de la Géorgie, des Etats baltes et de parlementaires américains.
    La Russie est aussi en "contact avec un certain nombre de concurrents" pour l'achat de tels navires, a précisé M. de Lajugie.

    Le Monde 8/2/10

  • #2
    la Russie achete de l'occident alors que l'algérie a choisi ce pays pour "moderniser" son armé

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    • #3
      Comme les européens demandent l'aide des russes sur l' Espace.

      Soyouz en Guyane

      L'arrivée du lanceur russe au port spatial de l'Europe

      Le 19 juillet 2005, le CNES et l'Agence spatiale européenne ont signé le contrat de développement du programme d'implantation du lanceur Soyouz au Centre spatial guyanais. L'arrivée en Guyane du lanceur russe, modifié pour l'occasion, est un événement sans précédent dans la coopération entre l'Europe et la Russie en matière de lanceurs spatiaux. En 2010, la mythique fusée russe sera lancée pour la première fois d'un port spatial autre que Plessetsk ou Baïkonour.

      Il s'agit là d'une collaboration stratégique, technique et économique qui doit, avec un lanceur de taille moyenne, assurer à l'Europe une offre complète en matière d'accès à l'espace, Soyouz venant compléter la gamme des lanceurs proposés par Arianespace.

      Cet accord historique donne une impulsion décisive au projet après 2 ans d'études et de négociations préparatoires. Il marque également le début de la construction des infrastructures au sol : complexes d'intégration, de lancement et de suivi.

      http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/4108-...-en-guyane.php
      Dernière modification par mansali06, 09 février 2010, 15h01.

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      • #4
        @mansali06

        La mise en oeuvre des Souyouz, ce n'est quand même pas pas l'affaire du siècle en matière de technologie.
        Ce sont des "tracteurs" de l'espace fiables et éprouvés depuis les années 60 et remis à niveau par un société Franco-Russe. Ils sont adaptés pour une certaine gamme de lancement (petite et moyenne taille) là ou les Arianes ont des cout de revient très supérieurs.

        Lisez, c'est dans le Point :

        « C’est Jacques Chirac, qui au début des années 2000, désireux de consolider ses relations avec Vladimir Poutine, a poussé le projet vis-à-vis de ses alliés européens », se souvient Jacques Villain, l’ancien directeur des affaires spatiales du groupe Safran et membre de l’Académie de l’air et de l’espace. « A cette époque, les usines russes étaient de véritables cavernes d’Ali Baba, remplies de fusées disponibles », ajoute-t-il. L’ex-président français visite l’énorme complexe industriel de Progress en juillet 2001 avec son homologue russe. Deux ans plus tard, les pays de l’ESA décident l’implantation de Soyouz en Guyane. Malgré le retard, le pari semble prometteur: le carnet de commandes du lanceur russe compte déjà 17 satellites, dont ceux de Galileo. Le petit secret de Soyouz, comme celui de Vega dans sa catégorie, est de pouvoir mettre en orbite des satellites de petite et moyenne taille, entre 1,5 tonne pour Vega et 3- 4 tonnes pour Soyouz (en GTO).
        Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
        Mahomet

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